Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Les Echos
par Cecilia Delporte
Avec cette fiction personnelle, Florence Foresti brosse un portrait touchant d'une femme de son époque, entre célibat, anxiété, quête d'inspiration et temps qui passe. Une série certes inégale, mais qui a son lot de très beaux moments.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Télé 7 Jours
par Amandine Scherer
On aurait pu craindre une ode auto-centrée ou une thérapie sur le petit écran. Il n'en est rien. La première série de Florence Foresti est touchante au possible. Ce n'est pas parfait, encore mieux : c'est humain.
Télérama
par Caroline Veunac
Foresti a beau être cash sur ses petites mesquineries (ou comment utiliser sa notoriété pour couper la file), elle s’égratigne sans vraiment tomber le masque. La vérité crue affleure finalement quand les aveux d’égocentrisme cèdent la place à des émotions plus viscérales. Peur de la mort, sentiment d’injustice face aux normes de beauté… Là, on rit noir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Audrey Fournier
D’ailleurs, c’est quand Désordres ne cherche pas à faire rire qu’elle sonne le plus juste, et on regrette presque que Foresti limite la confidence à son hypocondrie et à ses états d’âme face à une tablette d’antidépresseurs. Quand il s’agit de décrire les rapports contradictoires qu’elle entretient avec la célébrité, la comédienne évite habilement l’hypocrisie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par François Léger
Tout ça n’empêche pas les gimmicks usants (amusante la première fois, la fin d’épisode façon karaoké finit par lasser), quelques situations convenues et certaines longueurs. Mais Foresti, qui fait également ici ses débuts de réalisatrice avec pas mal de peps, parvient à emporter le morceau en mettant toute son énergie au service de son meilleur personnage de fiction : elle-même.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par La rédaction
Les séquences drôles, amusantes et émouvantes s'enchaînent dans un bon rythme dans cette comédie bien sentie sur le thème des mères célibataires. Au côté d'un excellent casting, Florence Foresti impose son talent naturel grâce notamment à des dialogues qui fonctionnent bien et qui ne versent pas dans le lieu commun.
Ouest France
par Anaïs BERNO
Désordres ne parvient jamais totalement à trouver l’équilibre entre la gravité de la vraie vie et la tentative fictionnée de faire rire via quelques situations ratées. Sans compter que les spectateurs risquent de rapidement se sentir peu concernés par la vie de Florence Foresti vue par Florence Foresti.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Le Point
par Fabrice Dupreuilh
Ici, les gags se cousent souvent au fil blanc quand ils ne tombent pas à l'eau. Seuls les seconds rôles tirent leur épingle de ce jeu de massacre. Quant à l'autodérision, qui se voudrait très anglo-saxonne, elle reste au final bien sage. L'autoflagellation tourne court. Les coups de griffe que l'humoriste assène à son image ne causent au final que quelques mini-égratignures.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Pas mal de moments font mouche, dans un format proche du sketch, où elle excelle. Sur la longueur, cela ne suffit pas toujours à tenir la promesse, par manque de sentiments poussés à bout.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Les Echos
Avec cette fiction personnelle, Florence Foresti brosse un portrait touchant d'une femme de son époque, entre célibat, anxiété, quête d'inspiration et temps qui passe. Une série certes inégale, mais qui a son lot de très beaux moments.
Télé 7 Jours
On aurait pu craindre une ode auto-centrée ou une thérapie sur le petit écran. Il n'en est rien. La première série de Florence Foresti est touchante au possible. Ce n'est pas parfait, encore mieux : c'est humain.
Télérama
Foresti a beau être cash sur ses petites mesquineries (ou comment utiliser sa notoriété pour couper la file), elle s’égratigne sans vraiment tomber le masque. La vérité crue affleure finalement quand les aveux d’égocentrisme cèdent la place à des émotions plus viscérales. Peur de la mort, sentiment d’injustice face aux normes de beauté… Là, on rit noir.
Le Monde
D’ailleurs, c’est quand Désordres ne cherche pas à faire rire qu’elle sonne le plus juste, et on regrette presque que Foresti limite la confidence à son hypocondrie et à ses états d’âme face à une tablette d’antidépresseurs. Quand il s’agit de décrire les rapports contradictoires qu’elle entretient avec la célébrité, la comédienne évite habilement l’hypocrisie.
Première
Tout ça n’empêche pas les gimmicks usants (amusante la première fois, la fin d’épisode façon karaoké finit par lasser), quelques situations convenues et certaines longueurs. Mais Foresti, qui fait également ici ses débuts de réalisatrice avec pas mal de peps, parvient à emporter le morceau en mettant toute son énergie au service de son meilleur personnage de fiction : elle-même.
Télé Loisirs
Les séquences drôles, amusantes et émouvantes s'enchaînent dans un bon rythme dans cette comédie bien sentie sur le thème des mères célibataires. Au côté d'un excellent casting, Florence Foresti impose son talent naturel grâce notamment à des dialogues qui fonctionnent bien et qui ne versent pas dans le lieu commun.
Ouest France
Désordres ne parvient jamais totalement à trouver l’équilibre entre la gravité de la vraie vie et la tentative fictionnée de faire rire via quelques situations ratées. Sans compter que les spectateurs risquent de rapidement se sentir peu concernés par la vie de Florence Foresti vue par Florence Foresti.
Le Point
Ici, les gags se cousent souvent au fil blanc quand ils ne tombent pas à l'eau. Seuls les seconds rôles tirent leur épingle de ce jeu de massacre. Quant à l'autodérision, qui se voudrait très anglo-saxonne, elle reste au final bien sage. L'autoflagellation tourne court. Les coups de griffe que l'humoriste assène à son image ne causent au final que quelques mini-égratignures.
Les Inrockuptibles
Pas mal de moments font mouche, dans un format proche du sketch, où elle excelle. Sur la longueur, cela ne suffit pas toujours à tenir la promesse, par manque de sentiments poussés à bout.