Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
Baptisé ainsi en partie en hommage à la chanson de Gainsbourg, Les Papillons noirs est un thriller redoutable, mais c'est aussi un mélo assumé avec sa mine de secrets de famille, de connexions cachées jusqu'au policier (Sami Bouajila), amateur de « cold case » qui traque Albert. On est embarqué dans ce jeu de (fausses) pistes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Parisien
par Sandrine Bajos
Une fois Mody et Albert rentrés dans notre vie, impossible de lâcher cette mini-série magistrale de six épisodes. Entre passé et présent, elle conte l’intrigante relation entre l’écrivain paumé et son confesseur, personnage brillant et solitaire, mais aussi l’odyssée passionnelle et sanglante à travers la France des années 1970 de Solange et Albert.
Télé 7 Jours
par AS
Âmes sensibles et en quête de simplicité s'abstenir. La nouvelle série d'Arte, exigeante et sombre, demande l'investissement entier du spectateur. En échange, l'histoire sinueuse portée par des comédiens sensationnels, ne vous fera pas regretter d'avoir plongé.
Télé Câble Sat
par La Rédaction
Ce polar sombre conjugue érotisme époustouflant et suspense avec un sens de l'esthétisme étonnant.
Télé Loisirs
par La Rédaction
“Les promesses ont-elles une date de péremption ?” Une série de belle facture, servie par un casting de haute voltige. Sous l’allure d’un vieil homme débonnaire et nostalgique, Niel Arestrup s’avère rapidement déstabilisant. Ce premier épisode pose une ambiance forte, sombre et mélancolique, un brin angoissante.
Le Monde
par Audrey Fournier
Passé la surprise esthétique, ces virées colorées dans le passé ne sont pas déplaisantes à regarder et le jeu de miroirs auquel se livrent Niels Arestrup et Axel Granberger (qui interprète Albert jeune, rôle qui lui a valu un prix d’interprétation au festival Séries Mania de Lille, en mars) est particulièrement réussi. La partition d’Alyzée Costes, dans la peau de Solange, est en revanche plus ingrate : le twist final du scénario ne suffit pas tout à fait à dissiper la gêne suscitée par l’omniprésence de son corps nu et sculptural à l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Téléstar
par La Rédaction
Une série passionnelle et sanglante.
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
C’est toute la limite des Papillons noirs, qui reste durant la plupart de ses épisodes une histoire de mecs entre eux, incapable de donner du corps à celle qui pourrait (et devrait) incarner son héroïne à égalité avec Nicolas Duvauchelle.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Figaro Magazine
Baptisé ainsi en partie en hommage à la chanson de Gainsbourg, Les Papillons noirs est un thriller redoutable, mais c'est aussi un mélo assumé avec sa mine de secrets de famille, de connexions cachées jusqu'au policier (Sami Bouajila), amateur de « cold case » qui traque Albert. On est embarqué dans ce jeu de (fausses) pistes.
Le Parisien
Une fois Mody et Albert rentrés dans notre vie, impossible de lâcher cette mini-série magistrale de six épisodes. Entre passé et présent, elle conte l’intrigante relation entre l’écrivain paumé et son confesseur, personnage brillant et solitaire, mais aussi l’odyssée passionnelle et sanglante à travers la France des années 1970 de Solange et Albert.
Télé 7 Jours
Âmes sensibles et en quête de simplicité s'abstenir. La nouvelle série d'Arte, exigeante et sombre, demande l'investissement entier du spectateur. En échange, l'histoire sinueuse portée par des comédiens sensationnels, ne vous fera pas regretter d'avoir plongé.
Télé Câble Sat
Ce polar sombre conjugue érotisme époustouflant et suspense avec un sens de l'esthétisme étonnant.
Télé Loisirs
“Les promesses ont-elles une date de péremption ?” Une série de belle facture, servie par un casting de haute voltige. Sous l’allure d’un vieil homme débonnaire et nostalgique, Niel Arestrup s’avère rapidement déstabilisant. Ce premier épisode pose une ambiance forte, sombre et mélancolique, un brin angoissante.
Le Monde
Passé la surprise esthétique, ces virées colorées dans le passé ne sont pas déplaisantes à regarder et le jeu de miroirs auquel se livrent Niels Arestrup et Axel Granberger (qui interprète Albert jeune, rôle qui lui a valu un prix d’interprétation au festival Séries Mania de Lille, en mars) est particulièrement réussi. La partition d’Alyzée Costes, dans la peau de Solange, est en revanche plus ingrate : le twist final du scénario ne suffit pas tout à fait à dissiper la gêne suscitée par l’omniprésence de son corps nu et sculptural à l’écran.
Téléstar
Une série passionnelle et sanglante.
Les Inrockuptibles
C’est toute la limite des Papillons noirs, qui reste durant la plupart de ses épisodes une histoire de mecs entre eux, incapable de donner du corps à celle qui pourrait (et devrait) incarner son héroïne à égalité avec Nicolas Duvauchelle.