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    Dexter
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    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 8
    4,0
    Publiée le 1 novembre 2013
    La mis en scéne est parfaite . C'est l'appogé sa fait moins routine
    cylon86
    cylon86

    2 509 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 7
    4,0
    Publiée le 31 mars 2015
    Après une sixième saison un peu plus faible, "Dexter" se ressaisit à l'occasion de cette septième saison. L'occasion pour les scénaristes d'explorer différentes pistes sur la personnalité de Dexter, sa relation avec Debra spoiler: (qui a découvert son terrible secret)
    , son opposition à un méchant qui n'est pas si différent de lui (Ray Stevenson, excellent), le danger qu'il court avec LaGuerta qui a réouvert l'enquête du Boucher de Bay Harbor et sa découverte de l'amour passionné avec une tueuse qui l'accepte tel qu'il est (Yvonne Strahovski, superbe). Le tout au détriment de certains personnages secondaires (les nouveaux venus de la saison 6 disparaissent rapidement du tableau), certains un peu délaissés ou enfermés dans des intrigues finalement peu intéressantes. Un peu bancale dans sa construction, partant dans plusieurs directions, cette saison n'en est pas moins passionnante et haletante, s'approchant du dénouement de la série et en profitant pour explorer plusieurs terrains à la fois. C'est parfois maladroit mais c'est terriblement prenant et ce d'autant plus que Dexter commence à devenir familier. Ses interrogations ne sont pas différentes des nôtres et c'est ce qui fait la force de la série. Qui faiblit un peu certes mais qui nous a une fois de plus réservé de solides moments, ne serait-ce que grâce à l'interprétation de Michael C. Hall ou de Jennifer Carpenter.
    daviid Horn
    daviid Horn

    4 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 29 octobre 2015
    excellente série pour ma part c'est 4.5/5
    des mort dans les personnages principaux mais justifié (sauf Deb qui je pense a déçu pas mal de personnes) c'est ce qui apporte toute l’intensité, sa et toute l'histoire en générale bien sur.
    Moi j'ai trouver la fin de Dexter pas mal il a tout perdu son travail sa famille les amie donc cause a sa maladie qu'il ne pourra jamais gérer il est donc normal qu'il finisse dans cette situation bien que j'adore le personnage.
    LMS17
    LMS17

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 8
    1,0
    Publiée le 21 septembre 2013
    Très déçu par cette saison. Je la trouve ennuyante à mourir. Je ne suis même plus impatient à l'idée d'attendre une semaine avant chaque épisode (preuve en est: j'ai téléchargé le dernier épisode dès le lundi, et je l'ai regardé le jeudi...). Par rapport à Breaking Bad qui me subjugue chaque semaine, Dexter fait pâle figure.

    En fait, je suis déçu par la série depuis le début de la saison 5. J'avais retrouvé espoir avec la découverte de Debra du secret de Dexter puis lorsque j'ai vu avec quelle rapidité ça s'est réglé, je me suis dit tout ça pour ça... J'avais bien aimé le tueur religieux interprété par le fils de Tom Hanks aussi.

    Pour moi, Dexter (que je regarde depuis le tout début) n'est plus une série mythique. Quand je repense à Brian Moser, au Tueur de la Trinité, à Miguel Prado ou à Lila, je me dis que la série n'est plus du tout ce qu'elle était.

    Et puis malgré tout le talent et le prestige de Charlotte Rampling, suis-je le seul à la trouver mauvaise dans Dexter ? Elle me rend vraiment mal à l'aise, je ne la trouve pas convaincante, trop cliché, beaucoup de déjà vu, et son jeu d'acteur est vraiment exagéré.
    vive-le-cine123654789
    vive-le-cine123654789

    95 abonnés 621 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 8
    4,0
    Publiée le 18 décembre 2014
    Et un final qui, globalement, réussit à bien rattraper la saison précédente sans pour autant réussir l’apothéose qu’on pouvait espérer pour une série comme Dexter.

