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Sous les atours de l’épouvante, The Watcher livre une satire sociale efficace, un drame pavillonnaire qui se nourrit de quelques obsessions américaines : l’importance du statut, la peur du déclassement et, pire que tout, l’ennemi venu de l’intérieur. La démonstration est menée tambour battant par des scénaristes décomplexés et des acteurs qui y prennent visiblement du plaisir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Comme tout ce que fait Ryan Murphy, The Watcher est parfois excessif et extravagant, mais l'ensemble reste centré sur l'histoire et parvient à rendre la série palpable. C'est ni fade ni piquant.
La critique complète est disponible sur le site Espinof
Son dispositif éprouvé, consistant à nous faire suspecter tour à tour chacun des personnages avant qu’une révélation fracassante nous fasse revoir notre copie, est d’abord stimulante (et plutôt bien amenée) mais finit par s’épuiser passé le quatrième épisode d’une série qui en compte sept. Jusqu’à nous faire bâiller d’un ennui manifeste.
Si vous aimez les séries de Ryan Murphy, vous aimerez celle-ci. Si vous les détestez, et bien au moins c'est déjà mieux que cette horreur sur Jeffrey Dahmer.
La critique complète est disponible sur le site The Guardian
The Watcher est une anecdote, que son excellent casting n'est pas parvenu à sauver de Ryan Murphy. Ce dernier parvient à s'éloigner de son excellent matériau de base pour concocter un train fantôme sans queue ni tête dont la conclusion ne parvient pas à assumer ses facéties. L'ensemble demeure plutôt divertissant, pas toujours pour les bonnes raisons.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
The Watcher est une série de Ryan Murphy classique, c'est-à-dire qu'à chaque bonne idée, comme le rôle de Jennifer Coolidge, il y a un élément qui va vous faire lever les yeux au ciel et soupirer d'exaspération.
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
La réalisation manque franchement de relief, le seul point positif concerne les comédiens. Naomi Watts et Bobby Cannavale incarnent Nora et Dean de manière efficace mais sans étincelles. On est davantage séduit par les personnages secondaires, notamment les voisines Mo et Pearl, respectivement interprétées par la géniale Margo Martindale et Mia Farrow.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Si vous venez pour de bonnes inteprétations d'acteurs, vous en aurez pour votre argent. Mais où est le reste ? C'est tellement stylisé et sans vie que ça nous passe au-dessus de la tête.
La critique complète est disponible sur le site The Times
Si vous êtes d'humeur pour une série extravagante, The Watcher va vous divertir pour une heure, plus ou moins, avant que vous zappiez pour la série suivante.
La critique complète est disponible sur le site The Wrap
Jamais la mise en scène ne permet à la question du regard de se déployer : on se contente de plans à l’épaule sur la maison, avec ici et là une silhouette encapuchonnée censée faire frissonner. Mais à la place des frissons, c’est plutôt le grotesque qui l’emporte au fil des nombreux récits enchâssés, tous assez ridicules.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
Sous les atours de l’épouvante, The Watcher livre une satire sociale efficace, un drame pavillonnaire qui se nourrit de quelques obsessions américaines : l’importance du statut, la peur du déclassement et, pire que tout, l’ennemi venu de l’intérieur. La démonstration est menée tambour battant par des scénaristes décomplexés et des acteurs qui y prennent visiblement du plaisir.
Première
L'air de rien, The Watcher aborde sous ses airs de thriller ludique et exagérément rempli de rebondissements des sujets de société importants.
Espinof
Comme tout ce que fait Ryan Murphy, The Watcher est parfois excessif et extravagant, mais l'ensemble reste centré sur l'histoire et parvient à rendre la série palpable. C'est ni fade ni piquant.
Les Inrockuptibles
Son dispositif éprouvé, consistant à nous faire suspecter tour à tour chacun des personnages avant qu’une révélation fracassante nous fasse revoir notre copie, est d’abord stimulante (et plutôt bien amenée) mais finit par s’épuiser passé le quatrième épisode d’une série qui en compte sept. Jusqu’à nous faire bâiller d’un ennui manifeste.
New York Magazine
Une histoire de voisinage qui sait exactement ce qui vous fait peur et ce qui vous obsède.
The Guardian
Si vous aimez les séries de Ryan Murphy, vous aimerez celle-ci. Si vous les détestez, et bien au moins c'est déjà mieux que cette horreur sur Jeffrey Dahmer.
Ecran Large
The Watcher est une anecdote, que son excellent casting n'est pas parvenu à sauver de Ryan Murphy. Ce dernier parvient à s'éloigner de son excellent matériau de base pour concocter un train fantôme sans queue ni tête dont la conclusion ne parvient pas à assumer ses facéties. L'ensemble demeure plutôt divertissant, pas toujours pour les bonnes raisons.
indieWIRE
The Watcher est une série de Ryan Murphy classique, c'est-à-dire qu'à chaque bonne idée, comme le rôle de Jennifer Coolidge, il y a un élément qui va vous faire lever les yeux au ciel et soupirer d'exaspération.
Hollywood Reporter
Une histoire vraie inoubliable pour une série plus qu'oubliable.
Le Parisien
La réalisation manque franchement de relief, le seul point positif concerne les comédiens. Naomi Watts et Bobby Cannavale incarnent Nora et Dean de manière efficace mais sans étincelles. On est davantage séduit par les personnages secondaires, notamment les voisines Mo et Pearl, respectivement interprétées par la géniale Margo Martindale et Mia Farrow.
RogerEbert.com
Ryan Murphy et Ian Brennan font une série qui donne envie de jeter un oeil, mais ne prennent pas le temps d'en faire quelque chose de mémorable.
The Times
Si vous venez pour de bonnes inteprétations d'acteurs, vous en aurez pour votre argent. Mais où est le reste ? C'est tellement stylisé et sans vie que ça nous passe au-dessus de la tête.
The Wrap
Si vous êtes d'humeur pour une série extravagante, The Watcher va vous divertir pour une heure, plus ou moins, avant que vous zappiez pour la série suivante.
Télérama
Jamais la mise en scène ne permet à la question du regard de se déployer : on se contente de plans à l’épaule sur la maison, avec ici et là une silhouette encapuchonnée censée faire frissonner. Mais à la place des frissons, c’est plutôt le grotesque qui l’emporte au fil des nombreux récits enchâssés, tous assez ridicules.