Un meurtre au bout du monde : Critiques de la presse
Un meurtre au bout du monde
Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
3,4
13 titres de presse
Les Inrockuptibles
Franceinfo Culture
Voici
Ecran Large
Le Parisien
Télérama
Le Figaro Magazine
Première
Télé Loisirs
Ouest France
Téléstar
Libération
Numerama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
"Un meurtre au bout du monde" travaille la fiction comme une glaise : les événements s’enchaînent selon une logique qui échappe à la chronologie. Les images se touchent et nous touchent. Nos émotions et celles des héros·oïnes semblent diffractées dans un cosmos narratif. C’est prodigieux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Franceinfo Culture
par Laurent Valière
La série très belle, esthétiquement, est emmenée par une magnétique Emma Corrin. L’actrice nous avait bluffés dans le rôle de Diana dans la saison 4 de The Crown.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Voici
par Alexandra Varin
Tourné, pour ses scènes extérieures, dans de sublimes décors naturels enneigés, ce polar est un modèle de série stylisée. Ajoutez à cela une mise en scène élégante et une parfaite gestion de l'espace clos qui rend le tout efficacement étouffant.
Ecran Large
par Geoffrey Fouillet
À la fois haletante et poétique, cette mini-série prouve définitivement que l'on peut faire du neuf avec du vieux.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Parisien
par Renaud Baronian
Jamais avares d’idées hyperoriginales, Britt Marling et Zal Batmanglij ont pour cette fois eu l’audace de mêler un récit d’anticipation, tourné vers le futur, avec une histoire de tueur en série à l’ancienne, orientée vers le passé de son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Caroline Veunac
Si la série place ses espoirs dans les femmes et la jeunesse, elle réinvente aussi le couple romantique pour en faire un autre antidote aux conspirations mortifères.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
Un meurtre au bout du monde repose autant sur son suspense que sur l'atmosphère crépusculaire de fin du monde qu'elle tisse avec patience.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Première
par François Léger
Un whodunit assez efficace mais où ne transpire que trop rarement l’élégante bizarrerie de Brit Marling et Zal Batmanglij.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Roxane Mansano
Manquant parfois d'action, de rebondissements plus exaltants ou de scènes plus vives, et moins moroses, la série aurait eu encore plus d'impact avec des épisodes raccourcis en supprimant certaines séquences superflues.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Ouest France
par La rédaction
La série ne parvient malheureusement pas à égaler ses aînés, ni à recréer la magie ressentie pendant les deux saisons de The OA. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Téléstar
par Romain Nigita
Les créateurs de "The OA" tentent, sans y parvenir totalement, de renouveler ce postulat classique tiré de roman policier, déjà parodié avec brio par le film "Glass Onion".
Libération
par Théo Ribeton
De ce pari osé n’émerge qu’un résultat finalement très heurté et dysfonctionnel.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Numerama
par Salammbô Marie
Ce qui semblait être une enquête bien ficelée, aux secrets bien gardés, s’avère finalement retomber platement comme un mauvais soufflé.
La critique complète est disponible sur le site Numerama
Les Inrockuptibles
"Un meurtre au bout du monde" travaille la fiction comme une glaise : les événements s’enchaînent selon une logique qui échappe à la chronologie. Les images se touchent et nous touchent. Nos émotions et celles des héros·oïnes semblent diffractées dans un cosmos narratif. C’est prodigieux.
Franceinfo Culture
La série très belle, esthétiquement, est emmenée par une magnétique Emma Corrin. L’actrice nous avait bluffés dans le rôle de Diana dans la saison 4 de The Crown.
Voici
Tourné, pour ses scènes extérieures, dans de sublimes décors naturels enneigés, ce polar est un modèle de série stylisée. Ajoutez à cela une mise en scène élégante et une parfaite gestion de l'espace clos qui rend le tout efficacement étouffant.
Ecran Large
À la fois haletante et poétique, cette mini-série prouve définitivement que l'on peut faire du neuf avec du vieux.
Le Parisien
Jamais avares d’idées hyperoriginales, Britt Marling et Zal Batmanglij ont pour cette fois eu l’audace de mêler un récit d’anticipation, tourné vers le futur, avec une histoire de tueur en série à l’ancienne, orientée vers le passé de son héroïne.
Télérama
Si la série place ses espoirs dans les femmes et la jeunesse, elle réinvente aussi le couple romantique pour en faire un autre antidote aux conspirations mortifères.
Le Figaro Magazine
Un meurtre au bout du monde repose autant sur son suspense que sur l'atmosphère crépusculaire de fin du monde qu'elle tisse avec patience.
Première
Un whodunit assez efficace mais où ne transpire que trop rarement l’élégante bizarrerie de Brit Marling et Zal Batmanglij.
Télé Loisirs
Manquant parfois d'action, de rebondissements plus exaltants ou de scènes plus vives, et moins moroses, la série aurait eu encore plus d'impact avec des épisodes raccourcis en supprimant certaines séquences superflues.
Ouest France
La série ne parvient malheureusement pas à égaler ses aînés, ni à recréer la magie ressentie pendant les deux saisons de The OA. Dommage.
Téléstar
Les créateurs de "The OA" tentent, sans y parvenir totalement, de renouveler ce postulat classique tiré de roman policier, déjà parodié avec brio par le film "Glass Onion".
Libération
De ce pari osé n’émerge qu’un résultat finalement très heurté et dysfonctionnel.
Numerama
Ce qui semblait être une enquête bien ficelée, aux secrets bien gardés, s’avère finalement retomber platement comme un mauvais soufflé.