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Votre avis sur The Idol ?
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Alors la, j'avoue ne pas comprendre le tsunami de critiques négatives et de polémiques dans lequel c'est noyé ce petit bijoux. The Idol, quelle série. Tout est parfait, de la mise en scène au dialogue en passant par l’atmosphère et le jeu d'acteur. Un style qui n'est pas sans rappeler la série "Euphoria", Sam Levinson aux manettes en même temps, et ça se ressent. Contrairement à ce que beaucoup disent, le sexe n'est pas le tronc du récit, bien au contraire. Une atmosphère malsaine et sexuel plane tout du long, certes, mais les scènes à caractère érotiques ont du sens et ne sont pas gratuites. Ici, on nous plonge dans les rapports de force et l'envers du décor du show-business de L.A. Vices, manipulation, mensonges et revirement de situation sont au cœur de "The Idol". C'est un combat dans un monde de requin pour ne pas être dévorés par les vampires et les opportunistes. La série joue avec le spectateur en le plongeant dans des zones d'ombres dont l'issue est souvent incertaine. L'aspect sectaire et les retournements de vestes des protagonistes alimentent le sentiment d'insécurité permanent. Une direction artistiques magnifique, une mise en scène pysché ainsi qu'une bande son envoutante nous guident à travers cette œuvre qui assume ses prises de risques et va jusqu'au bout de ce qu'elle veut nous montrer. Et ça, ça fait du bien. C'est rare aujourd'hui, de voir des créations décomplexées, faites avec passion et sans aucune pudeur, qui n'ont pas de peur de choquer et de déranger. Mais forcément, c'était trop beau pour être vrai; et la suite, on la connait. Quelle dommage...
Après sa série «Euphoria» (que je n’ai pas vu), Sam Levinson s’associe à HBO pour un nouveau programme intitulé ‘‘The Idol’’, une mini-série sulfureuse centrer sur la relation malsaine entre une chanteuse Jocelyn et son nouveau manager nommé Tedros. Présenter au dernier Festival de Cannes, la série a beaucoup fait parler d’elle. En réalité, cette fiction est très loin de la réputation qu’elle a. Alors bien sûr que ce n’est pas tout rose, tout joli, il y a des scènes de sexes a la pelle mais c’est toutefois moins cru que dans d’autres programmes. Il y a une ambiance un peu malsaine entre glamour et frayeur tout du long. Ce n’est pas un programme familiale, c’est claire. Toutefois ce n’est pas l’œuvre pornographique vendue par les médias. Bizarrement pour une série américaine que ce soit sur les questions d’addictions ou de sexualités c’est assez soft. Personellement, j’ai passé un bon moment devant «The Idol». C’est une série assez bien ficelé dans l’ensemble sans être dépourvu de défauts. En tout cas c’est une fiction qui essaye de prendre des risques et de dépeindre de façon la plus juste possible le milieu musical. La mise en scène comme beaucoup chez Levinson est très soigner, la photographie est magnifique. Côté musique, The Weekend qui tiens également le rôle de Tedros a pondu une super bande-son qui reflète bien les modes actuelles. Interprétation, il jouer parfois faux, cela dit – voulant trop en faire. Quand à Lily-Rose Depp, j’ai était agréablement surpris. De tous, c’est véritablement elle qui tire son épingle du jeu. Elle offre une interprétation totalement convaincante. La série se suit sans déplaisir. Au final j’ai autant aimé que détester cette série. La version de Sam Levinson s’avère plus intéressante que la version girly et Disney Chanel que voulait la réalisatrice au départ. Une série de bonne facture.
J'ai attendu de visionner les 5 épisodes pour rédiger ma critique, pensant que la série allait décoller à un moment. Hélas...
Dans cette série, au final, tout semble prétexte à filmer avec complaisance Lily rose Dep à moitié nue. Chaque scène semble un prétexte pour la voir sous toutes les coutures. L'impression est que Sam Levinson s'est fait plaisir en mettant en scène ses fantasmes à lui. Lily Rose Dep est son "jouet" tout au long de la série en surjouant son personnage de lolita sex symbol : lèvres entrouvertes, regards bovins et poses lascives. Quand à The Weekend il est aussi bon musicien que mauvais acteur spoiler: (il débite par moment des tirades pseudo philosophiques à mourir de rire tellement c'est creux).
Au final, cette série laisse une impression qui se voudrait sulfureuse et profonde, mais qui ressemble plus à un long clip vidéo qu'à une vraie oeuvre.
