Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
20 Minutes
par Anne Demoulin
Une réflexion chatoyante et pétillante qui questionne la norme avec un regard toujours bienveillant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
L’ensemble de l’univers de la série, de ses décors très colorés à la musique pop composée par Olivia Merilahti (connue pour le groupe The Dø qu’elle formait avec Dan Levy), complète un tableau acidulé qui fait du bien à voir.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Aspergirl prend soin de ses personnages, dans le meilleur sens du terme, en sous-entendant que le monde, lui, n’en prend pas assez soin. Défendre les moins fort·es ressemble à un programme politique et narratif respectable, que cette bonne surprise printanière assume avec conviction.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé Loisirs
par Juliette Heuzebroc
Cette fiction aborde joliment la difficulté à entrer dans le moule de la vie "normale" lorsqu'on est une mère atteinte d'autisme. Mention spéciale aux personnages secondaires, maladroits et attachants.
Télérama
par Marjolaine Jarry
Dotée de dialogues ciselés, "Aspergirl" se distingue par sa capacité à s’inscrire dans le genre, encore si rare en France, de la dramédie. La drôlerie incontournable de l’ensemble n’escamote pas les difficultés, voire les pics de tristesse qui hérissent l’existence.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Thomas Sotinel
Nicole Ferroni, intarissable, toujours en mouvement, et Carel Brown, version enfantine de Buster Keaton, font un joli couple que viennent compléter une sœur qui prolonge sa crise d’adolescence bien au-delà de la date réglementaire, des parents qui caricaturent gentiment l’indécrottable égoïsme des boomeurs, un mari guère plus en contact avec la réalité que son épouse et une collègue, qui amènera Louison à une autre épiphanie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Figaro Magazine
par Julia Baudin
Le duo fonctionne. Les situations s'enchaînent. Certains instantanés sont même frappants de sincérité. On salue aussi la maîtrise du récit, le traitement efficace de la question du lien, la drôlerie incontestable de l'ensemble et l'absence de toute forme de mièvrerie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Télé 7 Jours
par Christophe Séfrin
Cette série drôle et sincère attire le regard et force l’empathie.
20 Minutes
Une réflexion chatoyante et pétillante qui questionne la norme avec un regard toujours bienveillant.
Le Parisien
L’ensemble de l’univers de la série, de ses décors très colorés à la musique pop composée par Olivia Merilahti (connue pour le groupe The Dø qu’elle formait avec Dan Levy), complète un tableau acidulé qui fait du bien à voir.
Les Inrockuptibles
Aspergirl prend soin de ses personnages, dans le meilleur sens du terme, en sous-entendant que le monde, lui, n’en prend pas assez soin. Défendre les moins fort·es ressemble à un programme politique et narratif respectable, que cette bonne surprise printanière assume avec conviction.
Télé Loisirs
Cette fiction aborde joliment la difficulté à entrer dans le moule de la vie "normale" lorsqu'on est une mère atteinte d'autisme. Mention spéciale aux personnages secondaires, maladroits et attachants.
Télérama
Dotée de dialogues ciselés, "Aspergirl" se distingue par sa capacité à s’inscrire dans le genre, encore si rare en France, de la dramédie. La drôlerie incontournable de l’ensemble n’escamote pas les difficultés, voire les pics de tristesse qui hérissent l’existence.
Le Monde
Nicole Ferroni, intarissable, toujours en mouvement, et Carel Brown, version enfantine de Buster Keaton, font un joli couple que viennent compléter une sœur qui prolonge sa crise d’adolescence bien au-delà de la date réglementaire, des parents qui caricaturent gentiment l’indécrottable égoïsme des boomeurs, un mari guère plus en contact avec la réalité que son épouse et une collègue, qui amènera Louison à une autre épiphanie.
Le Figaro Magazine
Le duo fonctionne. Les situations s'enchaînent. Certains instantanés sont même frappants de sincérité. On salue aussi la maîtrise du récit, le traitement efficace de la question du lien, la drôlerie incontestable de l'ensemble et l'absence de toute forme de mièvrerie.
Télé 7 Jours
Cette série drôle et sincère attire le regard et force l’empathie.