Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Télé Loisirs
par Aubéry Mallet
Le pitch était déjà ambitieux, le résultat l'est tout autant !
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
Entre polar et science-fiction, série historique et d’anticipation, cette nouvelle pépite britannique parvient à trouver un bel équilibre. Difficile d’en dire davantage sur l’intrigue sans trop en dévoiler. Il n’en est que plus excitant de la découvrir au fil des épisodes, avec son lot de surprises et de révélations.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 7 Jours
par Christophe Séfrin
Comme un puzzle en huit épisodes et autant de pièces, cette série, adaptée d'un roman graphique de Si Spencer (2014), obsède par son scénario. Elle fascine, aussi, par sa temporalité, qui impose cependant une petite gymnastique d'esprit avec ses allers-retours entre passé et futur, et son récit alambiqué pour en comprendre tous les rouages. Mais "Bodies" joue à merveille avec les codes et nous propulse dans son univers fantastique, digne de H.G. Wells.
Ecran Large
par Adrien Roche
Le concept original de Bodies suffit à justifier son visionnage. Cette enquête à cheval entre le thriller et la science-fiction nous tient en haleine jusque dans ses dernières minutes. Mais son manque de confiance en elle, couplé à quelques facilités scénaristiques, l‘empêche de s’inscrire au Panthéon des mini-séries Netflix.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Un show qui ne révolutionnera rien, mais devant lequel on apprécie confronter nos certitudes avec nos théories à mesure que le mystère s'évanouit.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Monde
par Thomas Sotinel
Les auteurs sont de toute évidence plus à l’aise dans le présent ou le futur que dans les taudis dickensiens ou le Londres du Blitz. La valse entre les époques est assez étourdissante pour que l’on oublie ces imperfections.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Une enquête kaléidoscopique au suspense efficace.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Téléstar
par Romain Nigita
Avec ces enquêtes parallèles qui se déroulent à la fin du XIXème siècle, en 1941, de nos jours et dans le futur, cette adaptation d'une bande dessinée tente de mêler série policière et science-fiction. Si l'histoire est intrigante, dommage que la réalisation ne soit pas toujours à la hauteur et montre parfois des limites de son budget.
Première
par François Léger
Ultra intrigante dans ses deux premières heures où l’on passe d’une timeline à une autre, Bodies s’essouffle terriblement à mi-parcours (trois épisodes qui cherchent à complexifier l'intrigue et à donner de l'épaisseur aux personnages sans réellement y parvenir), avant de retrouver une certaine fougue dans sa conclusion.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
par Marius Chapuis
Derrière les promesses de ses premières minutes, "Bodies" n’en finit pas de décevoir. Par le vide de son propos, de ses personnages dont la profondeur se résume, comme l’intrigue, en quelques lignes et enfin par cette façon qu’à la série de ne même pas se respecter visuellement.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé Loisirs
Le pitch était déjà ambitieux, le résultat l'est tout autant !
Le Parisien
Entre polar et science-fiction, série historique et d’anticipation, cette nouvelle pépite britannique parvient à trouver un bel équilibre. Difficile d’en dire davantage sur l’intrigue sans trop en dévoiler. Il n’en est que plus excitant de la découvrir au fil des épisodes, avec son lot de surprises et de révélations.
Télé 7 Jours
Comme un puzzle en huit épisodes et autant de pièces, cette série, adaptée d'un roman graphique de Si Spencer (2014), obsède par son scénario. Elle fascine, aussi, par sa temporalité, qui impose cependant une petite gymnastique d'esprit avec ses allers-retours entre passé et futur, et son récit alambiqué pour en comprendre tous les rouages. Mais "Bodies" joue à merveille avec les codes et nous propulse dans son univers fantastique, digne de H.G. Wells.
Ecran Large
Le concept original de Bodies suffit à justifier son visionnage. Cette enquête à cheval entre le thriller et la science-fiction nous tient en haleine jusque dans ses dernières minutes. Mais son manque de confiance en elle, couplé à quelques facilités scénaristiques, l‘empêche de s’inscrire au Panthéon des mini-séries Netflix.
Le Journal du Geek
Un show qui ne révolutionnera rien, mais devant lequel on apprécie confronter nos certitudes avec nos théories à mesure que le mystère s'évanouit.
Le Monde
Les auteurs sont de toute évidence plus à l’aise dans le présent ou le futur que dans les taudis dickensiens ou le Londres du Blitz. La valse entre les époques est assez étourdissante pour que l’on oublie ces imperfections.
Télérama
Une enquête kaléidoscopique au suspense efficace.
Téléstar
Avec ces enquêtes parallèles qui se déroulent à la fin du XIXème siècle, en 1941, de nos jours et dans le futur, cette adaptation d'une bande dessinée tente de mêler série policière et science-fiction. Si l'histoire est intrigante, dommage que la réalisation ne soit pas toujours à la hauteur et montre parfois des limites de son budget.
Première
Ultra intrigante dans ses deux premières heures où l’on passe d’une timeline à une autre, Bodies s’essouffle terriblement à mi-parcours (trois épisodes qui cherchent à complexifier l'intrigue et à donner de l'épaisseur aux personnages sans réellement y parvenir), avant de retrouver une certaine fougue dans sa conclusion.
Libération
Derrière les promesses de ses premières minutes, "Bodies" n’en finit pas de décevoir. Par le vide de son propos, de ses personnages dont la profondeur se résume, comme l’intrigue, en quelques lignes et enfin par cette façon qu’à la série de ne même pas se respecter visuellement.