Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Decider
par Joel Keller
Michelle Buteau est fantastique dans "La Loi de la plus forte", et nous sommes impatients de voir comment son personnage, Mavis, habite son monde pour la première fois depuis des années.
La critique complète est disponible sur le site Decider
Konbini
par Jennifer Padjemi
Enfin une série où les personnages non normés ne sont pas qu’un quota.
La critique complète est disponible sur le site Konbini
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
Malgré des thèmes qui peuvent paraître vus et revus, "La Loi de la plus forte" sort du lot grâce à son ton pétillant, ses situations improbables – on assiste par exemple à un mariage canin et lesbien – et une galerie de personnages bien sentis.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
The Hollywood Reporter
par Angie Han
En l'état, le ton plaisant de la série passe facilement, ce qui la rend probablement idéale à regarder en buvant un verre ou quatre de rosé. Mais Mavis, en fin de compte, refuse de se contenter d'emprunter la voie la plus facile et pratique. La série ne devrait pas s'en contenter non plus.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Time
par Judy Berman
Entre la durée trop courte d'une saison de 8 épisodes de 25 minutes, la platitude des scénarios et un personnage principal trop incohérent, ces lacunes ne permettent pas à la série de trouver sa voie.
La critique complète est disponible sur le site Time
Télé 7 Jours
par Katia de la Ballina
Personnages hauts en couleur, punchlines en rafales, inclusivité... la série colle parfaitement au cahier des charges de la plateforme. Trop peut-être. Aussi agréable à regarder que facile à oublier !
Variety
par Alison Herman
En seulement huit épisodes, "La Loi de la plus forte" se révèle trop encombrée d'intrigues secondaires et de thématiques différentes pour être efficace.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Télérama
par Marianne Levy
Après "Le Journal de Bridget Jones" d’Helen Fielding et le "Mindy Project", de Mindy Kaling, il fallait vraiment avoir quelque chose de nouveau à dire sur le sujet. Ce n’est pas le cas de cette adaptation d’un livre éponyme qui emprunte le toboggan de la facilité en compilant les clichés (à l’exception d’une scène de cuite qui se termine audacieusement par un tête-à-tête avec… la baignoire) pour accoucher du portrait d’une "meuf" – comme le décline le titre de chaque épisode − si caricaturale. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Decider
Michelle Buteau est fantastique dans "La Loi de la plus forte", et nous sommes impatients de voir comment son personnage, Mavis, habite son monde pour la première fois depuis des années.
Konbini
Enfin une série où les personnages non normés ne sont pas qu’un quota.
Le Parisien
Malgré des thèmes qui peuvent paraître vus et revus, "La Loi de la plus forte" sort du lot grâce à son ton pétillant, ses situations improbables – on assiste par exemple à un mariage canin et lesbien – et une galerie de personnages bien sentis.
The Hollywood Reporter
En l'état, le ton plaisant de la série passe facilement, ce qui la rend probablement idéale à regarder en buvant un verre ou quatre de rosé. Mais Mavis, en fin de compte, refuse de se contenter d'emprunter la voie la plus facile et pratique. La série ne devrait pas s'en contenter non plus.
Time
Entre la durée trop courte d'une saison de 8 épisodes de 25 minutes, la platitude des scénarios et un personnage principal trop incohérent, ces lacunes ne permettent pas à la série de trouver sa voie.
Télé 7 Jours
Personnages hauts en couleur, punchlines en rafales, inclusivité... la série colle parfaitement au cahier des charges de la plateforme. Trop peut-être. Aussi agréable à regarder que facile à oublier !
Variety
En seulement huit épisodes, "La Loi de la plus forte" se révèle trop encombrée d'intrigues secondaires et de thématiques différentes pour être efficace.
Télérama
Après "Le Journal de Bridget Jones" d’Helen Fielding et le "Mindy Project", de Mindy Kaling, il fallait vraiment avoir quelque chose de nouveau à dire sur le sujet. Ce n’est pas le cas de cette adaptation d’un livre éponyme qui emprunte le toboggan de la facilité en compilant les clichés (à l’exception d’une scène de cuite qui se termine audacieusement par un tête-à-tête avec… la baignoire) pour accoucher du portrait d’une "meuf" – comme le décline le titre de chaque épisode − si caricaturale. Dommage.