Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Première
par Charles Martin
Un polar électrique en banlieue, qui prend pour prétexte les émeutes de 2005, pour raconter une tragédie familiale sur fond de trafic de drogue. Stupéfiant !
La critique complète est disponible sur le site Première
Franceinfo Culture
par Laurent Valière
Ourika, une série musclée qui lorgne du côté d’Olivier Marchal.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro
par François Aubel
Le rappeur Booba est à l'origine de cette série noire et efficace qui met en scène le duel électrique entre un trafiquant et un jeune flic.
Télé Loisirs
par Thomas Robert
Cette série co-créée par Clément Godard, ancien membre de la police judiciaire, et par le rappeur Booba est véritablement explosive.
Voici
par Léontine Behaeghel
Complexes, parfois terrifiants et surtout attachants (pour certains), ses multiples personnages finissent inévitablement par nous toucher.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
L'ancien flic Clément Godard et le rappeur Booba, pour la première fois acteur, livrent une série addictive sur le trafic de cannabis.
Télé 7 Jours
par Aurélien Gaucher
Si elle ne révolutionne pas le genre, la série a de quoi convaincre les amateurs de lutte entre flics et voyous mais aussi un public plus large. Grâce à des scènes d'action efficaces, parfois sanglantes et toujours rythmées, les épisodes ne perdent jamais en dynamisme.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Télérama
par Éléonore Colin
Entre fresque politique et polar trash, cette série soignée dans la lignée d’“Engrenages” a pour fond l’embrasement des banlieues françaises en 2005. En marge d’un fiévreux duel flic-trafiquant, le rappeur crève l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Téléstar
par Romain Nigita
Efficace, le résultat peine néanmoins à renouveler le genre déjà riche du polar de banlieue.
20 Minutes
par L. Be.
Sur le papier, la série envoie du lourd, mais elle peine à soutenir la comparaison avec les grandes séries françaises qui s’imposent depuis quelques mois.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Parisien
par Pauline Conradsson
On est chez les gangsters, avec tous les ingrédients qu’on attend de cet univers et des références assumées aux classiques du genre, comme "Le Parrain" : gros calibres, bastons, affrontements entre dealers, courses-poursuites avec la police et go-fast.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Monde
par Audrey Fournier
Cette peinture de la banlieue semble figée à l’époque où elle se déroule – en témoignent les rôles féminins, franchement légers – et, faute d’acteur/de personnage qui sorte du lot, Ourika peine à décoller.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par Salammbô Marie
On termine ainsi Ourika avec un sentiment d’inachevé, face à une série visuellement convaincante, aux comédiens solides, mais qui ne prend jamais son propos politique à bras-le-corps, restant timidement sur les contours d’une fracture sociale pourtant passionnante. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
Un polar électrique en banlieue, qui prend pour prétexte les émeutes de 2005, pour raconter une tragédie familiale sur fond de trafic de drogue. Stupéfiant !
Franceinfo Culture
Ourika, une série musclée qui lorgne du côté d’Olivier Marchal.
Le Figaro
Le rappeur Booba est à l'origine de cette série noire et efficace qui met en scène le duel électrique entre un trafiquant et un jeune flic.
Télé Loisirs
Cette série co-créée par Clément Godard, ancien membre de la police judiciaire, et par le rappeur Booba est véritablement explosive.
Voici
Complexes, parfois terrifiants et surtout attachants (pour certains), ses multiples personnages finissent inévitablement par nous toucher.
Le Journal du Dimanche
L'ancien flic Clément Godard et le rappeur Booba, pour la première fois acteur, livrent une série addictive sur le trafic de cannabis.
Télé 7 Jours
Si elle ne révolutionne pas le genre, la série a de quoi convaincre les amateurs de lutte entre flics et voyous mais aussi un public plus large. Grâce à des scènes d'action efficaces, parfois sanglantes et toujours rythmées, les épisodes ne perdent jamais en dynamisme.
Télérama
Entre fresque politique et polar trash, cette série soignée dans la lignée d’“Engrenages” a pour fond l’embrasement des banlieues françaises en 2005. En marge d’un fiévreux duel flic-trafiquant, le rappeur crève l’écran.
Téléstar
Efficace, le résultat peine néanmoins à renouveler le genre déjà riche du polar de banlieue.
20 Minutes
Sur le papier, la série envoie du lourd, mais elle peine à soutenir la comparaison avec les grandes séries françaises qui s’imposent depuis quelques mois.
Le Parisien
On est chez les gangsters, avec tous les ingrédients qu’on attend de cet univers et des références assumées aux classiques du genre, comme "Le Parrain" : gros calibres, bastons, affrontements entre dealers, courses-poursuites avec la police et go-fast.
Le Monde
Cette peinture de la banlieue semble figée à l’époque où elle se déroule – en témoignent les rôles féminins, franchement légers – et, faute d’acteur/de personnage qui sorte du lot, Ourika peine à décoller.
Ouest France
On termine ainsi Ourika avec un sentiment d’inachevé, face à une série visuellement convaincante, aux comédiens solides, mais qui ne prend jamais son propos politique à bras-le-corps, restant timidement sur les contours d’une fracture sociale pourtant passionnante. Dommage.