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Une série surprenante, parfois éprouvante... hélas inspirée d'un roman autobiographique. Durant les années 50, l'histoire d'un jeune, martyrisé par son beau-père durant son enfance, qui finit par sombrer dans la violence durant son adolescence... avant d'être "pris en charge" dans un internat prestigieux où il aura malheureusement à subir la persécution et les violences gratuites des plus anciens. Un scénario bien mené avec une belle intrigue. Une belle découverte en ce qui me concerne.
Une des meilleures séries scandinaves.
Un choc puissant , passionnant, éprouvant parfois. On pense à Scum ou encore Dog Pounds en la visionnant.
Un choc puissant , passionnant, éprouvant parfois. On pense à Scum ou encore Dog Pounds en la visionnant.
Et dire que c est un roman autobiographique… vivre cet enfer dans cet internat prestigieux après une enfance brimée quel parcours. Une série restituant de manière magistrale ces épreuves ; casting, scénario, réalisation au cordeau nous donnent une série - encore une fois scandinave et découverte par Arte - remarquable
Une série à ne surtout pas rater .
Des acteurs de talents une mise en scène impeccable .
Un scenario prenant .tout les ingrédients d'une excellente série ,certes un peu perturbante mais addictive de bout en bout .
Des acteurs de talents une mise en scène impeccable .
Un scenario prenant .tout les ingrédients d'une excellente série ,certes un peu perturbante mais addictive de bout en bout .
De bons acteurs , un cadre bien retranscris pour cette "boarding school" anglaise, pensionnat d'élite . Mais tout cela est trop caricatural, on ne croit à ces personnages extrêmes, un peu foldingues. du coup on perd de l'intérêt , mais si le héros principal nous est sympathique.
Mini série d'une violence extrême, à déconseiller aux âmes sensibles . Sinon très belle image , bon scénario et bons acteurs .
Quelle claque... C'est dur, parfois même insoutenable mais c'est aussi émouvant et on garde l'espoir jusqu'à la fin même si "Il est possible qu'à un moment donné de notre vie, que nous prenions conscience que nous avons atteint nos limites et qu'il nous reste parfois pas d'autres choix que de tout abandonner [...] nous attenions tous cette limite au moment où nous réalisons que la seule manière de remporter la victoire est tout simplement de ne même plus faire face aux épreuves".
C'est une série intéressante, pas passionnante mais elle donne envie tout de même, car il y a une ambiance, d'abord celle d'un lycée cossu, style internant, dans les années 50 mais aussi celle de la Scandinavie. On est plongé dans l'univers des étudiants aisés qui jouent déjà aux adultes et fondent leur propre société et mode de vie. C'est pas sans rappeler les lycées et collèges américains mais avec une ambiance totalement différente.
Ouf de soulagement quand ça se termine ! C'est éprouvant, révoltant et à peine croyable. Le pire est qu'il s'agit d'une œuvre tirée d'un roman autobiographique ! La violence monte crescendo et nous interroge sur les effets de l'éducation et ses conséquences désastreuses, sur la soumission et le silence des victimes. Malgré des scènes très dérangeantes, l'ensemble rythmé et le casting parfait rendent la série bien addictive.
Les qualités de cette série sont indéniables et multiples. Excellence des acteurs, des dialogues et surtout du scénario basé sur le roman de Jean Guillou. Excellence également dans la structure narrative, avec une inclusion très habile des flash-back pour mieux éclairer l’intrigue et lui apporter des éléments de suspense. Seulement voilà, toute cette excellence est un peu gâchée par un dernier épisode qui tranche beaucoup trop avec ce qui précède. En effet, dans les épisodes précédents, les situations de violence et d’injustice dans lesquelles se trouvaient le héros, sa mère, les internes du lycée avaient longuement été dépeints et semblaient presqu’impossible à résoudre. Puis soudain, des retournements heureux et rapides de situation surviennent, rassemblés en un seul épisode. Tout cela donne l’impression gênantes au téléspectateur d’une confection un peu artificielle d’un happy-ending qu’il fallait produire coûte que coûte, "no matter what". À noter la prestation de Gustaf Skarsgård dans le rôle du papa scélérat. Dans le film duquel est tiré la série, sorti 20 ans auparavant, il jouait le rôle du lycéen scélérat. Il est difficile de décider dans lequel de ces deux rôles il est le plus criant de méchanceté. En se rappelant également sa prestation dans la série Vikings, il semble taillé sur mesure pour jouer les personnages à haut potentiel de nuisance.
