Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
20 Minutes
par Anne Demoulin
Au-delà des corps musclés et glabres, presque anecdotiques, cette reconstitution survitaminée des eighties écorne le rêve américain et questionne les rapports de pouvoir dans notre société.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
Pour le grand public qui ne connaît pas la véritable histoire des Chippendales, cette série ne cesse de surprendre grâce à des rebondissements à peine croyables. Il ne faut pas s’attendre à une fresque sociologique sur la libération du désir des femmes qui ont trouvé un exutoire dans les clubs de strip-tease masculin. Car au final, les séquences de spectacles sont rarement au premier plan. Il s’agit davantage ici de s’attacher aux figures de l’ombre, qui ont tout perdu en cherchant constamment la lumière.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
La série créée par Robert Siegel avance plutôt sur deux jambes parfois indépendantes l’une de l’autre : d’un côté, une success story revancharde sur le capitalisme bientôt empreinte de noirceur ; de l’autre, une réflexion sur ce que le spectacle fait au corps masculin racisé et sur la façon que nous avons de le regarder.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé 7 Jours
par Frédérick Rapilly
Adaptée d’un livre enquête, cette série s'avère passionnante dès le premier épisode, ménageant un vrai suspense. Elle est servie par des comédiens attachants et une réalisation au cordeau.
Télé Loisirs
par Stéphanie Fuzeau
Dans la peau de l'ogre, Kumail Nanjiani, tour à tour charmant et inquiétant, campe avec justesse cet odieux personnage. L'autre plus de ce récit est la mise en scène élégante aux couleurs typiques de cette période, et son scénario efficace et sans fioritures, signé du scénariste de la série "Pam & Tommy".
Le Monde
par Audrey Fournier
Accaparée par la descente aux enfers de Banerjee, "Welcome to Chippendales" a par conséquent tendance à survoler ce qui est pourtant au centre de son sujet : la fétichisation du corps masculin. Sauf peut-être à travers le parcours d'Otis (Quentin Plait), unique danseur noir de la troupe et le seul à exister un peu en tant que personnage.
20 Minutes
Au-delà des corps musclés et glabres, presque anecdotiques, cette reconstitution survitaminée des eighties écorne le rêve américain et questionne les rapports de pouvoir dans notre société.
Le Parisien
Pour le grand public qui ne connaît pas la véritable histoire des Chippendales, cette série ne cesse de surprendre grâce à des rebondissements à peine croyables. Il ne faut pas s’attendre à une fresque sociologique sur la libération du désir des femmes qui ont trouvé un exutoire dans les clubs de strip-tease masculin. Car au final, les séquences de spectacles sont rarement au premier plan. Il s’agit davantage ici de s’attacher aux figures de l’ombre, qui ont tout perdu en cherchant constamment la lumière.
Les Inrockuptibles
La série créée par Robert Siegel avance plutôt sur deux jambes parfois indépendantes l’une de l’autre : d’un côté, une success story revancharde sur le capitalisme bientôt empreinte de noirceur ; de l’autre, une réflexion sur ce que le spectacle fait au corps masculin racisé et sur la façon que nous avons de le regarder.
Télé 7 Jours
Adaptée d’un livre enquête, cette série s'avère passionnante dès le premier épisode, ménageant un vrai suspense. Elle est servie par des comédiens attachants et une réalisation au cordeau.
Télé Loisirs
Dans la peau de l'ogre, Kumail Nanjiani, tour à tour charmant et inquiétant, campe avec justesse cet odieux personnage. L'autre plus de ce récit est la mise en scène élégante aux couleurs typiques de cette période, et son scénario efficace et sans fioritures, signé du scénariste de la série "Pam & Tommy".
Le Monde
Accaparée par la descente aux enfers de Banerjee, "Welcome to Chippendales" a par conséquent tendance à survoler ce qui est pourtant au centre de son sujet : la fétichisation du corps masculin. Sauf peut-être à travers le parcours d'Otis (Quentin Plait), unique danseur noir de la troupe et le seul à exister un peu en tant que personnage.