Série du génial Patrick Mcgohan, mets en scène un agent secret qui après avoir démissionné, se retrouve dans un village, prisonnier, dont on ne s'échappe pas. Cette série est une allégorie sur l'enfermement psychologique, la manipulation et tout ce qui en attrait. Tout le monde a un numéro, et notre héros est le numéro 6, ce qui constitue une image que tout ce qu est i carte bancaire, sécurité sociale, sont des numéros, et toute notre vie, on est cependant d'eux. Le village est dirigé par des numéros 2, et un numéro 1 que à la fin de la série, on connaît l'identité, et d'ailleurs, c'est le but du numéro 6, de découvrir son identité. Il n'y a pas de mur, de barreaux aux fenêtres, car le gardien (le rôdeur), n'est autre qu'une bulle qui a pour but d'étouffer ces victimes, ou de les ramener, et qui est en analogie, tout ce qui nous étouffent dans notre vie actuelle. Il découvre à la fin de la série que le numéro 1, n'est autre que lui même, ou plutôt son côté négatif, bestial de lui même, et démontre, que l'on a tous un numéro 1 en nous, et qu'on est en toujours en lutte en nous même, entre le bien et le mal. Alors, il y a plusieurs théories, dont celle ci, qu'il serait mort, et que le village, n'est autre que le purgatoire. Quand il est soit disant libre, et qu'il a gagné son paradis, on remarque que la porte de chez lui, est automatique. À méditer. Bonjour chez vous !