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Comédie d'action à grand spectacle entre "Lupin" et "Fast and Furious", "Berlin" mise sur la légèreté. Fini les crescendos de violence et les fusillades qui avaient rendu insupportables les ultimes prouesses de La casa de papel. Le spectateur est là pour s'amuser.
Si "Berlin" se déroule avant "La casa de papel", les scènes d'action, elles, font un saut dans le futur. Obligé de faire plus fort que la série mère, Alex Piña s'est tout autorisé (...) Pas toujours crédible, mais on en prend plein les yeux.
Le ton est plus léger que dans la série originale. Fini les revendications pseudo-politiques et les coups de feu à tout va. Cette fois, l'ambiance est au casse à l'ancienne, avec un style drôle et romantique à la "Ocean's Eleven".
Si Berlin fait le job avec habileté en introduisant de nouveaux jeunes personnages divertissants, certains regretteront peut-être qu’Alex Pina persiste dans l’univers de La Casa de Papel plutôt que de proposer une vraie nouveauté.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Encore une fois, pour le réalisme on repassera. Mais si on accepte de se laisser porter, on profite d’une série divertissante (beaucoup moins violente que la dernière saison de La Casa de papel), mélangeant suspense, action et comédie romantique.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
La série mise un mélange d'action, de suspense, mais aussi d'humour. Si ce spin-off ne surprend pas dans son écriture ou sa mise en scène, il n'aura pas de mal à convaincre les irréductibles de l'original.
"Berlin" se place parfaitement dans la lignée de La Casa de Papel. Et comme on n'attendait pas une finesse extrême dans le scénario, en cela, Berlin remplit sa mission : divertir, sans prise de tête.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Si vous étiez venu voir une série de braquage, vous êtes également au bon endroit, mais la seule victime, c'est le spectateur. Huit épisodes pour ne rien raconter, c'est effectivement du vol qualifié.
Le Figaro Magazine
Comédie d'action à grand spectacle entre "Lupin" et "Fast and Furious", "Berlin" mise sur la légèreté. Fini les crescendos de violence et les fusillades qui avaient rendu insupportables les ultimes prouesses de La casa de papel. Le spectateur est là pour s'amuser.
Voici
Si "Berlin" se déroule avant "La casa de papel", les scènes d'action, elles, font un saut dans le futur. Obligé de faire plus fort que la série mère, Alex Piña s'est tout autorisé (...) Pas toujours crédible, mais on en prend plein les yeux.
Le Parisien
La série est aussi peu crédible que son aînée mais hautement divertissante avec des personnages bien sentis.
Téléstar
Le ton est plus léger que dans la série originale. Fini les revendications pseudo-politiques et les coups de feu à tout va. Cette fois, l'ambiance est au casse à l'ancienne, avec un style drôle et romantique à la "Ocean's Eleven".
20 Minutes
Si Berlin fait le job avec habileté en introduisant de nouveaux jeunes personnages divertissants, certains regretteront peut-être qu’Alex Pina persiste dans l’univers de La Casa de Papel plutôt que de proposer une vraie nouveauté.
Ouest France
Encore une fois, pour le réalisme on repassera. Mais si on accepte de se laisser porter, on profite d’une série divertissante (beaucoup moins violente que la dernière saison de La Casa de papel), mélangeant suspense, action et comédie romantique.
Télé 7 Jours
La série mise un mélange d'action, de suspense, mais aussi d'humour. Si ce spin-off ne surprend pas dans son écriture ou sa mise en scène, il n'aura pas de mal à convaincre les irréductibles de l'original.
Télé Loisirs
"Berlin" se place parfaitement dans la lignée de La Casa de Papel. Et comme on n'attendait pas une finesse extrême dans le scénario, en cela, Berlin remplit sa mission : divertir, sans prise de tête.
Télérama
Haut les mains et les cœurs, donc : un mélange des genres hasardeux, moyennement convaincant.
Le Journal du Geek
Si vous étiez venu voir une série de braquage, vous êtes également au bon endroit, mais la seule victime, c'est le spectateur. Huit épisodes pour ne rien raconter, c'est effectivement du vol qualifié.