Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Télé Loisirs
par Stephanie Fuzeau
Les entretiens entre Danny Sullivan et Rya Goodwin sont réellement captivants – incarné avec brio par Tom Holland, réellement habité par ce rôle. Une fiction puissante et bouleversante, dans laquelle on reste immergé longtemps après l'avoir vue.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
Fils d'une psychologue, Akiva Goldsman explore les recoins enfouis et les mécanismes de défense de l'inconscient. L'art de l'ellipse, les coïncidences providentielles proches du réalisme magique ne sont pas des excentricités de mise en scène... Comme les journalistes, les comédiens ont été priés de rester vagues sur le cœur névralgique de la saga. Elle s'inspire en effet d'un célèbre cas de psychiatrie qu'ils leur étaient interdit de dévoiler. Un mystère moins impénétrable qu'imaginé. Cela n'entame cependant ni l'intelligence puzzle ni l'intensité de la performance funambulesque de Tom Holland.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Parisien
par Renaud Baronian
Là où le film durcissait le fait divers, avec des doubles psychotiques et meurtriers, la série l’adoucit, ne faisant pas état du fait que, parmi les « alter ego » créés par l’esprit de Billy, résidaient aussi un colosse yougoslave communiste cambrioleur ou un violeur en série.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Laura Berny
Au-delà du casting magistral, l'ambiance bien restituée des années 1970, un scénario mêlant habilement scènes d'interrogatoires et flash-back, ainsi qu'une réalisation chic qui ne manque pas d'inventivité rendent "The Crowded Room" complètement addictive.
Télé 7 Jours
par Christophe Séfrin
Adapté de la biographie "Les Mille et Une Vies" de Billy Milligan, de l’auteur américain Daniel Keyes, ce destin tragique prend ici la forme d’une histoire fascinante qui, à force de flash-back, explore le passé criminel d’un antihéros et dessine le portrait sombre, millimétré, mais sans pathos, d’un homme engoncé dans le carcan de ses multiples personnalités. Une claque, pour l’une des meilleures séries du moment !
Ecran Large
par Axelle Vacher
Malgré son potentiel, The Crowded Room s'est laissée noyer par l'ampleur de son propre sujet et propose une salve d'épisodes quelconque, occasionnellement entrecoupée d'une poignée de jolies séquences. La performance de Tom Holland – épatant dans ce rôle torturé – vaut toutefois à elle seule le détour.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Télérama
par Caroline Veunac
En l’absence d’un propos original, cette production gracieuse et cossue, qui s’offre même "Let It Be" en fil rouge musical, donne l’impression d’un joli livre d’images un peu vain. À défaut d’être captivés par les événements, on se raccroche aux acteurs, de bonne tenue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Audrey Fournier
L’idée qui sous-tend The Crowded Room est riche de possibilités (M. Night Shyamalan en a fait un excellent film), mais la série ne parvient jamais vraiment à trouver sa forme. Il en résulte un spectacle pas désagréable à regarder mais sans colonne vertébrale, traversé par un Tom Holland monolithique, qui ne semble pas savoir quoi jouer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Numerama
par Salammbô Marie
À la fois le meilleur rôle de Tom Holland, mais aussi l’un des pires écrins pour le mettre en valeur, The Crowded Room aurait pu être une fantastique série sur la santé mentale, si elle ne cherchait pas autant à faire compliqué à tout prix.
La critique complète est disponible sur le site Numerama
Le Point
par Benjamin Fau
Finalement, vous garderez de The Crowded Room un arrière-goût très amer : celui d'une série qui a sacrifié la complexité et l'ambiguïté du réel sur l'autel du happy end et de l'artifice scénaristique grossier.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Jonathan Blanchet
En se reposant sur cette machine à suspense prévisible plutôt qu'en osant un véritable voyage mental, la démonstration offerte par The Crowded Room paraît vaine, sauf pour vérifier la cohérence du scénario à chaque instant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
par Théo Ribeton
Les gimmicks grimaçants de la folie (demi-sourire, front luisant de sueur), les tropes de la misère (cheveux gras, vêtements beiges) à l’esbroufe des twists façon David Fincher première manière. (...) On ne peut que regretter le mauvais calcul que fait l’acteur par cette tentative de contrepied à son incarnation de "Spider-Man" et ses blockbusters solaires.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé Loisirs
Les entretiens entre Danny Sullivan et Rya Goodwin sont réellement captivants – incarné avec brio par Tom Holland, réellement habité par ce rôle. Une fiction puissante et bouleversante, dans laquelle on reste immergé longtemps après l'avoir vue.
