Mon compte
    Dexter
    Critiques spectateurs
    Critiques presse
    Note moyenne
    4,4
    67366 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Dexter ?

    3 001 critiques spectateurs

    5
    1726 critiques
    4
    851 critiques
    3
    230 critiques
    2
    105 critiques
    1
    42 critiques
    0
    47 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Shaka666
    Shaka666

    58 abonnés 504 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 28 juin 2014
    Dès la première saison, "Dexter" avait frappé très très fort. Trop fort peut-être. En effet, la suite, bien que d'un très bon niveau baisse un peu en intensité. L'ambiance décontractée Miami, l'humour noir, les retournements de situations, tout cela fait que cette série a marqué un grand nombre de personnes. Elle est maintenant terminée, et la fin nous laisse un goût assez amer, mais globalement, cette série est hautement recommandable.
    Deli K.
    Deli K.

    39 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 2 avril 2017
    Dexter l'intouchable. Le serial killer de l'ombre. Série culte, propre, simple et efficace. Quand la tension monte, c'est çà qu'on préfère. Plus avisé que tous ses collègues réunis, Dexter résoudra les affaires et trouvera les plus dangereux criminels avant la police. Malheureusement pour ces derniers, ils ne passeront pas par la case prison. Un classique de la série à voir absolument.
    LUET M
    LUET M

    39 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 7
    2,5
    Publiée le 20 octobre 2013
    Le scénario reste solide dans cette septième saison de Dexter, mais on sent bien que la série s'essouffle. Les deux premiers épisodes donnent pourtant vraiment envie. Debra dévoile enfin le secret macabre de son frère. LaGuerta découvre une pièce à conviction qui pourrait gravement mettre en danger le justicier serial killer. En revanche, l'enquête portant sur la mafia ukrainienne dirigée par Isaak Sirko est nettement moins prenante, une histoire de vengeance bourrée d'incohérences, on n'y croit pas une seule seconde. Heureusement viennent ensuite le personnage d'Hannah McKay qui relance totalement l'intrigue, ainsi que l'aveu de Debra, mais là encore, les incohérences sont nombreuses et certains aspects psychologiques qui auraient mérités d'avoir plus d'importance.
    Capoblanco
    Capoblanco

    15 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 27 mai 2014
    Après deux ou trois saisons, je trouve que la série s'essouffle un peu et qu'on n'est plus sous le charme, comme au début. Néanmoins, Dexter reste un grand classique qu'on ne peut rater quand on est amateur du genre.
    Ted17eme
    Ted17eme

    1 abonné 107 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 26 septembre 2014
    Je ne sais pas trop quoi penser de la fin de l série. Je m'attendais vraiment pas à ça, le dernier épisode est bâclé et on s'attend à une suite en voyant ça.
    Dire que ça se regarde comme un épisode de Mac gyver quand même c'est pas un peu abusé ?
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    110 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    3,5
    Publiée le 2 septembre 2014
    Le fleuron des productions de Showtime, Dexter, s’illustre avant tout par une idée originale et pour le moins osée. L’Anti héroïsme à la télévision étant devenu une valeur sûre au début des années 2000, je pense à Tony Soprano dans la série éponyme, à Vic Mackey de The Shield ou encore à Walter White, qui suivra, les producteurs de Dexter affrontent la morale tout en aérodynamisme et démontrent un certain panache dans la mesure ou leur personnage clef n’est jamais réellement bon ou mauvais. Quoiqu’il en soit, Dexter Morgan assassine impunément, mais que les méchants, selon un code de conduite prédéfini. Tout est ici est question de légitimité. Simple d’accès, la première saison des mésaventures du tueur charismatique, disons bénéfique à la société, n’échappe pourtant pas à un certain flou. En effet, outre l’aspect addictif, pour certains, attractif pour d’autres, il manque à cette première saison une véritable ligne de conduite.

