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Une série qui rend bien compte du monde du journalisme au début mais cela passe très vite au second plan et ne devient que très vite que prétexte à des histoires sentimentales sans intérêt.
C'est très bien joué, avec justesse, sincérité, émotion et profondeur. Une belle surprise !
Série courte et passionnante qui suit plusieurs journalistes TV dans l'Australie des années 1980. Les personnages sont attachants et les acteur-ices jouent bien.
Les événements historiques (catastrophe nucléaire de Tcherbobyl en tête) se succèdent et la pression monte dans la rédaction. Les relations interpersonnelles dégénèrent, entre homophobie, racisme et souffrances psy.
Dommage que les intriguent amoureuses dominent le récit, comme si TOUS les personnages devaient se caser. J'ai trouvé la série trop courte, j'espère qu'une saison 2 arrive !
Les événements historiques (catastrophe nucléaire de Tcherbobyl en tête) se succèdent et la pression monte dans la rédaction. Les relations interpersonnelles dégénèrent, entre homophobie, racisme et souffrances psy.
Dommage que les intriguent amoureuses dominent le récit, comme si TOUS les personnages devaient se caser. J'ai trouvé la série trop courte, j'espère qu'une saison 2 arrive !
lmmersion réussie dans la rédaction d'une chaîne d'informations en Australie au début des années 80. Du rythme, des intrigues, des amours, de l'humour, on passe d'excellents moments en compagnie de l'epatante Anna Torv.
Voyage dans le passé australien, cette série met en scène une rédaction télévisée en 1986, rythmée par les breaking news de l'époque. Ce microcosme fait écho au monde et au pays dans son ensemble, à son homophobie, à sa misogynie et à son manque de respect envers les aborigènes. Les rouages de la réussite et de la chute, les courses au pouvoir, l'ambition et les tractations se devinent peu à peu sous la romance un peu facile du début (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2023/02/19/profession-reporter-michael-lucas/)
velocio
Une des meilleures séries qu'il m'ait été donné de voir et la comédienne Anna Torv est absolument exceptionnelle.
Le métier de reporter et de présentateur n'est pas exempt des rivalités, des difficultés pour s'imposer ou bien rester à l'antenne.
spoiler:
Nous entrons dans les coulisses d'une chaîne de télévision australienne qui fabrique le journal quotidien de 18 heures. Bien évidemment des relations privilégiées ou antagonistes se créent entre présentateurs et reporters. Par épisode, un sujet d'actualité est traité ainsi que tout ce qui se passe hors antenne.
Tout cela produit une série vivante, agréable à visionner.
Tout cela produit une série vivante, agréable à visionner.
Découverte sur Arte, cette série est originale et on passe un bon moment.
Il faut passer le 1e épisode pour ensuite apprécier les personnages.
Chaque épisode traite un sujet en particulier et en même temps nous en dit un peu plus sur les personnages.
Le dernier épisode parle de Tchernobyl mais sans rentrer dans les détails, dommage!
Ce qui m'a manqué dans cette série, ce sont des scènes en extérieur, des décors un peu plus gais.
Il faut passer le 1e épisode pour ensuite apprécier les personnages.
Chaque épisode traite un sujet en particulier et en même temps nous en dit un peu plus sur les personnages.
Le dernier épisode parle de Tchernobyl mais sans rentrer dans les détails, dommage!
Ce qui m'a manqué dans cette série, ce sont des scènes en extérieur, des décors un peu plus gais.
j'avoue j'ai eu du mal au début mais quand j'ai réussi à rentrer dedans (dès le deuxième épisode) j'ai eu du mal à lâcher. J'espère qu'Arte passera la seconde saison. Les acteurs sont formidables, le scénario prenant. Les années 80 sont bien rendues mais ne sont pas le sujet principal (à mon grand soulagement). J'ai adoré : c'est plein de sentiment, de fragilité et de dureté aussi...comme la vie, avec ses non-dits, ses difficultés à s'accepter. Presque toute la galerie de personnage est attachante et bien servi par le scénario et cela sans longueur. Chapeau!
Déjà, le titre français est mal traduit. Newsreader ce n'est pas reporter, c'est présentateur de JT. Presentateur qui selon cette série, arrive à midi au bureau pour lire un prompteur, ne participe pas aux conférences de rédaction, et s'intéresse à l'actualité entre 2 parties de golf. D'ailleurs dans la rédaction de cette chaine de TV australienne, personne ne semble savoir ce qu'est le métier de journaliste ou une info, sauf le personnage d'Helen (brillament incarnée) qui aurait mérité d'occuper la place centrale plutôt que le débutant qu'on suit sans intérêt, y compris dans ses hésitations amoureuses dont on se demande ce que ca vient faire là. J'ai trouvé cette série peu crédible, et qui passe totalement à coté de son sujet. Les médias ont pris un virage trash dans les années 80, ce qui aurait fait une série intéressante. Ce thème est à peine effleuré avec le personnage du presentateur sexagénaire. Un vrai gâchis.
j'avoue j'ai eu du mal au début mais quand j'ai réussi à rentrer dedans (dès le deuxième épisode) j'ai eu du mal à lâcher. J'espère qu'Arte passera la seconde saison. Les acteurs sont formidables, le scénario prenant. Les années 80 sont bien rendues mais ne sont pas le sujet principal (à mon grand soulagement). J'ai adoré : c'est plein de sentiment, de fragilité et de dureté aussi...comme la vie, avec ses non-dits, ses difficultés à s'accepter. Presque toute la galerie de personnage est attachante et bien servi par le scénario et cela sans longueur. Chapeau!
Bonne série qui met en scène 2 personnages principaux et deux personnages secondaires très différents. Ils sont tous unis par une passion journalistique dévorante au point de négliger leurs vies privées. Nous assistons à des luttes intestines au sein d'une rédaction plus vraie que jamais. C'est excellemment joué et la réalisation est parfaite.