Le Figaro Magazine
Fils d'une psychologue, Akiva Goldsman explore les recoins enfouis et les mécanismes de défense de l'inconscient. L'art de l'ellipse, les coïncidences providentielles proches du réalisme magique ne sont pas des excentricités de mise en scène... Comme les journalistes, les comédiens ont été priés de rester vagues sur le cœur névralgique de la saga. Elle s'inspire en effet d'un célèbre cas de psychiatrie qu'ils leur étaient interdit de dévoiler. Un mystère moins impénétrable qu'imaginé. Cela n'entame cependant ni l'intelligence puzzle ni l'intensité de la performance funambulesque de Tom Holland.
Le Parisien
Là où le film durcissait le fait divers, avec des doubles psychotiques et meurtriers, la série l’adoucit, ne faisant pas état du fait que, parmi les « alter ego » créés par l’esprit de Billy, résidaient aussi un colosse yougoslave communiste cambrioleur ou un violeur en série.
Les Echos
Au-delà du casting magistral, l'ambiance bien restituée des années 1970, un scénario mêlant habilement scènes d'interrogatoires et flash-back, ainsi qu'une réalisation chic qui ne manque pas d'inventivité rendent "The Crowded Room" complètement addictive.
Télé 7 Jours
Adapté de la biographie "Les Mille et Une Vies" de Billy Milligan, de l’auteur américain Daniel Keyes, ce destin tragique prend ici la forme d’une histoire fascinante qui, à force de flash-back, explore le passé criminel d’un antihéros et dessine le portrait sombre, millimétré, mais sans pathos, d’un homme engoncé dans le carcan de ses multiples personnalités. Une claque, pour l’une des meilleures séries du moment !
Ecran Large
Malgré son potentiel, The Crowded Room s'est laissée noyer par l'ampleur de son propre sujet et propose une salve d'épisodes quelconque, occasionnellement entrecoupée d'une poignée de jolies séquences. La performance de Tom Holland – épatant dans ce rôle torturé – vaut toutefois à elle seule le détour.
Télérama
En l’absence d’un propos original, cette production gracieuse et cossue, qui s’offre même "Let It Be" en fil rouge musical, donne l’impression d’un joli livre d’images un peu vain. À défaut d’être captivés par les événements, on se raccroche aux acteurs, de bonne tenue.
Le Monde
L’idée qui sous-tend The Crowded Room est riche de possibilités (M. Night Shyamalan en a fait un excellent film), mais la série ne parvient jamais vraiment à trouver sa forme. Il en résulte un spectacle pas désagréable à regarder mais sans colonne vertébrale, traversé par un Tom Holland monolithique, qui ne semble pas savoir quoi jouer.
Numerama
À la fois le meilleur rôle de Tom Holland, mais aussi l’un des pires écrins pour le mettre en valeur, The Crowded Room aurait pu être une fantastique série sur la santé mentale, si elle ne cherchait pas autant à faire compliqué à tout prix.
Le Point
Finalement, vous garderez de The Crowded Room un arrière-goût très amer : celui d'une série qui a sacrifié la complexité et l'ambiguïté du réel sur l'autel du happy end et de l'artifice scénaristique grossier.
Première
En se reposant sur cette machine à suspense prévisible plutôt qu'en osant un véritable voyage mental, la démonstration offerte par The Crowded Room paraît vaine, sauf pour vérifier la cohérence du scénario à chaque instant.
Libération
Les gimmicks grimaçants de la folie (demi-sourire, front luisant de sueur), les tropes de la misère (cheveux gras, vêtements beiges) à l’esbroufe des twists façon David Fincher première manière. (...) On ne peut que regretter le mauvais calcul que fait l’acteur par cette tentative de contrepied à son incarnation de "Spider-Man" et ses blockbusters solaires.