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Un visiteur
Critique de la série
4,5
Publiée le 20 novembre 2023
C'est le dernier épisode qui donne la solution à ce qui hante notre héros, infirmier. La toile de fond reste le traumatisme infantile qui s'engouffre pour ne réapparaître, dans le meilleur des cas, que très tard. Au milieu d'un centre médical ouvert nous assistons à des tranches de vie pour nous expliquer la raison de leur admission et cela est montré de plusieurs points de vue. Par moment, on revoit la même scène, mais d'un autre point de vue, ce qui rend cette série assez originale. C'est bien ficelé, comme savent le faire les australiens.
l'univers de la psychiatrie vu au travers des patients et soignants est ici dépeins avec justesse et réalisme.dans cette série australienne de tres bonne qualité
Nik, notre héros, infirmier psychiatrique bienveillant, proche de ses patients, nous ouvre la porte de cet univers mal connu et si effrayant de la maladie mentale (ceux qu’on appelle à tort « les fous). La série enlève toute barrière entre malades et soignants, dits « normaux ». Alors que le scénario nous présente à chaque épisode une catégorie de maladie, on s’aperçoit vite que les soignants sont aussi des humains avec leurs propres comportements (souffrances, immaturité, obsessions, sadisme) autant de personnages attachants ou repoussants. Ici, on quitte la caricature de l’hôpital « blanc, emprisonnant, sans affects) pour nous présenter un univers plus près de la réalité , tout en émotions dont personne ne sort indemne. La série choisit aussi de nous surprendre par des passages oniriques, des séquences poétiques, musicales et danses Bollywood (Nik est d’origine indienne) Réussi pour qui s’intéresse au milieu. Juste pour ceux qui le connait
Un Excellent travail de réalisation et un jeu d’acteurs digne des plus grands, en plus des images oniriques, de la poésie et de l’observation subtile et tendre de l’univers psychiatrique dans ses aspects dramatiques ou comiques. Cela parlera aux professionnels de cette passionnante spécialité.
Une série de haut niveau qui sort du lot. Une réussite sur tous les plans. A voir.
Sur l'univers psychiatrique et plus spécialement les relations humaines dans le service et avec les malades, voici une série de qualité, jamais caricaturale, avec divers types de patients présentés. Cela se passe en Australie, dans les Blue Mountains. Le personnage principal, l'infirmier Nik, d'origine indienne, sait s'y prendre avec les patients. Il a beaucoup d'humanité, de gentillesse et de savoir faire pour calmer les malades en pleine crise. Les épisodes, de style tragi-comiques, finissent par un passage dansé et chanté. Une série instructive et un peu exotique par ses paysages, que l'on regarde avec beaucoup de plaisir.
Plutôt déçu de cette série qui promettait mais voilà : il y a trop de longueurs, trop de "comédie musicale" qui tombe comme un cheveu sur la soupe, et puis on se demande qui du personnel soignant ou des patients sont les plus malades. Par moment on se demande si on est dans une comédie mais ce n'est pas vraiment drôle ou si le propos est vraiment sérieux mais on a peine à y croire ! Et puis les scènes rejouées sous 2 angles différents sont censées nous en apprendre davantage sauf que cela n'apporte rien de bien nouveau, bref une impression de gâchis pour ce qui aurait pu être une très bonne série si elle avait été mieux dirigée. Et puis la chanson finale, en anglais, censée résumer l'histoire n'est même pas sous-titrée heureusement que le générique m'a permis d'aller voir sur le Net pour en avoir le texte ! En résumé, assez bien mais peut mieux faire !
Très attachant, les personnages sont complexes, de la fantaisie pour un sujet lourd. Une très belle fin. Une mini série qui mérite plus de reconnaissance.
8 épisodes là où 4 auraient suffi. C'est long, les danses, les visions oniriques, les retours en arrière n'en finissent pas. Dans cet hôpital psychiatrique, on se demande qui sont les malades et les infirmiers et surtout on comprend très vite que Nik est responsable d'une façon ou d'une autre de la mort de son petit frère, reste juste à savoir comment. Le dernier épisode sombre dans le ridicule. Heureusement il y a les magnifiques paysages des Blue Mountains, heureusement...