La meilleure version de moi-même : Critiques de la presse
La meilleure version de moi-même
Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
3,2
8 titres de presse
Le Parisien
Télérama
Les Inrockuptibles
Marianne
Le Monde
Télé Loisirs
Libération
Le Figaro
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Le Parisien
par Grégory Plouviez
Peu de chance que vous en tombiez amoureux si vous ne goûtiez pas à l’esprit corrosif et (im)pertinent de la comédienne de 44 ans, adepte du parler cru. A contrario : il y a de fortes chances que vous soyez séduit par cette proposition radicale, grinçante, originale et désespérément drôle, si vous faites partie des nombreux fans de l’humoriste.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Pierre Langlais
Nul doute que [les réactions] seront nombreuses, hilares ou indignées, tant La Meilleure Version de moi-même est une œuvre radicale, comme on en voit trop peu sur le petit écran français.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
On pensait avoir face à nous un commentaire ironique sur le féminisme radical et le développement personnel, mais c’était d’abord un point de vue frontal sur la dépression et la maladie mentale qui déployait son spectre (...) La Meilleure Version de moi-même ou la feel-bad série ultime, un pur cri (référence à Edvard Munch comprise) qui ne peut laisser indifférent·e.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par La rédaction
En cherchant une meilleure version d’elle-même, la Blanche Gardin de fiction dévoile les pires facettes de sa pseudo-personnalité et dépeint le narcissisme contemporain des réseaux sociaux. Délicieux !
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Le Monde
par Audrey Fournier
Plus que l’air du temps, c’est son rapport à lui que Blanche Gardin caricature et donc interroge, en tant que femme et humoriste. Et de défendre, à travers le récit d’une quête de pureté perdue d’avance, la délicate mais nécessaire distance entre l’humour et le politique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé Loisirs
par La rédaction
Une mise en abyme cruelle et hilarante dans laquelle l'humoriste questionne son nombrilisme et celui de la société en évoquant les réseaux sociaux, le féminisme, la quête de soi... Une oeuvre déroutante, à l'image de l'artiste, qui dérange et fait rire des autres mais aussi de soi-même.
Libération
par Marius Chapuis
Est-ce que ça ne serait pas un peu finkelkrautien cette affaire ? Orgasme bruyant de la critique de droite qui salue un «brûlot» anti-woke (le Point), doute à gauche… Quand bien même la série ne dévie pas du discours tenu La Meilleure Version de moi-même ne peut que troubler à force de jouer avec insistance sur la frontière entre «rire avec» et «rire contre».
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Figaro
par La rédaction
Victime d'une constipation chronique, dont aucun détail ne nous est épargné, [Blanche Gardin] décide d'arrêter la scène. La faute à un naturopathe, premier des charlatans qu'elle va consulter au long de ces neuf épisodes gênants (...) Elle veut « emprunter un nouveau chemin de lumière », se reconnecter à ses émotions. Sans en donner aux spectateurs. À part la révélation Paul Moulin, qui joue à merveille les abrutis sadisés, cette fiction a tout d'une belle cagade.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
Peu de chance que vous en tombiez amoureux si vous ne goûtiez pas à l’esprit corrosif et (im)pertinent de la comédienne de 44 ans, adepte du parler cru. A contrario : il y a de fortes chances que vous soyez séduit par cette proposition radicale, grinçante, originale et désespérément drôle, si vous faites partie des nombreux fans de l’humoriste.
Télérama
Nul doute que [les réactions] seront nombreuses, hilares ou indignées, tant La Meilleure Version de moi-même est une œuvre radicale, comme on en voit trop peu sur le petit écran français.
Les Inrockuptibles
On pensait avoir face à nous un commentaire ironique sur le féminisme radical et le développement personnel, mais c’était d’abord un point de vue frontal sur la dépression et la maladie mentale qui déployait son spectre (...) La Meilleure Version de moi-même ou la feel-bad série ultime, un pur cri (référence à Edvard Munch comprise) qui ne peut laisser indifférent·e.
Marianne
En cherchant une meilleure version d’elle-même, la Blanche Gardin de fiction dévoile les pires facettes de sa pseudo-personnalité et dépeint le narcissisme contemporain des réseaux sociaux. Délicieux !
Le Monde
Plus que l’air du temps, c’est son rapport à lui que Blanche Gardin caricature et donc interroge, en tant que femme et humoriste. Et de défendre, à travers le récit d’une quête de pureté perdue d’avance, la délicate mais nécessaire distance entre l’humour et le politique.
Télé Loisirs
Une mise en abyme cruelle et hilarante dans laquelle l'humoriste questionne son nombrilisme et celui de la société en évoquant les réseaux sociaux, le féminisme, la quête de soi... Une oeuvre déroutante, à l'image de l'artiste, qui dérange et fait rire des autres mais aussi de soi-même.
Libération
Est-ce que ça ne serait pas un peu finkelkrautien cette affaire ? Orgasme bruyant de la critique de droite qui salue un «brûlot» anti-woke (le Point), doute à gauche… Quand bien même la série ne dévie pas du discours tenu La Meilleure Version de moi-même ne peut que troubler à force de jouer avec insistance sur la frontière entre «rire avec» et «rire contre».
Le Figaro
Victime d'une constipation chronique, dont aucun détail ne nous est épargné, [Blanche Gardin] décide d'arrêter la scène. La faute à un naturopathe, premier des charlatans qu'elle va consulter au long de ces neuf épisodes gênants (...) Elle veut « emprunter un nouveau chemin de lumière », se reconnecter à ses émotions. Sans en donner aux spectateurs. À part la révélation Paul Moulin, qui joue à merveille les abrutis sadisés, cette fiction a tout d'une belle cagade.