    J’avais lu et entendu un peu partout que cette dernière saison était pas terrible voire même décevante. Je m’attendais donc à un truc vraiment bof mais finalement, ça reste dans la moyenne de la deuxième partie de la série, et c’est bien meilleur que la saison 7. Cette dernière saison aborde plusieurs pistes intéressantes, notamment par l’intermédiaire du personnage d’Evelyn Vogel, ou « The psychopath whisperer » (avouez, c’est cool comme surnom pour un psychiatre). spoiler: On découvre ainsi qu’elle est la véritable personne derrière la création de Dexter, sa mère spirituelle. C’est un classique dans les conclusions de revenir sur les origines du personnage et de découvrir une vérité cachée,
    mais je dois dire que c’est plutôt bien mené.

    On sent dès le début qu’elle cache quelque chose, et qu’elle n’est pas très nette. Ce personnage nous permet surtout de nous rendre compte du chemin parcouru par Dexter depuis le début, et à quel point il a pu devenir humain. spoiler: Les relations qu’elle entretient avec Dexter et le « brain surgeon » (un nom quand même bien classe aussi) sont très intéressantes, même si on n’arrive pas au niveau des relations qu’on a pu avoir avec Miguel Prado ou Arthur Mitchel. Ce trio est d’ailleurs au cœur de cette ultime saison et nous réservera quand même quelques surprises et des passages bien jouissifs, je dois l’avouer.


    Le deuxième gros cœur du récit, c’est la relation entre Dexter et Debra. Et contrairement à la saison précédente, le personnage de Debra et son comportement sont beaucoup plus en adéquation avec le reste de la série. Cela finit par s’arranger, mais au prix d’efforts considérables. J’ai vraiment beaucoup aimé spoiler: l’état dans lequel on la retrouve, complètement anéantie, détruite ; le fait qu’elle s’enfonce de plus en plus jusqu’à « toucher le fond » pour mieux ressusciter, et tenter de vivre avec. La conclusion est d’autant plus dramatique.
    À cette relation, on peut bien sûr inclure plusieurs autres personnages : spoiler: le grand retour de Hannah (qui ajoute un peu de piment pour la deuxième partie de saison), Quinn (qui décide enfin de prendre les devants, et constitue la preuve de la résurrection de Deb) ou encore ce nouveau personnage qu’est Elway (dont on sent très rapidement qu’il va mettre des bâtons dans les roues).
    Néanmoins, la relation fraternelle a une part importante dans tout ça et on se rend compte que si le ciment s’est fissuré, voire a failli rompre ; il reste toujours en place, fidèle au poste. Tout simplement que chacun d’eux a compris le rôle de l’autre dans sa vie et compris comment il devait gérer cette relation exceptionnel.

    À côté de ces deux gros points, on a plusieurs petites intrigues plus ou moins sympa. On peut noter celle de Zach, spoiler: qui m’a fait très peur pendant un moment, mais a finalement pris un tournent plutôt correct.
    Il y a également l’arrivée spoiler: de la fille de Masuka, concept à elle toute seule et
    qui, même si elle ne propose rien de passionnant, apporte des touches d’humour ici et là. On a bien sûr les enquêtes policières à droite à gauche, bien qu’elles ne soient pas au centre de la saison ( spoiler: la traque du « brain surgeon » se faisant surtout du côté de Dexter/Vogel
    ). Il y a bien sûr l’intrigue entre Quinn et Jaimie, qui a mon sens est la moins pertinente. En soit, elle est utile et part d’une idée intéressante spoiler: (remettre Quinn sur le droit chemin, après deux saisons à faire plus ou moins n’importe quoi)
    , mais spoiler: elle exagère beaucoup trop la jalousie de Jamie, elle
    tire trop le trait là-dessus, rendant la conclusion largement prévisible. Et puis, comment ne pas citer Harrison, qui obtient enfin un rôle relativement important dans cette saison, avec quelques dialogues et devenant surtout un enjeu crucial dans les réflexions de Dexter. Ce gamin a beaucoup de potentiel !