Dans cette série, au final, tout semble prétexte à filmer avec complaisance Lily rose Dep à moitié nue. Chaque scène semble un prétexte pour la voir sous toutes les coutures. L'impression est que Sam Levinson s'est fait plaisir en mettant en scène ses fantasmes à lui. Lily Rose Dep est son "jouet" tout au long de la série en surjouant son personnage de lolita sex symbol : lèvres entrouvertes, regards bovins et poses lascives. Quand à The Weekend il est aussi bon musicien que mauvais acteur spoiler: (il débite par moment des tirades pseudo philosophiques à mourir de rire tellement c'est creux).
Au final, cette série laisse une impression qui se voudrait sulfureuse et profonde, mais qui ressemble plus à un long clip vidéo qu'à une vraie oeuvre.
il y a Quelque jeux d'acteurs (secondaires qui sont pas asser exploiter (Da vine Joy Randolph en est la preuve, un potentiel et une expérience de malade pas asser mis en valeur). Le Scénario est Bon et surtout le jeu de lily rose depp est fantastique seul des idiots (et malheureusement ils sont nombreux)ne peuvent le reconnaître. The Weeknd (A.Tesfaye) n'est pas un acteur clnfirmé et ça se voit, c'est bien là l'unique bémol de taillle certe mais qui ne suffit pas à balayer tout le reste., tout ce qui est implicitement dénoncer, la dépréssuin , la luxure, l'qorgueil, le sado masochisme et clairememnt l''Emprise et l'endoctrinement. Car ces bien ça le sujet. Certains n'ont vi que la surface pseudo sulfureuse alors qu'il y a bien autre chose de contemporain dans la Sté d'aujourd'hui. Exister à n'importe quel Prix. ça méritait un traitement un peu plus long avec des épisode un poil plus court. Mais on rentre rapidement dans cette serie où on veut en voir le dénouement.
"The Idol", une série américaine créée par Sam Levinson, Abel Tesfaye (The Weeknd) et Reza Fahim, et diffusée sur HBO, promettait un mélange audacieux de drame et de musique, centré sur le monde impitoyable de l'industrie de la pop. Malgré un casting prometteur avec Lily-Rose Depp dans le rôle de Jocelyn, une idole pop en quête de rédemption, et Abel Tesfaye en tant que gourou manipulateur, la série peine à livrer une narration cohérente et satisfaisante.
"The Idol" s'égare dans sa propre ambition, peinant à trouver un équilibre entre ses éléments dramatiques et musicaux. Les épisodes semblent souvent décousus, laissant le spectateur dans l'incertitude quant à la direction réelle de la série. L'épisode "Libérée, délivrée" introduit les personnages dans un contexte intrigant mais ne parvient pas à développer pleinement leurs dynamiques. "Double fantasy" et "Daybreak" continuent sur cette lancée, avec des tentatives de développement de personnage qui se perdent dans un scénario de plus en plus labyrinthique.
"Les stars appartiennent au monde" et "Jocelyn pour toujours" tentent de redresser le cap en se concentrant davantage sur les enjeux personnels des protagonistes. Cependant, ces efforts sont minés par une exécution maladroite et une tendance à privilégier le style sur la substance. Les performances, bien que parfois convaincantes, ne parviennent pas à surmonter les déficiences du scénario et de la direction.
Les problèmes de production, incluant le changement d'équipe créative et le renouvellement du scénario, sont manifestes dans le produit final. Ces turbulences se reflètent dans une série qui semble incohérente et inachevée, malgré les ressources et le talent à sa disposition.
La bande originale, bien que comportant quelques morceaux intéressants, ne parvient pas à s'intégrer de manière significative dans la narration. Les tentatives d'explorer les thèmes de la célébrité, de la manipulation et de la dépendance dans l'industrie musicale sont superficielles et manquent de profondeur.
En fin de compte, "The Idol" est une déception, ne réussissant pas à exploiter son potentiel initial. Malgré quelques moments de brillance, la série est entravée par un scénario incohérent, des personnages sous-développés et une réalisation qui ne parvient pas à captiver. Une opportunité manquée dans un genre qui aurait pu être riche en intrigues et en émotions.
