Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Le Monde
par Audrey Fournier
Parfaitement conscient de la vulgarité du projet, qui est avant tout celle de l’époque, Sam Levinson parvient pourtant à faire surgir de ce scénario réduit à pas grand-chose des éclairs de lucidité intéressants. Ils viennent essentiellement de Lily-Rose Depp, qui donne beaucoup de sa personne pour faire exister ce personnage en dehors des fantasmes masculins qui en tirent les ficelles.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
On a assisté à un spectacle plutôt sexiste, gratuitement outrancier, et qui, sur la forme, clinquante et très soignée, rappelle des films comme "Basic Instinct" en plus trash et plus sordide. Mais ces séquences ne constituent pas l’essentiel du récit, centré sur les petits secrets du quotidien de la vie d’une chanteuse célèbre. Et à ce titre, "The Idol" impressionne : c’est un peu comme si on s’immisçait dans les coulisses de l’existence d’une pop star entre Britney Spears, Miley Cyrus et Lindsay Lohan.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ecran Large
par Antoine Desrues
Lorsqu’il colle réellement à la condition de son héroïne désespérée, Levinson touche du doigt la vulgarité d’une culture américaine abjecte, obsédée par la gloire et le fric, et qui digère ses talents comme de vulgaires bouts de viande. Le showrunner d’"Euphoria" rêve sans doute de faire son propre "Showgirls", et le jusqu’au-boutisme de sa mise en scène exhibitionniste s’en approche en de rares instants.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Première
par Frédéric Foubert
La série démarre comme un show satirique sur les coulisses du show-biz, quelque part entre The Player et A Star is born, s'amusant à mettre en boîte le petit cirque autour de la star : producteurs cyniques, attachées de presse en surchauffe, managers dépassés, etc. Marrant et efficace, à défaut d'être original.
La critique complète est disponible sur le site Première
Franceinfo Culture
par Anthony Jammot
Entre scènes de soumission qui ne sont pas sans rappeler celles des films "50 Nuances..." et situations à caractère sexiste, la série envoie valser les convenances pour s'offrir un show faussement glamour qui tutoie les frontières de la pornographie.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro
par Benjamin Puech
La fille de Vanessa Paradis et Johnny Depp incarne avec conviction une chanteuse pop à la recherche d'expériences extrêmes. Mais le résultat est plus ridicule que sulfureux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par Samuel Douhaire
Sous prétexte de faire une satire de l’industrie musicale, Sam Levinson enchaîne dans cette minisérie les clichés et les fantasmes sexuels éculés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Echos
par Léa Colombo
Dans le Los Angeles en carton-pâte de "The Idol", le sordide ne connaît aucune contre-mesure et les efforts de mise en scène de Sam Levinson ennuient plus qu'ils n'impressionnent ou ne choquent.
Le Monde
Parfaitement conscient de la vulgarité du projet, qui est avant tout celle de l’époque, Sam Levinson parvient pourtant à faire surgir de ce scénario réduit à pas grand-chose des éclairs de lucidité intéressants. Ils viennent essentiellement de Lily-Rose Depp, qui donne beaucoup de sa personne pour faire exister ce personnage en dehors des fantasmes masculins qui en tirent les ficelles.
Le Parisien
On a assisté à un spectacle plutôt sexiste, gratuitement outrancier, et qui, sur la forme, clinquante et très soignée, rappelle des films comme "Basic Instinct" en plus trash et plus sordide. Mais ces séquences ne constituent pas l’essentiel du récit, centré sur les petits secrets du quotidien de la vie d’une chanteuse célèbre. Et à ce titre, "The Idol" impressionne : c’est un peu comme si on s’immisçait dans les coulisses de l’existence d’une pop star entre Britney Spears, Miley Cyrus et Lindsay Lohan.
Ecran Large
Lorsqu’il colle réellement à la condition de son héroïne désespérée, Levinson touche du doigt la vulgarité d’une culture américaine abjecte, obsédée par la gloire et le fric, et qui digère ses talents comme de vulgaires bouts de viande. Le showrunner d’"Euphoria" rêve sans doute de faire son propre "Showgirls", et le jusqu’au-boutisme de sa mise en scène exhibitionniste s’en approche en de rares instants.
Première
La série démarre comme un show satirique sur les coulisses du show-biz, quelque part entre The Player et A Star is born, s'amusant à mettre en boîte le petit cirque autour de la star : producteurs cyniques, attachées de presse en surchauffe, managers dépassés, etc. Marrant et efficace, à défaut d'être original.
Franceinfo Culture
Entre scènes de soumission qui ne sont pas sans rappeler celles des films "50 Nuances..." et situations à caractère sexiste, la série envoie valser les convenances pour s'offrir un show faussement glamour qui tutoie les frontières de la pornographie.
Le Figaro
La fille de Vanessa Paradis et Johnny Depp incarne avec conviction une chanteuse pop à la recherche d'expériences extrêmes. Mais le résultat est plus ridicule que sulfureux.
Télérama
Sous prétexte de faire une satire de l’industrie musicale, Sam Levinson enchaîne dans cette minisérie les clichés et les fantasmes sexuels éculés.
Les Echos
Dans le Los Angeles en carton-pâte de "The Idol", le sordide ne connaît aucune contre-mesure et les efforts de mise en scène de Sam Levinson ennuient plus qu'ils n'impressionnent ou ne choquent.