    Je reviens rapidement sur le dernier épisode, qui était (si j’avais bien compris) la source des différentes critiques. Si effectivement cela n’atteint pas le niveau de la fin de la saison 4, j’ai trouvé que dans ce final, on retrouvait un peu la tension et la pression absentes depuis Trinité. Certes, il y avait sans doute moyen de faire une meilleure conclusion ; mais je trouve qu’elle s’en sort plus que bien. Ça aurait pu être pire, bien pire. spoiler: La conclusion de l’intrigue autour de la famille Vogel est certes un peu surfaite et classique, mais d’un côté l’ultime face-à-face entre Dexter et Daniel est magistrale et illustre parfaitement l’un des messages de cette série. Je trouve en effet particulièrement ironique que le seul crime pour lequel Dexter se fait prendre soit le seul pour lequel il puisse être innocenté. On peut trouver gros que Batista et Quinn laissent passer, mais d’un côté je pense qu’ils comprennent le geste de Dexter. La justice n’est pas parfaite, et certains tueurs peuvent parfois passer au travers.
    Ce passage en est la parfaite illustration.

    Quant au reste, je vais dire les choses franchement : pour moi, depuis la première saison, il était évident que Debra ou Dexter allaient mourir. La question était de savoir qui allait tuer qui et comment. Ma théorie était que Dexter finisse par tuer Debra, pour ne pas se faire prendre ; et que, pris de remord, décide de se suicider lui-même, puisqu’il correspond parfaitement au code de Harry. Pour moi, c’était une évidence que les deux, ou l’un des deux, n’en réchappent pas. spoiler: Les relations qu’elle entretient avec Dexter et le « brain surgeon » (un nom quand même bien classe aussi) sont très intéressantes, même si on n’arrive pas au niveau des relations qu’on a pu avoir avec Miguel Prado ou Arthur Mitchel. Ce trio est d’ailleurs au cœur de cette ultime saison et nous réservera quand même quelques surprises et des passages bien jouissifs, je dois l’avouer. 0
    Je trouve donc cette partie plutôt réussie (même si c’est pas aussi jouissif que ce que j’escomptais).

    Presque humain, spoiler: Les relations qu’elle entretient avec Dexter et le « brain surgeon » (un nom quand même bien classe aussi) sont très intéressantes, même si on n’arrive pas au niveau des relations qu’on a pu avoir avec Miguel Prado ou Arthur Mitchel. Ce trio est d’ailleurs au cœur de cette ultime saison et nous réservera quand même quelques surprises et des passages bien jouissifs, je dois l’avouer. 1
    Et ça aussi, j’ai plutôt bien aimé.

    Ce dernier épisode est donc pour moi une bonne conclusion. Certes, ce n’est peut-être pas la conclusion à laquelle je rêvais depuis le début ; mais vu les divers développements au fil des saisons et de cette dernière, elle convient parfaitement. Comme pour l’ensemble de cette saison, il y avait moyen de faire bien pire ; mais les scénaristes ont réussi à tourner ça en fin douce et amer pas trop mal fichue.

    Bref, globalement une saison qui s’en sort bien mieux que la précédente. Sans se rattraper aussi bien que la saison 6, ou à atteindre le niveau des quatre premières ; cette saison se rapproche plus de la cinquième saison, avec une histoire intéressante et intrigante mais pas forcément bien développée. Cela m’a amené à penser que, concrètement, les saisons 7 et 8 auraient dû fusionner (ou mieux, juste zapper la 7 et débuter la 8 sur la fin de la 6 et en introduisant Hannah). C’était à mon sens largement possible et il y avait largement la place pour le faire proprement. Le casting reste globalement bon, voire très bon (Charlotte Rampling venant apporter une guest-star de choix) ; et c’est techniquement toujours aussi excellent, que ce soit la musique, la mise en scène ou les décors.
    cylon86
    cylon86

