Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
Le pari est réussi tant on vibre aux côtés de Miep et de Jan Gies, en riant, en pleurant et, surtout, en étant bouleversé par les destins de ces héros et de ces victimes qui ont fini par former une véritable famille.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Fabrice Dupreuilh
Le résultat, convaincant, s'éloigne ainsi des standards de ces séries, souvent estampillées « service public, » engoncées dans leur volonté louable de « faire vrai ». Et s'inscrit parfaitement dans un devoir de mémoire plus que jamais nécessaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Numerama
par Salammbô Marie
Concentrée sur les deux années pendant lesquelles la famille Franck a dû se cacher, entre 1942 et 1944, la mini-série parvient à être instructive, sans tomber dans la leçon de vie ou d’Histoire trop assommante. Au contraire, Une Lueur d’espoir porte bien son nom et dégage une forme d’optimisme lumineux, même dans les moments les plus sombres.
La critique complète est disponible sur le site Numerama
Télé Loisirs
par Claire Lavarenne
Avec une reconstitution historique et un casting solides, cette série propose un point de vue moins connu sur cette tragédie.
Le Monde
par Audrey Fournier
Sans misérabilisme ni didactisme, mais avec beaucoup de vitalité et un certain humour, "Une lueur d’espoir" dépeint finement le quotidien hors la loi d’une jeune femme farouchement attachée à sa liberté, résolue à ne rien faire qui soit contraire à ses valeurs. Dans la peau de Miep, la Britannique Isobel Powley confère à son personnage la stature d’une grande résistante. Rien que pour elle, la série est à ne pas manquer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Marianne
par Benoît Franquebalme
On aurait pu craindre une simple fiction de plus, consacrée à la martyre d’Amsterdam. Mais « Une lueur d'espoir » a l’intelligence de ne pas rester collée à son sujet. Effectuant un salutaire pas de côté, la série se concentre sur la figure de Miep Gies qui cacha deux ans durant la famille Frank.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télé 7 Jours
par Pierre Chagny
Cette mini-série dévoile une facette méconnue de l’histoire d’Anne Frank et met en lumière le destin d’une femme d’exception : Miep Gies. La secrétaire d’Otto Frank a risqué sa vie pour le cacher avec sa famille et d’autres Juifs, à Amsterdam, pendant la Seconde Guerre mondiale. Son courage et sa détermination sont une leçon à retenir en ces temps de plus en plus troubles.
Le Parisien
Le pari est réussi tant on vibre aux côtés de Miep et de Jan Gies, en riant, en pleurant et, surtout, en étant bouleversé par les destins de ces héros et de ces victimes qui ont fini par former une véritable famille.
Le Point
Le résultat, convaincant, s'éloigne ainsi des standards de ces séries, souvent estampillées « service public, » engoncées dans leur volonté louable de « faire vrai ». Et s'inscrit parfaitement dans un devoir de mémoire plus que jamais nécessaire.
Numerama
Concentrée sur les deux années pendant lesquelles la famille Franck a dû se cacher, entre 1942 et 1944, la mini-série parvient à être instructive, sans tomber dans la leçon de vie ou d’Histoire trop assommante. Au contraire, Une Lueur d’espoir porte bien son nom et dégage une forme d’optimisme lumineux, même dans les moments les plus sombres.
Télé Loisirs
Avec une reconstitution historique et un casting solides, cette série propose un point de vue moins connu sur cette tragédie.
Le Monde
Sans misérabilisme ni didactisme, mais avec beaucoup de vitalité et un certain humour, "Une lueur d’espoir" dépeint finement le quotidien hors la loi d’une jeune femme farouchement attachée à sa liberté, résolue à ne rien faire qui soit contraire à ses valeurs. Dans la peau de Miep, la Britannique Isobel Powley confère à son personnage la stature d’une grande résistante. Rien que pour elle, la série est à ne pas manquer.
Marianne
On aurait pu craindre une simple fiction de plus, consacrée à la martyre d’Amsterdam. Mais « Une lueur d'espoir » a l’intelligence de ne pas rester collée à son sujet. Effectuant un salutaire pas de côté, la série se concentre sur la figure de Miep Gies qui cacha deux ans durant la famille Frank.
Télé 7 Jours
Cette mini-série dévoile une facette méconnue de l’histoire d’Anne Frank et met en lumière le destin d’une femme d’exception : Miep Gies. La secrétaire d’Otto Frank a risqué sa vie pour le cacher avec sa famille et d’autres Juifs, à Amsterdam, pendant la Seconde Guerre mondiale. Son courage et sa détermination sont une leçon à retenir en ces temps de plus en plus troubles.