Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
L'Humanité
par Grégory Marin
Beau et terrible. Comme un drame danois.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Ouest France
par Jean-Marc Pinson
Erik, qui a été une victime, va-t-il, à son tour, devenir un bourreau ? C’est toute l’intrigue de cette série très bien réalisée et portée par l’acteur Isac Calmroth, littéralement habité par son rôle.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Télé 7 Jours
par Christophe Séfrin
Cette adaptation du roman autobiographique La Fabrique de violence, du Suédois Jan Guillou, décrypte de façon implacable les mécanismes de la surenchère, ce moment de bascule où un jeune homme, qui porte déjà le poids d'un contexte familial douloureux, doit faire des choix capitaux pour son existence.
Téléstar
par La Rédaction
Une impeccable mécanique.
Télé Câble Sat
par Cédric Melon
Dans ce récit terrifiant et judicieusement réalisé, avec des acteurs formidables, le scénario décortique avec justesse le redoutable mécanisme capable de transformer les victimes en bourreaux.
Télé Loisirs
par La Rédaction
Un propos intéressant mais certains éléments sonnent faux.
Télérama
par Marjolaine Jarry
Malgré sa facture classique et la pesanteur d’une voix off qui dialectise autour des thèmes du mal et de la liberté individuelle, ces six épisodes valent pour leur façon de mettre en scène la gangrène de la violence, la cruauté de la répétition mais aussi les (rares) échappatoires qui offrent une chance de ne pas sombrer dans la reproduction.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Beau et terrible. Comme un drame danois.
Ouest France
Erik, qui a été une victime, va-t-il, à son tour, devenir un bourreau ? C’est toute l’intrigue de cette série très bien réalisée et portée par l’acteur Isac Calmroth, littéralement habité par son rôle.
Télé 7 Jours
Cette adaptation du roman autobiographique La Fabrique de violence, du Suédois Jan Guillou, décrypte de façon implacable les mécanismes de la surenchère, ce moment de bascule où un jeune homme, qui porte déjà le poids d'un contexte familial douloureux, doit faire des choix capitaux pour son existence.
Téléstar
Une impeccable mécanique.
Télé Câble Sat
Dans ce récit terrifiant et judicieusement réalisé, avec des acteurs formidables, le scénario décortique avec justesse le redoutable mécanisme capable de transformer les victimes en bourreaux.
Télé Loisirs
Un propos intéressant mais certains éléments sonnent faux.
Télérama
Malgré sa facture classique et la pesanteur d’une voix off qui dialectise autour des thèmes du mal et de la liberté individuelle, ces six épisodes valent pour leur façon de mettre en scène la gangrène de la violence, la cruauté de la répétition mais aussi les (rares) échappatoires qui offrent une chance de ne pas sombrer dans la reproduction.