    2 509 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 3
    4,0
    Publiée le 28 janvier 2015
    Après une deuxième saison pleine de suspense, la tension baisse d'un cran pour cette troisième saison de "Dexter". Il faut dire que les scénaristes ont fait très fort dans la saison 2 et il est difficile de faire mieux. Semblant en être conscients, ils font les choses différemment, confrontant Dexter à l'amitié en la personne de Miguel Prado (excellent Jimmy Smits), un adjoint du procureur qui parvient à comprendre Dexter et sa conception de la justice. Parallèlement, Dexter prépare son mariage avec Rita, enceinte de lui tandis que Debra enquête sur une nouvelle affaire dans le but d'avoir son badge d'inspecteur. La qualité de la série est de ne pas laisser l'intrigue sur Dexter prendre le pas sur les rôles secondaires qui se retrouvent encore une fois gratifiés de nombreuses séquences qui permettent d'en révéler plus sur leurs personnages. Mais ne nous leurrons pas, c'est bien Dexter et sa découverte de l'amitié qui intéresse, surtout que Miguel se révèle rapidement enthousiaste quant à la nature de son ami. Explorant sans cesse les différents aspects de la personnalité de son personnage, la série parvient à le rendre plus humain au fil du temps alors qu'il fait des entorses au code appris par son père. C'est donc une saison très réussie, qui change un peu des deux premières, apportant de l'épaisseur à ses personnages (Jennifer Carpenter se montre très touchante) mais qui manque d'un peu de piment pour être totalement appréciée.
    cylon86
    cylon86

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    Critique de la saison 1
    4,0
    Publiée le 7 janvier 2015
    Voilà une série pour le moins atypique avec un héros assez particulier. En effet, Dexter Morgan, expert en traces de sang pour la police de Miami, est un serial-killer. Mais pas n'importe quel serial-killer puisque son père adoptif, un policier, lui a appris à maîtriser ses pulsions pour les concentrer sur ceux qui font le mal. Pour résumer, Dexter ne tue que les criminels impunis, des ordures qui sont passés à travers les mailles du filet de la police. Rien qu'avec ce postulat de départ, "Dexter" a tout pour plaire. Politiquement incorrecte, nous plongeant dans les sentiments et les pensées de cet homme vide de tout sentiment qui porte un masque en permanence, cette série ne se contente pas d'en rester là et introduit dès le début un autre serial-killer qui s'impose vite comme un alter-ego de Dexter, jouant avec lui. Parvenant à mêler l'intrigue policière avec l'intimité de ses personnages, cette saison pose les bases de la série et nous offre de superbes moments, notamment quand on voit combien Dexter (incarné par l'excellent Michael C. Hall, capable de rendre attachant n'importe qui) commence à s'attacher à Rita, sa petite amie qu'il a avant tout choisi parce qu'elle était battue par son ex-mari et qu'elle n'était pas prête à coucher avec lui, ce qui l'arrangeait fortement. Violente, dotée d'un humour noir irrésistible et filmé sous le joli soleil de Floride, "Dexter" n'est pas une série comme les autres et c'est assurément ce que l'on aime chez elle. Voilà pourquoi on lui pardonnera quelques légères fautes de rythme en ayant hâte de découvrir la suite.
    cylon86
    cylon86

