Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Télé Loisirs
par A. A.
Christoph Waltz, coutumier des rôles de méchant, endosse avec brio le costume de sociopathe... Une satire féroce, inspirée du roman éponyme de Bentley Little.
Franceinfo Culture
par Laurent Valière
Une série rythmée et surprenante inspirée d'un best-seller apprécié de Stephen King.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Monde
par Thomas Sotinel
Sans la prestance et la perversité de Christoph Waltz, "The Consultant" ne serait peut-être qu’une fable de plus sur les dévoiements du capitalisme en général, de la gestion des ressources humaines en particulier. Mais il est là, l’acteur autrichien, et cette minisérie devient un conte horrifique à faire dresser les cheveux sur la tête, une comédie d’une noirceur abyssale.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
Heureusement que les huit volets ne durent chacun qu’une demi-heure, parce qu’un format plus long aurait été difficilement supportable, tant le ton et la tension sont bizarres. À ce jeu-là, Christoph Waltz est un maestro et, rien que pour sa performance, « The Consultant » vaut le détour.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Pierre Langlais
Tony Basgallop dénonce la violence des managers, la fragilité des employés, le harcèlement moral que les plus puissants exercent sur les plus faibles. Ce sous-texte, ici plus frontal, n’enlève rien au plaisir de se laisser surprendre par l’humour noir de la série et ses rebondissements improbables. Surtout, on ne se lasse pas du fabuleux numéro de cabotin de Christoph Waltz, survolté en "cost killer" infernal.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Lino Cassinat
La série se refuse obstinément à prendre son envol, multiplie les pas de côtés pour privilégier un mystère à la fois peu passionnant et mal raconté. Si les facéties du personnage titre piquent l’attention, l'enquête menée par les deux protagonistes incarnés par Nat Wolff et Brittany O'Grady patine pendant les huit épisodes qui composent cette première saison.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Télé 7 Jours
par Amandine Scherer
Jouant longuement le jeu du "que cache-t-il ?", la série épuise avant même de commencer à intriguer.
Télé Loisirs
Christoph Waltz, coutumier des rôles de méchant, endosse avec brio le costume de sociopathe... Une satire féroce, inspirée du roman éponyme de Bentley Little.
Franceinfo Culture
Une série rythmée et surprenante inspirée d'un best-seller apprécié de Stephen King.
Le Monde
Sans la prestance et la perversité de Christoph Waltz, "The Consultant" ne serait peut-être qu’une fable de plus sur les dévoiements du capitalisme en général, de la gestion des ressources humaines en particulier. Mais il est là, l’acteur autrichien, et cette minisérie devient un conte horrifique à faire dresser les cheveux sur la tête, une comédie d’une noirceur abyssale.
Le Parisien
Heureusement que les huit volets ne durent chacun qu’une demi-heure, parce qu’un format plus long aurait été difficilement supportable, tant le ton et la tension sont bizarres. À ce jeu-là, Christoph Waltz est un maestro et, rien que pour sa performance, « The Consultant » vaut le détour.
Télérama
Tony Basgallop dénonce la violence des managers, la fragilité des employés, le harcèlement moral que les plus puissants exercent sur les plus faibles. Ce sous-texte, ici plus frontal, n’enlève rien au plaisir de se laisser surprendre par l’humour noir de la série et ses rebondissements improbables. Surtout, on ne se lasse pas du fabuleux numéro de cabotin de Christoph Waltz, survolté en "cost killer" infernal.
Ecran Large
La série se refuse obstinément à prendre son envol, multiplie les pas de côtés pour privilégier un mystère à la fois peu passionnant et mal raconté. Si les facéties du personnage titre piquent l’attention, l'enquête menée par les deux protagonistes incarnés par Nat Wolff et Brittany O'Grady patine pendant les huit épisodes qui composent cette première saison.
Télé 7 Jours
Jouant longuement le jeu du "que cache-t-il ?", la série épuise avant même de commencer à intriguer.