    Comme mentionné plus haut, les petits gars de Showtime ont mis les petits plats dans les grands avec un script dans l’air du temps. Finis les nobles récits de justicier acclamés, place aux immoraux et alambiqués personnages de l’ombre. Malgré une idée sympathique, qui se confirme tout au long de cette première année de diffusion, la corde sensible de la production, à savoir le contrôle des pulsions de notre assassin, son histoire passée, en constitue le point faible. Faisant continuellement intervenir le passé, par voie de Flashbacks, de notre bonhomme, les scénaristes plongent parfois le public dans une certaine passivité face à l’action présente. Dite saison étant pourvue d’un twist final en parfait accord avec cette recherche du passé, pardonnons les quelques coups de mou et soulignons qu’à vue de nez, il en sera encore pendant sept saisons supplémentaires un peu la même chose. Reste qu’au bout du tunnel, l’ensemble est plutôt harmonieux.

    Mais Dexter, c’est aussi une série particulière dans le sens ou le ton n’est jamais réellement définissable. A la fois dramatique, à la fois choquante, en de très rares occasions, la série s’avère souvent légère, comique même. Michael C. Hall, seul acteur vraiment excellent au casting, il en serait surprenant du contraire, semble exceller dans la manière explicite dont il use pour varier les tempéraments et les attitudes de son personnage. Les incessantes interrogations, monologues et autres anecdotes sur sa ligne de conduite, sont dès lors de trop du fait que le personnage, par sa gestuelle et ses expressions semble à lui-seul définir cette condition. A l’instar donc d’un bon nombre de séries télé de même stature, la production tente inlassablement de facilité la compréhension du public, en rabâchant, en répétant et en remettant continuellement sur le tapis les messages importants.

    Reste que cette première saison de Dexter est un plaisir gourment, un simple moment de divertissement bien rythmé qui nous fait découvrir un personnage emblématique en devenir. Si la mise en scène n’est absolument pas parfaite, si les dialogues sont parfois étonnement creux et si Miami est dépeint presque maladroitement, il n’en reste pas moins que Dexter possède d’énormes atouts pour plaire aux masses. Le potentiel est bien là, et si l’on reste sur notre faim dans quelques domaines, ne boudons pas notre plaisir. Loin du standard cinéma qui semble prendre de nos jours le pas sur le produit formaté pour la télé, même HBO semble s’y résoudre, Dexter est l’exemple même des pures réussites financières des chaînes télévisées. En ce qui me concerne, difficile d’être objectif envers Dexter du fait qu’il fait suite au visionnement, sur une année, des Sopranos, de The Shield, de Breaking Bad, de The Wire et de True Detective. La série de Showtime, jouant dans une catégorie inférieure, pars d’emblée avec un certain handicap d’estime. 13/20
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    110 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 4
    3,5
    Publiée le 14 octobre 2014
    L’an 2009 est bien entendu l’occasion de retrouver, pour une quatrième saison de douze épisodes, notre tueur en série le plus emblématique du petit-écran. J’ai nommé Dexter Morgan, l’analyste sanguin de la police métropolitaine de Miami et justicier sanguinaire à ses heures. Faisant suite à une deuxième et troisième saison de qualité, tout est certes relatif, cette quatrième année consécutive, malgré l’apparition d’un adversaire de taille, d’un season final pour le moins glaçant, semble marquer le pas. Qu’on se rassure, Dexter, le show vedette du bien nommé Showtime, reste très attractif, rythmé, mais soyons francs, les mécaniques de la série semblent gentiment couiner sous l’effort. Voilà donc trois ans que Dexter poursuit son bout de chemin et que son entourage évolue, tant bien que mal, mais les choses ici ne semblent pas évoluer, à l’exception de quelques rebondissements importants.

    Si Michael C. Hall ne peut être remis en cause, pour son honorable prestation et l’attachement qu’il suscite, malgré ses actes, les quelques personnages qui évoluent aux alentours ne semblent pas vraiment capables de rivaliser. Rita, sa femme, incarner jusqu’alors avec une certaine grâce par Julia Benz, prend bientôt des airs de mégère au foyer. La sœur, Debra, soit Jennifer Carpenter n’ouvre désormais plus la bouche que pour jurer ou beugler, sans compter qu’au cours de chaque saison elle s’aventure naïvement dans amourettes douteuses. Au commissariat, les personnages évoluent, pour certains dans le bon sens, l’analyste Vince Mazuka, très drôle, et d’autres pas très glorieusement, Maria LaGuerta et Angel Batista. Bref, rien de bien grave lorsque le personnage principal assure le show, mais les détails deviennent, à la longue, passablement gênants. Sans compter que l’environnement n’évolue pas d’un iota. On espère dès lors une évolution plus subtile.

