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Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
2,1
7 titres de presse
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Le Parisien
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Télé Loisirs
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Télé 7 Jours
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Télérama
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Téléstar
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Télé Câble Sat
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Télé Z
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Le Parisien
"L’Amour (presque) parfait" s’affiche romantique, certes, mais aussi bigrement hilarant et portée par un trio de drôles de dames pétillant à souhait. Une comédie sucrée juste ce qu’il faut, ponctuée de gags qui marchent à tous les coups (ah, cette porte vitrée qu’on se paie pleine face !), devant laquelle on se laisse gentiment couler en dévorant un pot de glace au chocolat ou en grignotant des chips comme un petit écureuil si on veut ressembler à la protagoniste.
Télé Loisirs
La recherche de l’amour ! Tel est le sujet de cette réjouissante comédie sentimentale réalisée par Pascale Pouzadoux en six épisodes. L’humour, la dérision et l’amitié sont au cœur de cette série acidulée, cocasse et pleine de tendresse dans laquelle tous les comédiens font preuve d’une belle énergie.
Télé 7 Jours
Une comédie de moeurs très actuelle, tendre, frivole, drôle, parfois délicieusement vulgaire avec ce côté girly qui n'est pas sans rappeler la série "Sex & The City".
Télérama
Avec ses héroïnes dont toutes les conversations tournent autour de la façon de décrocher le mec idéal (c’est-à-dire beau et riche), L’Amour (presque) parfait coche toutes les cases de la comédie romantique gentiment nunuche. Cela dit, ces deux premiers épisodes ont pour eux plusieurs atouts : un vrai sens du rythme, quelques bons gags, et surtout une galerie de personnages attachants, interprétés par des acteurs à l’énergie réjouissante. Loin d’être inoubliable, mais plaisant.
Téléstar
Une mini-série qui regorge d'humour et de tendresse.
Télé Câble Sat
Faussement morderne, cette série est conventionnelle, prévisible et niaise. Elle enchaîne clichés et gags gênants sans second degrés.
Télé Z
N’est pas Bridget Jones qui veut. Ces deux premiers épisodes enchaînent les clichés sur les femmes et n’y apportent aucune nuance. Le jeu théâtral des comédiens (pourtant bons) et les situations prévisibles enterrent le tout.