Happiness : Episodes de la saison 1

Shadi et sa meilleure amie Ferial profitent du soleil et chantent à tue-tête sur les balançoires de l’aire de jeu d’Atisaz, un complexe immobilier privilégié du Nord de Téhéran. Un jeune homme les observe de loin, amusé. Ferial se moque de Shadi : ça ne sert à rien de déménager en France si elle n’ose pas parler aux mecs…

En cours particulier de français, Shadi s’ennuie. Les Fleurs du Mal ? Les Fleurs du Seum oui… Jusqu’à ce qu’elle reçoive un message sur Instagram : « C’est Sina, le mec d’hier. »

Shadi et sa mère sont convoquées dans le bureau de la principale du lycée. La jeune fille a été prise la main dans le sac avec la bouteille de vin offerte la veille par Sina or l’alcool est interdit en Iran. Les remontrances de la principale se transforment peu à peu en menaces liées à leur départ pour la France. Lors de cette conversation houleuse, Shadi découvre que son père n’est sans doute pas au courant de leur émigration imminente.

Shadi rentre de chez Ferial où elle s’était réfugiée après une dispute avec sa mère. De retour chez elle, elle surprend une conversation et en apprend plus sur son avenir à Paris. A-t-elle vraiment son mot à dire ?

Shadi a décidé de fuguer et de rendre visite à son père, dont elle n’a pas de nouvelles depuis maintenant plusieurs années, à Kish. Pour se rendre dans le sud, elle et Ferial ont besoin d’une voiture et d’un chauffeur. Elles donnent rendez-vous à Sina au Bam-e, une colline au Nord de la ville dont le nom signifie « le toit de Téhéran ». Sina semble être le complice idéal, encore faut-il qu’il accepte…

Enfin libérés des embouteillages de Téhéran, direction le sud et Kish ! L’humeur est joyeuse dans le van même si Parsa n’est pas le copilote dont Sina aurait rêvé. Shadi propose de faire un arrêt pour aller voir un parc d’attraction désaffecté. Les jeunes gens découvrent à leurs dépends que leur insouciance peut leur jouer des tours.

S’étant fait voler tout l’argent prévu pour leur voyage, Shadi, Ferial, Parsa et Sina doivent s’arrêter à Qom, le centre religieux de l’Iran. Les quatre Téhéranais risquent de ne pas passer inaperçus…