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    Critique de la saison 2
    4,5
    Publiée le 17 janvier 2015
    Alors que Dexter a affronté le Tueur de Glace, il a à peine eu le temps de souffler que voilà qu'un nouveau serial-killer est traqué par la police de Miami. Sauf que cette fois-ci, c'est lui qui fait l'objet d'une enquête, des plongeurs ayant découverts dans l'océan les restes des cadavres dont il s'est débarrassé. Alors que le FBI débarque enquêter avec la police et que Doakes ne le quitte plus d'une semelle, Dexter fait face à une crise identitaire et rencontre la sensuelle Lila qui chamboule ses émotions. Pour cette deuxième saison, "Dexter" fait très fort, mettant son personnage principal sous la pression d'un étau susceptible de se resserrer sur lui à tout moment. Chaque épisode est habilement écrit, jouant avec nos nerfs comme il faut, ne négligeant jamais l'humanité de ses personnages qui révèlent tous plus de profondeur qu'on ne le pensait. Remplis de suspense, les épisodes ne manquent pas de mettre les convictions de Dexter à l'épreuve, alors qu'il en découvre également plus sur son père adoptif. C'est donc une saison sous haute pression que l'on ne manquera pas d'apprécier, portée par un Michael C. Hall en grande forme, capable de nous attacher à un anti-héros pour le moins singulier. Du côté des seconds rôles, on appréciera la présence de Keith Carradine en agent du FBI très doué et celle de Jaime Murray, plus sensuelle que jamais. De quoi nous divertir parfaitement sur 12 épisodes !
    stallonefan62
    stallonefan62

    286 abonnés 2 554 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 2
    5,0
    Publiée le 13 novembre 2020
    Scénario intelligent, prenant, stressant !!! L'étau se resserre autour de Dexter, c'est très tendu autour de lui même !!!, D'autres intrigues se mêlent à l'intrigue principale !! Beaucoup de rebondissement et ,de suspense pour cette seconde saison .. Le casting est vraiment impeccable notamment Erik King ( agent Doakes ) qui est vraiment bon et donne du fil à retordre à Dexter !!! Sans oublier bien sûr un Michael C Hall magistral et tellement fait pour ce rôle !!!
    vive-le-cine123654789
    vive-le-cine123654789

    95 abonnés 621 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 6
    4,0
    Publiée le 5 décembre 2014
    Une saison meilleure à la précédente, indéniablement, mais qui reste néanmoins un léger cran en-dessous des quatre premières. Cette fois-ci, ils n’ont pas opté pour le même schéma que la précédente saison, à savoir prendre les mêmes ressorts scénaristiques, mélanger le tout et voir ce que ça fait. On sent l’envie de construire une nouvelle histoire en essayant de nouveaux trucs. Sur ce point, l’introduction de la religion et du comportement de Dexter vis-à-vis d’elle est un bon point, d’autant plus qu’on le voit sur plusieurs niveaux (le tueur principal, sa relation avec Harrison, les histoires annexes). Le « Doomsday Killer » (ah, enfin un nom à la hauteur des plus grands) est d’ailleurs un personnage intéressant. Si son intrigue reste souvent prévisible, il y a quand même deux trois passages qui nous réservent des surprises et sont bien trouvés et menés, sans parler du fait que le contexte du tueur nous permet d’avoir droit à plusieurs mise en scène des morts plutôt magistrale.

    Cependant, et c’est le plus gros point négatif à mon sens de l’histoire, il n’y a pas cette saison la tension qu’on avait pu avoir lors des dernières saisons, ce petit truc qui fait qu’on se demande si notre cœur va tenir jusqu’à la fin, qui fait que Dexter est en danger permanant. Là, on a juste un tueur un peu chanceux et surtout opportuniste. C’est pas plus mal, ça change un peu, mais le manque de tension à la fin m’a un peu déçu. Toutefois, on oublie presque tout ça avec le final de la dernière scène, sans doute la plus jouissive après celle de la saison 4. Un final qui pose directement des bases tant attendues et intéressantes pour la suite. Parfaitement dosé.

