Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
Habituée aux rôles de vamp, Gemma Arterton dévoile ici un côté "pieds sur terre" et populaire réjouissant. Une sorte de petite-cousine pragmatique de "La Fabuleuse Mme Maisel" avec qui elle a en commun une sublime garde-robe et une absence totale de filtres.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
Face à Gemma Arterton, la galerie de personnages masculins n’est pas en reste, de Rupert Everett (grimé à outrance en vieux manageur révélateur de talents) à Tom Bateman, au charme indéniable. Mais dès que l’héroïne apparaît dans le cadre, elle est une tempête de charisme qui emporte tout sur son passage.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Câble Sat
par Cédric Melon
Portée par une Gemma Arterton lumineuse, "Funny Woman" propose une immersion drôle et savoureuse dans le Londres des sixties.
La critique complète est disponible sur le site Télé Câble Sat
Télé Loisirs
par Elodie Poinsot
Une comédie aussi pétillante que renversante qui bouleverse l'ordre établi.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Télérama
par Marianne Levy
Dans "Funny Woman", la gaieté et la profondeur se côtoient d’emblée sans jamais s’oblitérer grâce au talent de Morvenna Banks, sa créatrice. Au rythme d’une BO irrésistible, l’aventure émancipatrice de Barbara, qui refuse crânement d’être prisonnière de ce que les autres projettent sur sa plastique, est servie par la réalisation enlevée et ultra pop d’Oliver Parker.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Charles Martin
"Funny Woman" doit tout à l'énergie débordante de Gemma Arterton. C'est elle qui donne ce petit supplément d'âme à l'adaptation du livre de Nick Hornby. Avec son accent improbable, ses mimiques d'adorable étourdie et cette mou mutine dévastatrice, Arterton déploie des talents comiques qu'on ne lui connaissait guère.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro Magazine
Habituée aux rôles de vamp, Gemma Arterton dévoile ici un côté "pieds sur terre" et populaire réjouissant. Une sorte de petite-cousine pragmatique de "La Fabuleuse Mme Maisel" avec qui elle a en commun une sublime garde-robe et une absence totale de filtres.
Le Parisien
Face à Gemma Arterton, la galerie de personnages masculins n’est pas en reste, de Rupert Everett (grimé à outrance en vieux manageur révélateur de talents) à Tom Bateman, au charme indéniable. Mais dès que l’héroïne apparaît dans le cadre, elle est une tempête de charisme qui emporte tout sur son passage.
Télé Câble Sat
Portée par une Gemma Arterton lumineuse, "Funny Woman" propose une immersion drôle et savoureuse dans le Londres des sixties.
Télé Loisirs
Une comédie aussi pétillante que renversante qui bouleverse l'ordre établi.
Télérama
Dans "Funny Woman", la gaieté et la profondeur se côtoient d’emblée sans jamais s’oblitérer grâce au talent de Morvenna Banks, sa créatrice. Au rythme d’une BO irrésistible, l’aventure émancipatrice de Barbara, qui refuse crânement d’être prisonnière de ce que les autres projettent sur sa plastique, est servie par la réalisation enlevée et ultra pop d’Oliver Parker.
Première
"Funny Woman" doit tout à l'énergie débordante de Gemma Arterton. C'est elle qui donne ce petit supplément d'âme à l'adaptation du livre de Nick Hornby. Avec son accent improbable, ses mimiques d'adorable étourdie et cette mou mutine dévastatrice, Arterton déploie des talents comiques qu'on ne lui connaissait guère.