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Epistemon
32 abonnés
44 critiques
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Critique de la série
3,5
Publiée le 11 octobre 2021
Ce marivaudage finlandais, aussi loufoque qu’excentrique, se joue des codes et inverse les rôles. Maria a sept partenaires, un homme différent pour chaque jour de la semaine. Construite sur une double légende (les Amazones et le besoin nymphomaniaque de la présidente d’une société finlandaise, cette série prend le parti d’un homme recruté comme remplaçant d’un étalon révoqué, qui élargit son emprise sur l’héroïne. On serait presque tenté d’y croire, tellement les acteurs sont convaincants dans leurs rôle respectifs. Krista Kosonen (Maria) est lumineuse autant que vénale. Pekka Strang entre dans son jeu avec délectation en marionnette consentante. On peut apprécier le choix du noir et blanc. Encore faut-il que l’éclairage et la prise de vue soient à la hauteur du pari esthétique. Ce n’est hélas pas le cas.
Une série qui part d'un concept plutôt drole, mais qui malheureusement souffre de pas mal de choses. Tout d'abord, le concept d'élimination s'essouffle très vite, rendant assez lourde et longue, la seconde parti de la série. La bêtise des hommes qui jamais ne se rebellent ou juste n'abandonnent cette femme complètement égocentrée et tyrannique. Ce qui est très vite un point rendant la série absurde. En bref, une série qui tente une inversion des rôles, en imposant un harem tenue par une femme et ou les hommes ont le choix de partir mais ne le font jamais et se complaise dans une situation idiote et tyrannique pour eux même. Si la série essaye de faire passer un message, il faut bien le dire, c'est absurde et complétement raté. Si vous regardez cela de manière bovine sans réfléchir, ça reste plaisant. Pour ma part, le personnage féminin principale m'est complétement antipathique.