"The Idol" s'égare dans sa propre ambition, peinant à trouver un équilibre entre ses éléments dramatiques et musicaux. Les épisodes semblent souvent décousus, laissant le spectateur dans l'incertitude quant à la direction réelle de la série. L'épisode "Libérée, délivrée" introduit les personnages dans un contexte intrigant mais ne parvient pas à développer pleinement leurs dynamiques. "Double fantasy" et "Daybreak" continuent sur cette lancée, avec des tentatives de développement de personnage qui se perdent dans un scénario de plus en plus labyrinthique.
"Les stars appartiennent au monde" et "Jocelyn pour toujours" tentent de redresser le cap en se concentrant davantage sur les enjeux personnels des protagonistes. Cependant, ces efforts sont minés par une exécution maladroite et une tendance à privilégier le style sur la substance. Les performances, bien que parfois convaincantes, ne parviennent pas à surmonter les déficiences du scénario et de la direction.
Les problèmes de production, incluant le changement d'équipe créative et le renouvellement du scénario, sont manifestes dans le produit final. Ces turbulences se reflètent dans une série qui semble incohérente et inachevée, malgré les ressources et le talent à sa disposition.
La bande originale, bien que comportant quelques morceaux intéressants, ne parvient pas à s'intégrer de manière significative dans la narration. Les tentatives d'explorer les thèmes de la célébrité, de la manipulation et de la dépendance dans l'industrie musicale sont superficielles et manquent de profondeur.
En fin de compte, "The Idol" est une déception, ne réussissant pas à exploiter son potentiel initial. Malgré quelques moments de brillance, la série est entravée par un scénario incohérent, des personnages sous-développés et une réalisation qui ne parvient pas à captiver. Une opportunité manquée dans un genre qui aurait pu être riche en intrigues et en émotions.
"The Idol" est une série qui explore avec audace et perspicacité le monde tumultueux de l'industrie musicale contemporaine, mettant en lumière la fabrication et la manipulation d'une pop star dans le contexte du Hollywood moderne, souvent associé à des éléments trash et amoraux.
L'histoire se concentre sur Jocelyn, la protagoniste, une jeune pop star qui est traitée de manière infantilisante par son entourage, établissant ainsi un parallèle évident avec certaines célébrités notables telles que Britney Spears. Portée de manière magistrale par l'actrice Lily-Rose Depp, la série explore habilement les relations toxiques qui gravitent autour du Star System Hollywoodien.
D'emblée, "The Idol" dépeint les producteurs de musique, prêts à exploiter les faiblesses et la vulnérabilité de Jocelyn, y compris en utilisant sa nudité, pour garantir le succès commercial à tout prix malgré sa détresse psychologique.
L'industrie musicale est également critiquée pour la création de pop stars hypersexualisées, tout en étant consciente des pratiques problématiques en son sein, mais préférant fermer les yeux afin de préserver les profits.
La série aborde également la dimension malsaine de la relation amoureuse que Jocelyn entretien avec Tedros, gourou d’une secte de talents, et aux méthodes sombres et douteuses, évoquant des similitudes troublantes avec la vie tumultueuse d'artistes telles qu'Amy Winehouse.
Ainsi, à travers ces prismes toxiques, "The Idol" dépeint la descente aux enfers de Jocelyn tout en explorant, de manière paradoxale, les abîmes de l'âme humaine et sa quête de rédemption en tant que star.
Un aspect controversé des artistes est soulevé, amenant à réfléchir sur le rôle des tourments dans le monde de l'art et leur lien potentiel avec l'inspiration et le succès.
La série soulève la question cruciale de jusqu'où les célébrités sont prêtes à aller pour réussir dans un monde souvent dépourvu de morale.
spoiler: La conclusion de "The Idol" est intrigante, laissant place à des interprétations multiples. La protagoniste, Jocelyn, apparaît finalement comme une maniaque du contrôle qui orchestre minutieusement sa vie pour retrouver l'inspiration, allant jusqu'à manipuler les autres acteurs de son environnement. La question de la véracité de ses prétendus abus subis par sa mère est soulevée, suggérant la possibilité que Jocelyn ait délibérément utilisé ces événements pour retrouver l’inspiration et s'approprier les talents de Tedros, qu'elle appelle désormais « sa famille », le vampire est alors vampirisé… Cette évolution intrigue le spectateur, amenant à se demander si Jocelyn devient finalement la vraie gourou de la secte qu'elle semblait initialement subir (même si cela est, je le concède, légèrement tiré par les cheveux, certainement due à la réécriture rapide des scripts).
