Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Télérama
par Marion Michel
Voilà un mélange aussi étonnant que réussi ! Série teenage aux discrets accents de dramédie sociale quand elle pointe du doigt, avec beaucoup de délicatesse, les discriminations raciales subies par Jin Wang et sa famille, Américain de Chine trempe aussi dans la pop culture, versant manga, kung-fu et légendes ancestrales.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Marius Chapuis
Dense et foutraque, la série célèbre Bon Jovi, parle d’un dieu transformé en chihuahua à l’anus bouché, organise des scènes de wu xia pian en cantine ou bowling, et revient d’une vague de mèmes reprenant une sitcom raciste des années 90 avec, en vedette traumatisée, Ke Huy Quan, qui retrouve ici sa compagne d’"Everything Everywhere All at Once", Michelle Yeoh en Déesse de la miséricorde. On passe d’un cours de biologie au Sublime Banquet des pêches de l’immortalité. C’est sobre et grandiloquent, kitsch et premier degré. Tout ce qui manque à Marvel Studios.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé Loisirs
par Roxane Mansano
Même si tous ces sujets sont importants, la série reste également très divertissante grâce à ses nombreuses scènes d'action et son humour. Le tout agrémenté de quelques moments touchants !
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
Tout n’est pas parfait dans "Américain de Chine" qui souffre de quelques maladresses scénaristiques et d’une volonté d’en faire parfois un peu trop. Pourtant, cette série se révèle touchante en tant que chronique adolescente, palpitante en thriller fantastique et pertinente en tableau implacable du racisme ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 7 Jours
par Christophe Séfrin
Au demeurant un peu simpliste, ce conte fantastique, pétri de culture manga, ne tarde pourtant pas à révéler son potentiel. La présence au casting de Michelle Yeoh apporte à cette série un intérêt supplémentaire.
Numerama
par Salammbô Marie
La série oscille ainsi constamment entre too much et pas assez, entre une grande originalité et une classicisme peut-être propre à Disney, qui l’empêche de trouver son identité, à l’image de son héros, Jin Wang.
La critique complète est disponible sur le site Numerama
Télérama
Voilà un mélange aussi étonnant que réussi ! Série teenage aux discrets accents de dramédie sociale quand elle pointe du doigt, avec beaucoup de délicatesse, les discriminations raciales subies par Jin Wang et sa famille, Américain de Chine trempe aussi dans la pop culture, versant manga, kung-fu et légendes ancestrales.
Libération
Dense et foutraque, la série célèbre Bon Jovi, parle d’un dieu transformé en chihuahua à l’anus bouché, organise des scènes de wu xia pian en cantine ou bowling, et revient d’une vague de mèmes reprenant une sitcom raciste des années 90 avec, en vedette traumatisée, Ke Huy Quan, qui retrouve ici sa compagne d’"Everything Everywhere All at Once", Michelle Yeoh en Déesse de la miséricorde. On passe d’un cours de biologie au Sublime Banquet des pêches de l’immortalité. C’est sobre et grandiloquent, kitsch et premier degré. Tout ce qui manque à Marvel Studios.
Télé Loisirs
Même si tous ces sujets sont importants, la série reste également très divertissante grâce à ses nombreuses scènes d'action et son humour. Le tout agrémenté de quelques moments touchants !
Le Parisien
Tout n’est pas parfait dans "Américain de Chine" qui souffre de quelques maladresses scénaristiques et d’une volonté d’en faire parfois un peu trop. Pourtant, cette série se révèle touchante en tant que chronique adolescente, palpitante en thriller fantastique et pertinente en tableau implacable du racisme ordinaire.
Télé 7 Jours
Au demeurant un peu simpliste, ce conte fantastique, pétri de culture manga, ne tarde pourtant pas à révéler son potentiel. La présence au casting de Michelle Yeoh apporte à cette série un intérêt supplémentaire.
Numerama
La série oscille ainsi constamment entre too much et pas assez, entre une grande originalité et une classicisme peut-être propre à Disney, qui l’empêche de trouver son identité, à l’image de son héros, Jin Wang.