    Mais pour en revenir strictement à cette quatrième saison, celle qui voit le héros devenir père de famille, soulignons qu’aucune baisse d’efficacité n’est à signaler. Cette fois-ci confronté à un tueur de la pire espèce, du moins en termes de durée de vie, Dexter s’interroge. Peut-il concilier vie de famille et actes de vengeance primaire? Peut-il assurer son rôle de père tout en assouvissant ses pulsions meurtrières? Là est la principale problématique des douze nouveaux épisodes. Confronté donc au dénommé Trinité, tueur implacable aussi discret que désaxé, Dexter ne s’en tirera pas indemne, pour sûr. Le jeu du chat et de la souris entre un monstre et l’un de ses semblables laissera des traces indélébiles qui seront sans doute le sujet de la prochaine saison. Bon point coté scénario donc.

    Pour conclure, disons que les fans de la première heure ne seront pas floués. Dans un élan sympathique, drôle, parfois trashy, Dexter poursuit habilement sa route dans les méandres de l’univers concurrentiel des séries TV américaines. Tout en assurant la renommée de son distributeur, de son créateur, le show perpétue la tradition, celle mise en place lors de la première saison. Si l’on attend maintenant du changement, du moins un minimum, pour les prochaines années, pardonnons les quelques errements de cette quatrième saison, attrayante à défaut d’être original. Très sincèrement, ce n’est pas de par sa psychologie que Dexter brille ici, mais bel et bien de par son combat contre un monstre, Trinité. 13/20
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    110 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 8
    2,5
    Publiée le 14 décembre 2014
    La-Voilà, la conclusion maintenant attendue des huit années à côtoyer Dexter Morgan, psychopathe assouvissant ses méfaits au nez et à la barbe de ses collègues de la Police criminelle de Miami. Voilà donc qu'après 7 saisons, d'abord audacieuses, puis passablement routinières, la fin approche. Il était temps, sans méchanceté. Oui, un show se doit d'être écrit du début jusqu'à son aboutissement, et ce depuis les prémices, procédé dont on doute en ce qui concerne la série vedette de Showtime. Bref, cette ultime saison n'aura, il faut le reconnaître, pas satisfait grand monde, un mal sévère si l'on tient compte de l'ampleur de la série depuis 2006. Oui, le handicap est drôlement conséquent, notamment pour celui qui entend tout découvrir depuis le début.

    Pour expliquer cette semi débâcle, ne soyons pas trop durs, il convient d'apprécier le contexte électrique du désormais grand monde des séries TV américaines. Oui, non seulement le succès, mais plus encore, la durée de vie d'un show télévisé est conditionnée par son audience hebdomadaire. Les pontes de Showtime ayant pris acte de l'usure de leur série vedette, organise dans une certaine précipitation la finale d'une conséquente aventure.

    Nous nous retrouvons donc à suivre les derniers rounds de Dexter dans, à la fois, une ultime revisite de son passé, de sa condition, et dans un précipitation chaotique à peine masquée. Il faut en finir, certes, mais de quelle manière? Si tous les shows jusqu'alors ne sont pas parvenus à tous réussir leurs Serie Finale, il n'en reste pas moins qu'ici, le gout est amère.

    Peu importe, ne jugeons pas Dexter et ses quelques formidables élan comiques, dramatiques et addictifs sur cette seule et dernière saison, un faux-pas mitigé si l'on considère que seul le grand final n'est pas à la hauteur. 10/20
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    110 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 15 décembre 2014
    Huit ans, 96 épisodes pour narrer les trépidantes aventures de Dexter Morgan, haut personnage télévisuel de la décennie, vedette d’un show qui aura fait couler beaucoup d’encre depuis son avènement, en 2006. Une page se tourne avec, tout le monde le sait, un goût amère en bouche, la faute à une conclusion, une ultime saison, n’ayant pas été à la hauteur de la globalité de la série, au potentiel du personnage et de son univers. Oui, une fin décevante est un préjudice majeur si l’on considère le show dans son ensemble. Pour autant, durant ses huit années, Dexter, sa sœur Debra, ses collègues de travail, ses compagnons de routes éphémères ou ses adversaires nous auront fait passer d’excellents moments. Ne crachons donc pas dans la soupe, dans son ensemble, Showtime et son show vedette n’auront pas démérités.