En somme, "The Idol" est une série remarquable qui offre un regard sans compromis sur l'industrie de la musique moderne et les relations toxiques qui la sous-tendent. L'exploration complexe et pertinente de thèmes controversés permet à la série de se distinguer et de susciter une réflexion approfondie sur le monde malsain du Star System américain et de l’esprit nocif qui y règne.
L'histoire se concentre sur Jocelyn, la protagoniste, une jeune pop star qui est traitée de manière infantilisante par son entourage, établissant ainsi un parallèle évident avec certaines célébrités notables telles que Britney Spears. Portée de manière magistrale par l'actrice Lily-Rose Depp, la série explore habilement les relations toxiques qui gravitent autour du Star System Hollywoodien.
D'emblée, "The Idol" dépeint les producteurs de musique, prêts à exploiter les faiblesses et la vulnérabilité de Jocelyn, y compris en utilisant sa nudité, pour garantir le succès commercial à tout prix malgré sa détresse psychologique.
L'industrie musicale est également critiquée pour la création de pop stars hypersexualisées, tout en étant consciente des pratiques problématiques en son sein, mais préférant fermer les yeux afin de préserver les profits.
La série aborde également la dimension malsaine de la relation amoureuse que Jocelyn entretien avec Tedros, gourou d’une secte de talents, et aux méthodes sombres et douteuses, évoquant des similitudes troublantes avec la vie tumultueuse d'artistes telles qu'Amy Winehouse.
Ainsi, à travers ces prismes toxiques, "The Idol" dépeint la descente aux enfers de Jocelyn tout en explorant, de manière paradoxale, les abîmes de l'âme humaine et sa quête de rédemption en tant que star.
Un aspect controversé des artistes est soulevé, amenant à réfléchir sur le rôle des tourments dans le monde de l'art et leur lien potentiel avec l'inspiration et le succès.
La série soulève la question cruciale de jusqu'où les célébrités sont prêtes à aller pour réussir dans un monde souvent dépourvu de morale.
spoiler: La conclusion de "The Idol" est intrigante, laissant place à des interprétations multiples. La protagoniste, Jocelyn, apparaît finalement comme une maniaque du contrôle qui orchestre minutieusement sa vie pour retrouver l'inspiration, allant jusqu'à manipuler les autres acteurs de son environnement. La question de la véracité de ses prétendus abus subis par sa mère est soulevée, suggérant la possibilité que Jocelyn ait délibérément utilisé ces événements pour retrouver l’inspiration et s'approprier les talents de Tedros, qu'elle appelle désormais « sa famille », le vampire est alors vampirisé… Cette évolution intrigue le spectateur, amenant à se demander si Jocelyn devient finalement la vraie gourou de la secte qu'elle semblait initialement subir (même si cela est, je le concède, légèrement tiré par les cheveux, certainement due à la réécriture rapide des scripts).
En somme, "The Idol" est une série remarquable qui offre un regard sans compromis sur l'industrie de la musique moderne et les relations toxiques qui la sous-tendent. L'exploration complexe et pertinente de thèmes controversés permet à la série de se distinguer et de susciter une réflexion approfondie sur le monde malsain du Star System américain et de l’esprit nocif qui y règne.
Étonné par le bashing sur cette minisérie.
Effectivement si vous êtes en train de vous préparer pour les JMJ, ce programme n'est pas pour vous!
J'ai trouvé l'ensemble très original et les acteurs convaincants. L'histoire est bien plus complexe qu'il n'y paraît. Il ne faut se focaliser sur les scènes un peu trash mais plutôt sur ce qu'elles traduisent chez les personnages: le dépassement de soi, le besoin de jouissance, l'expérimentation...
Je conseille de bien regarder la série jusqu'au bout avant de juger...
A regarder sans modération
Effectivement si vous êtes en train de vous préparer pour les JMJ, ce programme n'est pas pour vous!
J'ai trouvé l'ensemble très original et les acteurs convaincants. L'histoire est bien plus complexe qu'il n'y paraît. Il ne faut se focaliser sur les scènes un peu trash mais plutôt sur ce qu'elles traduisent chez les personnages: le dépassement de soi, le besoin de jouissance, l'expérimentation...
Je conseille de bien regarder la série jusqu'au bout avant de juger...
A regarder sans modération
Cette série ne vaut pas tout le mauvais jugement dont elle a été la cible !
