Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
La star de Dune campe une ingénieure tenace dans l'adaptation de la trilogie souterraine et dystopique du romancier Hugh Howey. Un huis clos étouffant et prenant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Parisien
par Renaud Baronian
À la réussite de cette fabrication d’un univers très original et hautement métaphorique s’ajoute une écriture qui ménage un suspense à la limite du soutenable, une mise en scène au cordeau et, surtout, un casting étincelant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Anaïs Berno
Du côté des effets spéciaux, des décors et des costumes, l’ensemble est assez léché pour nous plonger avec brio dans les sombres abîmes du silo. Une machine écrasante, à l’atmosphère moite et saturée, aussi bien synonyme d’espoir que d’avenir incertain. Une réussite, déconseillée aux claustrophobes…
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Télé 7 Jours
par Christophe Séfrin
Ménageant un suspense palpable, cultivant un épais mystère et dessinant une galerie de personnages charismatiques (dont celui d’enquêtrice rebelle, campé par Rebecca Ferguson), Silo – étonnamment en prise avec nombre de nos préoccupations – est une série qui risque de compter.
Télé Câble Sat
par Cédric Melon
Le scénario sombre et bien écrit, très proche du récit original, est saisissant. Il multiplie les rebondissements et néfoice sans cesse des virages narratifs inattendus. Grâce à des effets spéciaux, des décors et des costumes soignés, la série propose une immersion dans un univers original et métaphorique.
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Même si Silo manque parfois un peu de rythme, c'est un thriller tendu et spectaculaire dont l'univers dystopique voit ses mystérieux secrets s'épaissir au fil des épisodes, et promet de grandes choses pour sa saison 2.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Point
par Olivier Ubertalli
Bien que le schéma narratif puisse parfois paraître trop simpliste, avec d'un côté des gentils et de l'autre des méchants, on plonge sans vergogne dans ce monde dystopique souterrain. Un thriller efficace et d'une qualité de production de très bonne facture.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télé Loisirs
par Juliette Heuzebroc
Une dystopie prenante, notamment portée par Rebecca Ferguson, qui interroge sans détour l'intemporalité des luttes de classes et de la dictature de la désinformation.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Au bout de dix épisodes, c’est à peine si l’on commence à distinguer les enjeux de cette épopée, de toute évidence conçue pour durer plusieurs saisons. En attendant, Rebecca Ferguson s’est emparée de son personnage et les courses effrénées dans les escaliers du silo se sont faites aussi palpitantes que bien des poursuites en automobile.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Olivier Lamm
Un classique du récit post-apo qui se gorge là, grâce à la singularité claustro du silo et le mur climatique qui s’est dressé devant nous, d’une force inespérée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Pierre Langlais
Graham Yost et l’écrivain Hugh Howey lui-même, impliqué dans la série, se reposent essentiellement sur le talent de leurs comédiens, la construction de leur monde et le pouvoir métaphorique de leur décor tout en verticalité, où les classes ouvrières triment tout en bas pendant que les dirigeants vivent proches de la surface. C’est suffisant pour compenser les faiblesses d’un scénario qui glisse un peu trop souvent vers le polar.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro Magazine
La star de Dune campe une ingénieure tenace dans l'adaptation de la trilogie souterraine et dystopique du romancier Hugh Howey. Un huis clos étouffant et prenant.
Le Parisien
À la réussite de cette fabrication d’un univers très original et hautement métaphorique s’ajoute une écriture qui ménage un suspense à la limite du soutenable, une mise en scène au cordeau et, surtout, un casting étincelant.
Ouest France
Du côté des effets spéciaux, des décors et des costumes, l’ensemble est assez léché pour nous plonger avec brio dans les sombres abîmes du silo. Une machine écrasante, à l’atmosphère moite et saturée, aussi bien synonyme d’espoir que d’avenir incertain. Une réussite, déconseillée aux claustrophobes…
Télé 7 Jours
Ménageant un suspense palpable, cultivant un épais mystère et dessinant une galerie de personnages charismatiques (dont celui d’enquêtrice rebelle, campé par Rebecca Ferguson), Silo – étonnamment en prise avec nombre de nos préoccupations – est une série qui risque de compter.
Télé Câble Sat
Le scénario sombre et bien écrit, très proche du récit original, est saisissant. Il multiplie les rebondissements et néfoice sans cesse des virages narratifs inattendus. Grâce à des effets spéciaux, des décors et des costumes soignés, la série propose une immersion dans un univers original et métaphorique.
Ecran Large
Même si Silo manque parfois un peu de rythme, c'est un thriller tendu et spectaculaire dont l'univers dystopique voit ses mystérieux secrets s'épaissir au fil des épisodes, et promet de grandes choses pour sa saison 2.
Le Point
Bien que le schéma narratif puisse parfois paraître trop simpliste, avec d'un côté des gentils et de l'autre des méchants, on plonge sans vergogne dans ce monde dystopique souterrain. Un thriller efficace et d'une qualité de production de très bonne facture.
Télé Loisirs
Une dystopie prenante, notamment portée par Rebecca Ferguson, qui interroge sans détour l'intemporalité des luttes de classes et de la dictature de la désinformation.
Le Monde
Au bout de dix épisodes, c’est à peine si l’on commence à distinguer les enjeux de cette épopée, de toute évidence conçue pour durer plusieurs saisons. En attendant, Rebecca Ferguson s’est emparée de son personnage et les courses effrénées dans les escaliers du silo se sont faites aussi palpitantes que bien des poursuites en automobile.
Libération
Un classique du récit post-apo qui se gorge là, grâce à la singularité claustro du silo et le mur climatique qui s’est dressé devant nous, d’une force inespérée.
Télérama
Graham Yost et l’écrivain Hugh Howey lui-même, impliqué dans la série, se reposent essentiellement sur le talent de leurs comédiens, la construction de leur monde et le pouvoir métaphorique de leur décor tout en verticalité, où les classes ouvrières triment tout en bas pendant que les dirigeants vivent proches de la surface. C’est suffisant pour compenser les faiblesses d’un scénario qui glisse un peu trop souvent vers le polar.