    En toute rationalité, Dexter possédais d’emblée un atout majeur. Son intrigue principale judicieusement amorale, délicieusement retorse. Le public étant depuis l’avènement de personnages cultes au profil d’anti-héros tels que Tony Soprano ou encore Vic Mackey, acquis à ce type de personnage populaires de par leur immoralité, le culot de Showtime est payant. Faisant de leur héros un tueur en série sanguinaire attaché à la police criminelle métropolitaine de Miami, les créateurs affichent clairement les mêmes ambitions que celles de Shaw Ryan pour The Shield, soit faire de leur héros un personnage sur le fil du rasoir, à la frontière d’une possible révélation catastrophique. La recette ayant fait ses preuves, il fallait aussi trouver le ton juste qui permettra à la série de trouver son indépendance artistique. Pour ce faire, on propose ici un ton léger, quasi comique, se mêlant habilement, du moins en grande partie, avec un fond dramatique, voir glauque.

    Malgré ces engagements artistiques, il apparaît pourtant qu’à l’inverse de ses références, Dexter et les huit saisons qui le composent, ne parviendront pourtant jamais réellement à s’émanciper de l’alchimie traditionnelle de la série télévisée. Il faut comprendre ici qu’en dépit d’un rapprochement de l’univers du cinéma des grands hits de HBO, notamment, Dexter restera strictement adjointe à la plus pure tradition du show télé, modèle bêta remplissant sans sourciller les tranches horaires hebdomadaires de toutes les chaînes publiques de par le monde. Artistiquement, donc, Dexter ne peut rivaliser avec les plus grands shows américains, ceux ayant cueillis l’ambition de se rapprocher d’un art plus noble, le cinéma. Cela dit, cela n’est pas foncièrement un handicap majeur du fait de la facilité d’accès de chacun des épisodes, formatés comme un feuilleton à succès, quelque chose de facile à suivre et d’addictif. Un simple regard ne renferme ici rien d’autre que ce qu’il est. Pas d’ellipse narrative à la The Wire, pas de psychologie délicate à la Soprano ni même de noirceur à la The Shield. Dexter n’est qu’un simple feuilleton. Ce fait là acquis, on peut apprécier la série à sa juste valeur.

    Malgré ses nombreux défauts de facilité, son manque de profondeur, soulignons tout de même que Showtime a réussi à livrer une série addictive mais surtout attachante. Le peu de personnage évoluant dans la périphérie du personnage principal entraîne une lecture quasi intimiste de l’œuvre, s’approchant de quelque chose de familial d’avantage que social. Ce mode narratif permet évidemment d’atténuer les horreurs commises par le héros, reléguées à une simple opinion alors que la logique aurait voulu y voir l’effroi. Peu importe, la série fait son effet, du moins en partie, et l’appartement de notre héros, son lieu de travail, ses collèges, sa famille, deviennent un théâtre de divertissement plutôt sympathique. Admettons-le. Au final, voilà sans doute l’un des derniers exemples de séries nouvelles générations tournées au format d’un vieux feuilleton télé, aux antipodes des œuvres cinématographiques. Je recommande Dexter pour ses bons moments mais ne peut que me résoudre à le déconseiller aux plus virulents amateurs de séries, qui trouveront nettement mieux ailleurs. Voilà une bonne chose de faite que d’avoir clôturé ces huit saisons. C’est une chose que je ne ferais plus. Avis aux amateurs. 14/20.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 28 juin 2014
    5 étoiles car même si beaucoup discutent la fin de la série, je la trouve moi cohérente et bien écrite.
    RGciné1895
    RGciné1895