Tres bonne série suédoise comme seule Arte sait nous offrir. C'est intelligent et prenant même si cette violence (familiale mais aussi institutionnelle) présente pendant toute cette série est parfois difficile à supporter. L'exposer est toutefois la condition sine qua non pour la dénoncer. Une oeuvre qui condame également le culte du tyran et du chef mis en oeuvre dans toutes les formes de fascisme.
J'ai adoré la série Evil ! L'histoire est vraiment captivante, avec des rebondissements auxquels on ne s'attend pas. Les personnages sont attachants et complexes. Je la recommande à tous ceux qui aiment les séries Drame, thriller
Cette série effroyable met en lumière les pires facettes de l'humanité. Je viens de regarder le troisième épisode et j'en suis profondément bouleversé et en colère. Elle nous interroge sur l'effet de groupe, la violence familiale et institutionnelle, et certains passages sont d'une intensité psychologique presque insoutenable.
Selon notre vécu, nous pouvons nous sentir plus ou moins concernés par ce que l'on voit à l'écran. Mais ce qui est frappant, c'est la tristesse de la réalité qu'elle dépeint. C'est un miroir brutal mais nécessaire de l'envers de notre monde.
Selon notre vécu, nous pouvons nous sentir plus ou moins concernés par ce que l'on voit à l'écran. Mais ce qui est frappant, c'est la tristesse de la réalité qu'elle dépeint. C'est un miroir brutal mais nécessaire de l'envers de notre monde.
Cette mini-série dramatique suédoise est plutôt une réussite . A la suite de petits larcins , un jeune caïd d'un gang est viré de son lycée . Celui-ci intègre un nouvel établissement où les brimades envers les premières années s ' accentuent . Entre un père brutal et une mère soumise , le jeune homme survivra t'il à un ordre établi . La violence engendrera t-elle la violence ?
La série se suit d'un trait grâce au récit et à l'interprétation , celle-ci est ponctuée d'une voix off pour moraliser façon "Grey's anatomy", même s'il y a des passages mièvres cette série est à découvrir .
La série se suit d'un trait grâce au récit et à l'interprétation , celle-ci est ponctuée d'une voix off pour moraliser façon "Grey's anatomy", même s'il y a des passages mièvres cette série est à découvrir .
Série suédoise accablante , puissante , à s'en mordre les poings !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Et dire que c'est vrai , mon Dieu !!!!!!!!!!!!!!! Cette spirale de violence , de brutalité entre les maîtres et les opprimés , très bien orchestrée au fil des épisodes , nous confirme intelligemment sans maladresse , qu'entre un père abruti et les dégénérés d'une école , on peut tomber facilement du côté de faire du mal à l'autre.....ne serait-ce que pour essayer d'exister.......La mère , incapable de l'aider , est bien à plaindre , aussi !!!!!!!!!!!!!! Rassurant de constater qu'en 1970 , on prenait déjà en compte les femmes battues , en Suède !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Bref , je ne sais pas si la petite amie du héros est dans le livre de Jan Guillou , en tous les cas , elle ne sert à rien............sauf à une sexe de sexe , incongrue......................et à une fin hollywoodienne !!!!!!!!!!!!!!!!! Malgré tout , les 5 étoiles sont méritées , aussi par le jeu excellent des 2 protagonistes .