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Les huit épisodes, réunissant Helen Mirren et Harrison Ford dans les rôles de Cara et Jacob Dutton, rien de moins, sont spectaculaires, à l'aune des grandes productions hollywoodiennes des années 1950.
Crépusculaire et violente, prenante dès le premier épisode et régulièrement émouvante, débordant de magnifiques décors naturels (...) et éperdument romanesque (..), 1923 est une réussite. Tout simplement.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Ce drôle d’assemblage entre un western classique, un drame quasi gore, et une sorte d'"Out of Africa" à l’eau de rose, peut désarçonner. D’autant plus que la facture, entre quelques moments de grâce et beaucoup de scènes kitsch, n’a pas la rigueur esthétique de "1883".
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dans l’ensemble, 1923 prend habilement acte des accusations de conservatisme qui fusent régulièrement contre "Yellowstone" en dénonçant de façon plus évidente – et forcément un peu plus pataude – ce que les valeurs de l’Amérique "traditionnelle" portent en elles de mortifère.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ce scénario à trois voies, qui devraient se croiser dans le futur, est assez déstabilisant. Surtout la dernière, qui ne semble avoir aucun rapport avec les autres, là où les deux premières ont au moins un lien familial.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Figaro Magazine
Les huit épisodes, réunissant Helen Mirren et Harrison Ford dans les rôles de Cara et Jacob Dutton, rien de moins, sont spectaculaires, à l'aune des grandes productions hollywoodiennes des années 1950.
Télé Loisirs
Crépusculaire et violente, prenante dès le premier épisode et régulièrement émouvante, débordant de magnifiques décors naturels (...) et éperdument romanesque (..), 1923 est une réussite. Tout simplement.
Les Echos
Une distribution de haut vol pour un western aussi beau que violent.
Télérama
Ce drôle d’assemblage entre un western classique, un drame quasi gore, et une sorte d'"Out of Africa" à l’eau de rose, peut désarçonner. D’autant plus que la facture, entre quelques moments de grâce et beaucoup de scènes kitsch, n’a pas la rigueur esthétique de "1883".
Le Monde
Dans l’ensemble, 1923 prend habilement acte des accusations de conservatisme qui fusent régulièrement contre "Yellowstone" en dénonçant de façon plus évidente – et forcément un peu plus pataude – ce que les valeurs de l’Amérique "traditionnelle" portent en elles de mortifère.
Le Parisien
Ce scénario à trois voies, qui devraient se croiser dans le futur, est assez déstabilisant. Surtout la dernière, qui ne semble avoir aucun rapport avec les autres, là où les deux premières ont au moins un lien familial.