    18 abonnés 113 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 8
    1,0
    Publiée le 15 décembre 2013
    LA saison qui a détruit "l'esprit Dexter" ! Ce serait trop long d'énumérer toutes les choses qui ne vont pas dans cette saison, cependant je vais quand même critiquer les évènements les plus aberrants! spoiler: Tout d'abord la mort de Debra est tellement en-dessous de son personnage, elle meurt par des complications chirurgicales à l’hôpital... On se demande ce que les scénaristes avaient en tête au moment de l'écriture de cette dernière saison... Ensuite une fois morte, Dexter sort son corps de l’hôpital, c'est impressionnant le nombre de personnes qui trouvent ça normal que quelqu'un sorte d'un hôpital avec un cadavre dans les bras (même s'ils sont préoccupés par la tempête..) ! Mais il y a pire, une fois le corps de Debra jeté à la mer; Dexter se dirige droit dans la tempête, un suicide ? Ah non pas du tout car on le retrouve durant les dernières images de la saison en mode bucheron ?! (non sérieusement, messieurs les scénaristes What the hell is that ??); il faudrait aussi qu'ils m'expliquent comment on survit dans une tempête pareil...
    Et encore j'en passe, donc SVP fans dextériens si vous n'avez pas encore eu l'occasion de voir cette saison 8 ne le faite jamais !
    Scarlet Carson
    Scarlet Carson

    22 abonnés 132 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 13 avril 2014
    De la saison 1 à la 5 j'aurais mis sans hesiter 5 étoiles. Je considère d'ailleurs la saison 5 comme la fin de la serie. Parce que les saisons d’après .... et la 8... et la vraie fin.... non.
    Bref Dexter, c'est un super concept, de supers acteurs (ma petite Deb !) et une super mise en scène. Je la conseille vraiment, elle vaut le detour, mais je le redis, il faut s’arrêter à la saison 5 !
    Bambousl
    Bambousl

    14 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 12 août 2014
    L'exemple parfait de la série qui touchait des sommets mais qui n'a pas su s'arrêter à temps, qui en a trop fait et qui au final laissera un souvenir moins fort/présent que si elle s'était terminée au bon moment !
    Après 4 très bonnes saisons (dont les 2 premières exceptionnelles à mon goût), la boucle était bouclé, cela nous aurait fait mal sur le coup mais la série serait restée dans la mémoire de manière positive... alors que là... à persévérer et à s'enfoncer dans le mauvais chemin, les derniers saisons et encore plus les derniers épisodes ont été une véritable purge pour les fans de la série (et je ne parle même pas du dernier épisode qui reste une énigme à mes yeux : "Comment a-t-on pu sortir une daube pareille pour conclure une telle série ?!" j'ai arrêté d'essayer de comprendre).
    Plus aucune logique, sans queue ni tête, illogique, bref typique d'une série qui sentait la fin mais qui ne voulait pas l'accepter !!!
    Alors oui, j'ai mis 4* tout de même... mais c'est grâce au début de la série, si on la prend en cours de route, la note serait descendu à 2* !!!

    Pour finir un conseil : pour celles et ceux qui n'ont pas encore regarder cette série, ou qui l'ont juste commencé, par pitié et pour votre bien, arrêtez vous à la fin de la saison 4 (qui sentait déjà le déclin mais qui aurait conclue la série à merveille)
    estcetony1
    estcetony1

    17 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 14 août 2014
    Attention série mythique!!!!
    Comment arriver à nous faire aimer un sérial killeur, et bien cette série répond à la question!
    Les acteurs sont géniaux, Michael C hall livre une performance énorme (et ce même malgré la maladie), la musique du générique vous restera gravée à vie.
    L'intrigue quand à elle est ultra originale et se développe sur 8 saisons avec beaucoup de hauts et quelques rares bas pour arriver à un final (et oui enfin une série qui se fini) d'anthologie.
    Si vous ne connaissez pas Dexter, foncez
    ZOGAROK
    ZOGAROK

    14 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 7
    3,5
    Publiée le 16 juillet 2013
    L’amour d’une sœur pour son frère, tout comme la collusion entre les forces de l’ordre et celles d’un assassin pour assouvir le sens de la justice, sont des postulats aussi abondamment mis en avant (omniprésents dans les résumés-intros) que bradés. Autre balise de cette septième édition, la nouvelle petite amie de Dexter, une tueuse elle aussi, se distinguant de Lumen mais aussi de tous ses collaborateurs par son absence de peur et de scrupules (quitte à menacer l’entourage de Dexter). Cette normalisation renforce l’assimilation, désormais entière, de Dexter à sa vie et à ce qu’il a considéré jusque dans la saison 4 comme son masque, avant de s’y attacher (Harrisson, la famille, un certain mode de vie) et de s’autoriser les plaisirs et les espoirs d’un individu quelconque.
    Back to Top