    Pour ce qui est des histoires parallèles, je dois avouer que plusieurs des pistes abordées sont intéressantes. J’ai adoré détester LaGuerta cette saison, j’avais envie de baffer Quinn toutes les dix minutes, la relation entre Debra et Dexter prend un tournant inattendu et intéressant, l’arrivée de la sœur d’Angel et du stagiaire de Mazuka a également apporté pas mal de trucs sympas. L’intrigue autour du frère Sam était aussi très intéressante et je trouve que le traitement de la religion a été très bien fait, aussi bien du point de vue des croyants que des athées (en parallèle avec le Doomsday Killer). Et puis on a le retour épisodique de quelques anciens pour notre plus grand bonheur.

    Pas grand-chose à dire sur le reste : le casting reste au top, les nouvelles têtes s’intégrant facilement et étant très intéressants ; la musique toujours superbe, tout comme la mise en scène.

    Du progrès donc par rapport à la saison 5 (qui souffre sans doute de passer après la 4), mais une sixième saison qui a encore un peu de mal pour atteindre le même niveau génialissime que les premières. Ça reste globalement très bon, voire même excellent avec certains épisodes, mais un cran en-dessous. La suite s’annonce très intéressante, espérons que ce soit le cas !
    Empereur Palpoutine
    Empereur Palpoutine

    95 abonnés 194 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    4,5
    Publiée le 25 juin 2016
    Ce cher Dexter … Adapté du roman éponyme de Jeff Lindsay, Dexter met en scène un tueur en séries, qui a pour spécialité de n’assassiner que des criminels qui n’ont jamais étés jugés par un tribunal.
    Le roman en lui-même a été inspiré par une histoire vraie, celle d’un flic de Miami, qui a exécuté froidement neufs trafiquants de la drogue en 1986.

    Largement influencé par la mère de toutes les séries actuelles, le culte de X-Files, Dexter reprends avec brio le thème du serial killer, malmené par sa vie privée.

    Disons-le clairement, Dexter est gore, ultra gore, et politiquement incorrect.

    Point de CGI dans cette série, Dexter est avant tout superbement bien filmé, certains cadrages sont splendides, et le jeu d’acteurs est énorme. L’équipe est emmenée par un Michael C. Hall qui crève l’écran dans le rôle de Dexter, son alter ego, la belle Jennifer Carpenter, suit avec autant d’énergie.

    Miami oblige, Dexter possède une ambiance latino avec une bande sonore riche en émotions, rien que le thème principal inquiétant, est simplissime et bien pensé. Le générique sous forme d’un petit déjeuner sanglant est une idée géniale et parfaitement filmé.

    Pourtant, Dexter trébuche avec un scénario prévisible à souhait, des heures à l’avance. Certaines situations peuvent paraîtres grotesques, voir irréalistes, mais chaque série TV a ses défauts.
    Dexter tire sa force dans la psychologie des personnages qui l’animent, là où un Game of Thrones foisonne de personnages complètements inutiles.

    En définitive, cette première saison est pleine de rebondissements, de tensions, qui font que le spectateur reste scotché derrière son écran jusqu’à la fin –trop rapide- de l’épisode.
    timfun1211
    timfun1211

    51 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 22 mai 2022
    Ma série préférée qui me donne envie de continué à regarder la télé, dexter et debra resteront en moi graver à jamais , une série qui marque à jamais , et pose un nouveau regard sur les tueurs en série , la narration est exceptionnelle avec cette double vie et ce sentiment de partage avec le spectateur, toute l'équipe au commissariat fait partie de la famille , des saisons à couper le souffle avec des retournement de situation énorme , on déguste les épisodes comme du caviar , avec une musique super et l'ambiance de la floride ensoleillée fait vacances . J'ai pas les mots , hâte de découvrir la New blood . En espérant de retrouver bébé harisson
    Melissa Zka
    Melissa Zka