Je m’explique : il s’agit d’une série qui retrace l’histoire d’une star sous l’emprise d’un homme. C’est une serie, qui parle de cette entreprise donc oui certaines scènes choc (le sujet en lui même est choquant). Certes, cela ne méritait peut-être pas autant de passage ou Lily rose est dénudée. Je ne suis pas une « fan », je ne l’avais jamais vu jouer, je juge uniquement son rôle dans cette série et je trouve que son jeu d’acteur est plutôt pas mal pour une première série à gros budget ! Concernant The weekend, la déferlante qu’il a eu à son égard je trouve est injustifiée et disproportionnée.
Le film est globalement bien tournée, certaines scènes sont too much ou un poil gênantes oui ok mais le fond reste agréable à regarder et bien réalisé.
Au vu du nombre de mauvais commentaires je pensais franchement être déçue, mais je préfère toujours me faire mon propre avis et pour le coup je suis contente d’être allée au delà de tous ces mauvais avis pour me faire le mien. Ça ne sera pas là serie de tous les temps c’est certain mais j’ai déjà vu des navets et ce n’est pas le cas ici !
Je m’explique : il s’agit d’une série qui retrace l’histoire d’une star sous l’emprise d’un homme. C’est une serie, qui parle de cette entreprise donc oui certaines scènes choc (le sujet en lui même est choquant). Certes, cela ne méritait peut-être pas autant de passage ou Lily rose est dénudée. Je ne suis pas une « fan », je ne l’avais jamais vu jouer, je juge uniquement son rôle dans cette série et je trouve que son jeu d’acteur est plutôt pas mal pour une première série à gros budget ! Concernant The weekend, la déferlante qu’il a eu à son égard je trouve est injustifiée et disproportionnée.
Le film est globalement bien tournée, certaines scènes sont too much ou un poil gênantes oui ok mais le fond reste agréable à regarder et bien réalisé.
Au vu du nombre de mauvais commentaires je pensais franchement être déçue, mais je préfère toujours me faire mon propre avis et pour le coup je suis contente d’être allée au delà de tous ces mauvais avis pour me faire le mien. Ça ne sera pas là serie de tous les temps c’est certain mais j’ai déjà vu des navets et ce n’est pas le cas ici !
Déception que cette série étonnamment teen-ager. Pourtant j'aime beaucoup le travail de Sam Levinson mais là... c'est un peu libidineux, très ennuyeux et cliché. En plus je trouve que the weeknd a le charisme d'un poulpe.
La série est une critique d'Hollywood. The Weeknd s'est inspiré de sa propre vie et d'autres stars. Pour ceux qui ne connaissent pas le contexte, The Weeknd, à travers ses chansons, a montré un monde, son monde quelque peu trouble et sombre. Et bien sûr, la série n'a pas fait exception, il ne s'agit pas seulement de scènes de sexe sans importance, mais de quelque chose de beaucoup plus profond. C'est la dure réalité des stars.
Oui il y a des scènes vraiment très "hot" mais au delà de ça, le jeu d'acteur notamment de Lily Rose Depp et The Weeknd et assez puissant, elle arrive à faire passer énormément d'émotions et c'est surtout ça qui retourne.
Cette série, malheureusement coupée sur Prime au 5eme épisode méritait juste pour le travail des acteurs et des équipes de tournages, du réalisateurs etc. d'être diffusée, est TRES PUISSANTE PSYCHOLOGIQUEMENT ET ÉMOTIONNELLEMENT.
Chacun son point de vue évidemment mais pour moi, on ne peut que souligner l'actrice pour l'un de ses premiers rôles sur grand écran dans un rôle complexe psychologiquement et physiquement.
Hâte de la revoir jouer.
Une jeune femme passionnée, perturbée par la mort de sa mère qui recherche les sensations extrèmes pour se sentir vivante dans un monde hyprocrite, superficiel à la recherche du sexe et de l'argent.
Sur des aspects plus soft et dans un réalité loin de la célébrité beaucoup plus de personnes qu'on ne le pense pourraient s'identifier à cette jeune chanteuse, (presque) seule, au passé difficile, entourée de personnes toxiques qui veulent profiter de son talent, mais qui malgré tout cela réussi à briller de par sa prestance, son intelligence et son talent.
Bravo à toutes et tous pour cette série puissante et merci pour cette création.
Cette série, malheureusement coupée sur Prime au 5eme épisode méritait juste pour le travail des acteurs et des équipes de tournages, du réalisateurs etc. d'être diffusée, est TRES PUISSANTE PSYCHOLOGIQUEMENT ET ÉMOTIONNELLEMENT.
