Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
Une histoire vibrante, aussi intime que puissante, magnifiquement interprétée notamment par le jeune Colin O’Brien, bouleversant dans la peau d’Edward.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
Dans le sillage de This Is Us, ce beau mélodrame pudique chronique l'espoir et la résilience collective qui peuvent surgir d'une tragédie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Télé Z
par Camille Sanson
Au-delà de la brutalité émotionnelle du début, cette histoire est un message d’espoir. Petit à petit, la nostalgie laisse place au présent. Et les protagonistes, tous attachants, basculent du deuil à la lumière.
Collider
par Taylor Gates
"Dear Edward" est imparfaite mais parvient finalement à convaincre, en explorant astucieusement avec délicatesse le sujet du deuil et des relations. La série est rafraichissante, sans violence, axée sur ses personnages et le fil émotionnel qui les relie.
La critique complète est disponible sur le site Collider
Le Monde
par Audrey Fournier
Entre le chagrin, la résilience, la colère, la nostalgie et l’éventail des possibles que cette hécatombe ouvre dans la vie de ceux qui restent, le panel des émotions déployées dans Dear Edward séduira sans doute au-delà du public auquel se destine le roman de l’Américaine Ann Napolitano (peu aidé par son titre français : N’oublie pas de vivre), duquel la série est adaptée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
"Dear Edward" ne parvient jamais à rendre tous ses personnages passionnants. Au contraire, en s'attardant sur un trop grand nombre d'entre eux à travers son montage choral mal étudié, la plupart sont survolés et la série finit par ennuyer.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
TV Guide
par Matt Roush
Les intrigues secondaires sont inégales. Certaines sont convaincantes - Anna Uzele est particulièrement bien dans la peau de la petite-fille idéaliste d’un politicien - et d’autres sous-développées.
La critique complète est disponible sur le site TV Guide
Télérama
par Caroline Veunac
Surchargée de personnages et de trajectoires, "N'oublie pas de vivre" voit son impact émotionnel se diluer. Alors, certes, Connie Britton est formidable d’abattage, et Jason Katims fait de la télé comme il respire, mais le plaisir de cette série à l’ancienne aurait été plus fort si elle avait su choisir ses batailles
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Variety
par Daniel D'Addario
Adaptation littéraire intelligente mais maladroite, pleine de bonnes intentions et de personnages intéressants mais qui en fait des tonnes... La seule artiste qui semble prendre beaucoup de plaisir c'est Connie Britton. Elle prend toute la lumière en interprétant Dee Dee.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
En dépit d’un premier épisode remarquablement conçu, la nouvelle création d’Apple ne parvient jamais à tutoyer l’ampleur (mélo)dramatique du soap de Dan Fogelman, et épuise rapidement son sujet à force d’excès lacrymaux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Parisien
Une histoire vibrante, aussi intime que puissante, magnifiquement interprétée notamment par le jeune Colin O’Brien, bouleversant dans la peau d’Edward.
Le Figaro Magazine
Dans le sillage de This Is Us, ce beau mélodrame pudique chronique l'espoir et la résilience collective qui peuvent surgir d'une tragédie.
Télé Z
Au-delà de la brutalité émotionnelle du début, cette histoire est un message d’espoir. Petit à petit, la nostalgie laisse place au présent. Et les protagonistes, tous attachants, basculent du deuil à la lumière.
Collider
"Dear Edward" est imparfaite mais parvient finalement à convaincre, en explorant astucieusement avec délicatesse le sujet du deuil et des relations. La série est rafraichissante, sans violence, axée sur ses personnages et le fil émotionnel qui les relie.
Le Monde
Entre le chagrin, la résilience, la colère, la nostalgie et l’éventail des possibles que cette hécatombe ouvre dans la vie de ceux qui restent, le panel des émotions déployées dans Dear Edward séduira sans doute au-delà du public auquel se destine le roman de l’Américaine Ann Napolitano (peu aidé par son titre français : N’oublie pas de vivre), duquel la série est adaptée.
Ecran Large
"Dear Edward" ne parvient jamais à rendre tous ses personnages passionnants. Au contraire, en s'attardant sur un trop grand nombre d'entre eux à travers son montage choral mal étudié, la plupart sont survolés et la série finit par ennuyer.
TV Guide
Les intrigues secondaires sont inégales. Certaines sont convaincantes - Anna Uzele est particulièrement bien dans la peau de la petite-fille idéaliste d’un politicien - et d’autres sous-développées.
Télérama
Surchargée de personnages et de trajectoires, "N'oublie pas de vivre" voit son impact émotionnel se diluer. Alors, certes, Connie Britton est formidable d’abattage, et Jason Katims fait de la télé comme il respire, mais le plaisir de cette série à l’ancienne aurait été plus fort si elle avait su choisir ses batailles
Variety
Adaptation littéraire intelligente mais maladroite, pleine de bonnes intentions et de personnages intéressants mais qui en fait des tonnes... La seule artiste qui semble prendre beaucoup de plaisir c'est Connie Britton. Elle prend toute la lumière en interprétant Dee Dee.
Les Inrockuptibles
En dépit d’un premier épisode remarquablement conçu, la nouvelle création d’Apple ne parvient jamais à tutoyer l’ampleur (mélo)dramatique du soap de Dan Fogelman, et épuise rapidement son sujet à force d’excès lacrymaux.