Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Elle
par Sophie Rosemont
Enfin un détective privé qui sort du lot, notamment grâce à Colin Farrell, qui, décidément, se bonifie comme un vieux whisky.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
L'intrigue, sinueuse à souhait et portée par des personnages aussi énigmatiques que singuliers, installe une ambiance prenante et hors du temps.
Téléstar
par Romain Nigita
Dans la peau d'un personnage aussi archétypal qu'un détective privé, Colin Farrell s'avère parfait.
Ecran Large
par Axelle Vacher
À la croisée des genres et des attentes, "Sugar" s’impose comme une proposition rafraichissante et osée qui, sans réinventer la roue, se soucie enfin de la faire rouler convenablement.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
Un hommage aux classiques du noir d’antan qui lorgne sur d’autres genres plus inattendus.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
D’abord déstabilisant, surtout après une scène d’ouverture déroutante en noir et blanc où le détective opère au Japon, le procédé se révèle très efficace pour mieux comprendre la psyché de John Sugar.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marie Claire
par Clélia Cohen
Alors que l'intrigue est contemporaine, la série dégage quelque chose de délicieusement vintage, à commencer par ce détective cinéphile qui ne quitte jamais son élégant costume-cravate.
Ouest France
par Pierre Lunn
Ce programme rutilant (avouons-le, c’est parfois un peu chichiteux) se regarde pour deux raisons essentielles. John Sugar est un dingue de cinéma et, comme dans la série Dream on, cette obsession contamine le récit. (...) Mais surtout, il y a Colin Farrell.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Télé 7 Jours
par Christophe Séfrin
Cette série est une forme d'hommage au genre, qui convoque, par des flashs récurrents, des extraits de classiques hollywoodiens, comme autant de références revendiquées pour nous livrer une vision contemporaine et perpétuer la tradition.
Télé Loisirs
par Stéphanie Fuzeau
Colin Farrell traîne son élégante silhouette et sa mélancolie dans ce polar d'atmosphère où il campe avec brio un privé taiseux à la recherche de la petite-fille d'un producteur hollywoodien.
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Réalisée en partie par Fernando Meirelles, "Sugar" déploie donc des trésors de mise en scène, comme on en voit trop rarement dans l’univers sériel. Parfois à l’excès...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Colin Farrell incarne avec talent un privé cinéphile, mélancolique et old school.
Première
par Pierre Lunn
Une série de détective privé post-moderne qui repose surtout sur l'extraordinaire performance de Colin Farrell.
Le Monde
par Audrey Fournier
A mesure que le mystère s’éclaircit autour de la disparition d’Olivia, et que le voile se lève sur les secrets de la famille Siegel, la série perd logiquement de sa substance et de son intérêt, mais elle va ici jusqu’à se fracasser contre un dénouement étrange, moins raté que déconcertant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Clélia Cohen
A regarder toutes les images, des plus belles aux plus "ordinaires" en apparence. Malheureusement un dénouement calamiteux viendra gâcher ces beaux effets de style, donc on conseille vivement de s’arrêter avant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Elle
Enfin un détective privé qui sort du lot, notamment grâce à Colin Farrell, qui, décidément, se bonifie comme un vieux whisky.
Le Journal du Dimanche
L'intrigue, sinueuse à souhait et portée par des personnages aussi énigmatiques que singuliers, installe une ambiance prenante et hors du temps.
Téléstar
Dans la peau d'un personnage aussi archétypal qu'un détective privé, Colin Farrell s'avère parfait.
Ecran Large
À la croisée des genres et des attentes, "Sugar" s’impose comme une proposition rafraichissante et osée qui, sans réinventer la roue, se soucie enfin de la faire rouler convenablement.
Le Figaro Magazine
Un hommage aux classiques du noir d’antan qui lorgne sur d’autres genres plus inattendus.
Le Parisien
D’abord déstabilisant, surtout après une scène d’ouverture déroutante en noir et blanc où le détective opère au Japon, le procédé se révèle très efficace pour mieux comprendre la psyché de John Sugar.
Marie Claire
Alors que l'intrigue est contemporaine, la série dégage quelque chose de délicieusement vintage, à commencer par ce détective cinéphile qui ne quitte jamais son élégant costume-cravate.
Ouest France
Ce programme rutilant (avouons-le, c’est parfois un peu chichiteux) se regarde pour deux raisons essentielles. John Sugar est un dingue de cinéma et, comme dans la série Dream on, cette obsession contamine le récit. (...) Mais surtout, il y a Colin Farrell.
Télé 7 Jours
Cette série est une forme d'hommage au genre, qui convoque, par des flashs récurrents, des extraits de classiques hollywoodiens, comme autant de références revendiquées pour nous livrer une vision contemporaine et perpétuer la tradition.
Télé Loisirs
Colin Farrell traîne son élégante silhouette et sa mélancolie dans ce polar d'atmosphère où il campe avec brio un privé taiseux à la recherche de la petite-fille d'un producteur hollywoodien.
Télérama
Réalisée en partie par Fernando Meirelles, "Sugar" déploie donc des trésors de mise en scène, comme on en voit trop rarement dans l’univers sériel. Parfois à l’excès...
Les Inrockuptibles
Colin Farrell incarne avec talent un privé cinéphile, mélancolique et old school.
Première
Une série de détective privé post-moderne qui repose surtout sur l'extraordinaire performance de Colin Farrell.
Le Monde
A mesure que le mystère s’éclaircit autour de la disparition d’Olivia, et que le voile se lève sur les secrets de la famille Siegel, la série perd logiquement de sa substance et de son intérêt, mais elle va ici jusqu’à se fracasser contre un dénouement étrange, moins raté que déconcertant.
Libération
A regarder toutes les images, des plus belles aux plus "ordinaires" en apparence. Malheureusement un dénouement calamiteux viendra gâcher ces beaux effets de style, donc on conseille vivement de s’arrêter avant.