Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Le Point
par Alice Durand
Ce spin-off s'imposera sans aucun doute comme la meilleure série de la rentrée, et sûrement comme l'une des meilleures de cette décennie.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ecran Large
par Antoine Desrues
Sombre et plus radicale qu’il n’y paraît, "The Penguin" est une continuation idéale de "The Batman". Elle sublime la cohérence de l’univers conçu par Matt Reeves, mais elle trouve aussi ses propres enjeux et son propre regard sur cette Gotham City désespérée. Une très belle surprise.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Geek
par Julie Hay
"The Penguin" vole en solo sur HBO, et n’a pas usurpé sa réputation d’antagoniste captivant au sein du Batverse. Lauren LeFranc fait éclore une fresque sociale réussie, qui ne se refuse pas d’aller piocher du côté de la caricature pour rendre hommage à ses marginaux. Colin Farrell est monstrueux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Télé Loisirs
par Stéphanie Fuzeau
Méconnaissable, Colin Farrell livre une performance saisissante dans le rôle du super-vilain de "Batman".
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
En dépit de longueurs, The Penguin s'anime dès que la jeune femme, incarnée par Cristin Milioti, surgit à l'écran et dévoile, peu à peu, les fragments de son troublant passé.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Un film de deux heures aurait peut-être suffi à raconter tout ça.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Grimé, enlaidi, Colin Farrell compose un personnage complexe et complexé aux antipodes de la créature baroque qu’avait imaginée Danny DeVito dans "Batman Returns" (Tim Burton, 1992).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Jonathan Blanchet
Sans se hisser au niveau du Batman de Matt Reeves, ce spin-off consacré à l’ennemi du Dark Knight se démarque par son récit frénétique et deux solides performances : Colin Farrell, carnassier dans le rôle titre, et une étonnante Cristin Milioti.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Frédérick Rapilly
Tout est ici très cadré, très programmé, et un peu téléguidé.
Téléstar
par Romain Nigita
Sous un maquillage impressionnant, Colin Farrell reprend son rôle de méchant du film "The Batman". Mais en l'absence de l'homme chauve-souris, on se retrouve face à une simple histoire de gangsters.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Les scènes d’action se font cruellement absentes de cette série très bavarde, aux longues scènes de dialogues entre gangsters et sociopathes. À réserver aux amateurs de polar…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Numerama
par Salammbô Marie
À part quelques fulgurances, comme la scène d’ouverture de l’épisode 3, à couper le souffle, ou la conclusion magistrale de l’épisode 4, "The Penguin" peine ainsi à trouver son rythme, et surtout son style.
La critique complète est disponible sur le site Numerama
Libération
par Théo Ribeton
Inerte machinerie scénaristique, écriture quasi pavlovienne où chaque scène est l’induction rigoureusement programmatique de la précédente, énième corbillard ronronnant d’un Hollywood zombie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Point
Ce spin-off s'imposera sans aucun doute comme la meilleure série de la rentrée, et sûrement comme l'une des meilleures de cette décennie.
Ecran Large
Sombre et plus radicale qu’il n’y paraît, "The Penguin" est une continuation idéale de "The Batman". Elle sublime la cohérence de l’univers conçu par Matt Reeves, mais elle trouve aussi ses propres enjeux et son propre regard sur cette Gotham City désespérée. Une très belle surprise.
Le Journal du Geek
"The Penguin" vole en solo sur HBO, et n’a pas usurpé sa réputation d’antagoniste captivant au sein du Batverse. Lauren LeFranc fait éclore une fresque sociale réussie, qui ne se refuse pas d’aller piocher du côté de la caricature pour rendre hommage à ses marginaux. Colin Farrell est monstrueux.
Télé Loisirs
Méconnaissable, Colin Farrell livre une performance saisissante dans le rôle du super-vilain de "Batman".
Le Figaro Magazine
En dépit de longueurs, The Penguin s'anime dès que la jeune femme, incarnée par Cristin Milioti, surgit à l'écran et dévoile, peu à peu, les fragments de son troublant passé.
Le Journal du Dimanche
Un film de deux heures aurait peut-être suffi à raconter tout ça.
Le Monde
Grimé, enlaidi, Colin Farrell compose un personnage complexe et complexé aux antipodes de la créature baroque qu’avait imaginée Danny DeVito dans "Batman Returns" (Tim Burton, 1992).
Première
Sans se hisser au niveau du Batman de Matt Reeves, ce spin-off consacré à l’ennemi du Dark Knight se démarque par son récit frénétique et deux solides performances : Colin Farrell, carnassier dans le rôle titre, et une étonnante Cristin Milioti.
Télé 7 Jours
Tout est ici très cadré, très programmé, et un peu téléguidé.
Téléstar
Sous un maquillage impressionnant, Colin Farrell reprend son rôle de méchant du film "The Batman". Mais en l'absence de l'homme chauve-souris, on se retrouve face à une simple histoire de gangsters.
Le Parisien
Les scènes d’action se font cruellement absentes de cette série très bavarde, aux longues scènes de dialogues entre gangsters et sociopathes. À réserver aux amateurs de polar…
Numerama
À part quelques fulgurances, comme la scène d’ouverture de l’épisode 3, à couper le souffle, ou la conclusion magistrale de l’épisode 4, "The Penguin" peine ainsi à trouver son rythme, et surtout son style.
Libération
Inerte machinerie scénaristique, écriture quasi pavlovienne où chaque scène est l’induction rigoureusement programmatique de la précédente, énième corbillard ronronnant d’un Hollywood zombie.