Chacun son point de vue évidemment mais pour moi, on ne peut que souligner l'actrice pour l'un de ses premiers rôles sur grand écran dans un rôle complexe psychologiquement et physiquement.
Hâte de la revoir jouer.
Une jeune femme passionnée, perturbée par la mort de sa mère qui recherche les sensations extrèmes pour se sentir vivante dans un monde hyprocrite, superficiel à la recherche du sexe et de l'argent.
Sur des aspects plus soft et dans un réalité loin de la célébrité beaucoup plus de personnes qu'on ne le pense pourraient s'identifier à cette jeune chanteuse, (presque) seule, au passé difficile, entourée de personnes toxiques qui veulent profiter de son talent, mais qui malgré tout cela réussi à briller de par sa prestance, son intelligence et son talent.
Bravo à toutes et tous pour cette série puissante et merci pour cette création.
Cette série ce démarque par son originalité et donne un aperçu de la perversité du milieu du showbisness. Lily Rose Depp est une très bonne actrice. Il faut réussir à passer outre certaines scènes violente ou sexuel car elle rentre en adéquation avec le scénario.
Il faut prendre du recul pour arriver à apprécier The Idol une série qui, je l'admet n'est pas simple à regarder et qui peut déranger.
Concernant les aspects positifs : La photo est magnifique, la bande son aussi, c'est vraiment beau à regarder, on est dans un univers propre à The Idol. Au-delà de ça, je suis très agréablement surprise par Lily Rose Depp qui joue un rôle particulièrement difficile à jouer et à assumer. Je trouve le personnage de Jocelyne attachant et intéressant, de même pour Nikki et sa meilleure amie.
Pour le négatif... J'adore The Weeknd en tant qu'artiste musical, mais alors là, j'ai trouvé son jeu d'acteur creux, un personnage pourtant terrifiant et dégoûtant mais qui manquait de prestance.
J'ai particulièrement aimé les deux premiers épisodes (surtout le 2eme qui mérite d'être vu), mais il est vrai que la série s'essouffle avec le temps. En partie à cause des scènes sexuelles trop nombreuses/détaillées. On peut mettre en avant que le sexe est utilisé à outrance comme mode de manipulation sans pour autant faire détourner la tête aux spectateurs.
en bref, une jolie base, une bonne actrice principale, mais une réalisation tordue et médiocre rendant une série à fort potentiel au final assez fade. Série à regarder pour se faire son propre avis.
Concernant les aspects positifs : La photo est magnifique, la bande son aussi, c'est vraiment beau à regarder, on est dans un univers propre à The Idol. Au-delà de ça, je suis très agréablement surprise par Lily Rose Depp qui joue un rôle particulièrement difficile à jouer et à assumer. Je trouve le personnage de Jocelyne attachant et intéressant, de même pour Nikki et sa meilleure amie.
Pour le négatif... J'adore The Weeknd en tant qu'artiste musical, mais alors là, j'ai trouvé son jeu d'acteur creux, un personnage pourtant terrifiant et dégoûtant mais qui manquait de prestance.
J'ai particulièrement aimé les deux premiers épisodes (surtout le 2eme qui mérite d'être vu), mais il est vrai que la série s'essouffle avec le temps. En partie à cause des scènes sexuelles trop nombreuses/détaillées. On peut mettre en avant que le sexe est utilisé à outrance comme mode de manipulation sans pour autant faire détourner la tête aux spectateurs.
en bref, une jolie base, une bonne actrice principale, mais une réalisation tordue et médiocre rendant une série à fort potentiel au final assez fade. Série à regarder pour se faire son propre avis.
Les retours n'ont pas été très positifs sur cette série et je dois avouer être mitigé également. On ne peut pas passé a côté de la magnifique scénographie de Sam Levinson, je me dois de le souligner. Le visuels reste incroyable : décor, lumière, musiques, chorégraphies. Les acteurs sont bons et je suis agréablement rentré dans leur vies et personnalités. Je suis cependant un peu déçus de l'histoire elle même, tellement d'axes auraient pu être approfondit pour venir choper le spectateurs plus hardement. La série paraît donc un peu superficielle et centrée sur la drogues, sexe et depression sans plus de profondeur. C'est peut-être ca Hollywood.
Série pas incroyable je trouve, peut être un manque d’action à noter. La performance d’artistes musicaux dans des rôles d’acteur comme The Weeknd est cependant à noter.