    37 abonnés 485 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 3
    4,5
    Publiée le 16 juillet 2016
    Superbe saison encore une fois.Cette fois Desmond Harrington rejoint le casting dans le rôle de Joey Quinn.L'ensemble des personnages est mis en avant selon les épisodes ce qui fait qu'au final chacun y trouve son compte.Angel prend du grade tandis que Quinn intègre l'équipe et que Rita apprend une nouvelle importante,qui changera sa vie.Quant à Dexter il n'est pas en reste puisqu'il en apprend davantage sur son père et qu'il prendra une décision bouleversante pour sa petite routine.Par ailleurs il se trouve un allié temporaire mais trop collant en la personne de Miguel.
    Une saison incroyablement riche autant en informations qu'en surprises.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    86 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 8
    4,0
    Publiée le 13 août 2018
    Ça y est ! J'ai fini la série Dexter. Beaucoup critique violemment la saison 8. Je trouve cette saison assez inattendue et la fin extrêmement émouvante (sans doute aussi car on sait que tout se termine...). Peut-être la toute dernière scène qui n'a pas grand intérêt mais bon... Une série évidemment à voir pour ceux qui ne l'ont pas vu !!
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    109 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 6
    4,0
    Publiée le 12 novembre 2014
    Alors que cette sixième saison aux côtés du Serial Killer le plus attachant de l’univers télévisuel est sans doute la plus bringuebalante parmi toute, au niveau narration, elle est paradoxalement la meilleure des huit pour son rythme effréné et son évolution tant attendue. Dexter, ici confronté aux mystères de la foi, soit à des meurtres barbares s’inspirant de récits bibliques, se voit remettre en question sa condition d’être humain athée. Son passager noir peut-il être mis-à-part, être obstrué par la lumière, soit la foi en la religion catholique. Son amitié nouvelle avec un détenu repenti et prêcheur de bonnes paroles pourrait laisser penser à cette possibilité. Cette intrigue, quoique sirupeuse et dégoulinante d’interrogations bidons, offre au moins le mérite à la série de se réorienté en confrontant son personnage si balisé à une remise en cause, même si celle-ci ne dure que peu.

    Oui, cette sixième année aux côtés de Dexter Morgan est aussi celle de l’évolution, légère oui, mais évolution quand même. Le personnage tente de se réorganisé, tentant constamment de rendre compatibles ses activités professionnelles, ses activités répréhensibles et son rôle de père célibataire. A ce titre, Michael C. Hall compose un personnage d’avantage complexe que précédemment, et ce même si quelques séquences, notamment celle où il se confronte une nouvelle fois à son frère disparu, ne servent à pas grand-chose. Accessoirement, les avancements professionnels de la frangine, au langage toujours plus fleuri, les périples du tandem Batista-Quinn ou encore l’ajout de quelques nouvelles trombines dans l’univers si particulier et restreint de la série apportent une plus-value considérable.

    Coté nouveau-venu, soulignons l’humble prestation de Colin Hanks, fils aîné de Tom, oui, dans le rôle de l’un des sinistres individus auquel Dexter se confronte. Coté scénario, si l’aspect religieux, biblique et philosophique qui tiraille Dexter est pour le moins niais, dans son traitement, le twist durant les trois derniers épisodes ainsi que les quelques retour de manivelles, en cours de route, font de cette sixième saison le plus aboutie. On n’y croit pas toujours, mais peu importe, le suspense est omniprésent et toutes les ellipses, bien que peu nombreuses, ont une réponse limpide à formuler.

    Voilà en somme une saison de Show contemporain qui fonctionne dans la plus pure des traditions. Implacablement addictive, la série de Showtime est souvent invraisemblable, parfois limite facile, mais parvient toujours à ressembler son public et à divertir fans et amateurs. Michael C. Hall est excellent et symbolise à lui seul, du moins à 80%, le succès critique est public de la série. Le final de la présente saison, très bref mais pour autant très épineux, annonce un réel revirement pour une septième saison que l’on attend plus novatrice, du moins dans la veine de celle-ci. Espérons. 16/20
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