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darkvash
111 abonnés
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3,0
Publiée le 9 août 2024
La première saison met en place les personnages sans trop rentrer dans les détails. On suit cette "famille" dysfonctionnelle essayer de faire marcher un restaurant. Les personnages sont haut en couleur, peut être un peu trop. Le personnage principal n'aspire pas à la sympathie et les dialogues à base de personnes qui gueulent pour tout et rien est assez fatigant pour celui qui veut binger la saison entière. A voir dans la prochaine saison si cela change, pour l'instant pas convaincu mais curieux.
Chicago, les buildings des quartiers qui ne sont pas de beaux quartiers. Le cadre de la série "The Bear" est loin des coins sympa du centre ville, et pourtant on retrouve un chef prodige dans une cuisine d'une restauration ou tout y est chaotique, compliqué, sous tension. La réalisation avec les nombreux plans serrés retransmettent bien cette pression, tellement qu'à la fin d'un épisode de 20 minutes, on a l'impression d'être sorti d'une grosse journée de taf. Bref à voir pour comprendre le délire
Saluée par la critique, la première saison de la série "The Bear : sur place ou à emporter" n’est pas passée inaperçue outre-Atlantique. Disponible sur Disney+ en France, cette série aux allures d’une production indépendante des années 90 dégage un style plutôt particulier qui se différencie des autres séries du moment. Sous ses airs de "Cauchemar en cuisine", cette comédie dramatique qui nous plonge au cœur d’une cuisine dysfonctionnelle, nous livre huit épisodes intenses qu’on prend plaisir à binge-watcher. Bien que les dialogues nerveux et bordéliques soient parfois insupportables, les acteurs fournissent d’excellentes performances pour nous proposer des personnages attachants et profonds. Globalement, malgré son ambiance chaotique, cette saison 1 s’est montrée suffisamment intéressante pour qu’on veille la peine d’attendre la suite. - 14/20 Critique sur The Bear : sur place ou à emporter (saison 1) Vue le 05.07.2023 sur Disney+
'The Bear', série télévisée américaine réalisée par Christopher Storer diffusée en 2022, Avec Jeremy Allen White. Série bien reçue par la critique. Une bonne idée de scénario sur la vie au sein d'un restaurant familiale et l'univers de la cuisine. Une série cependant assez mal filmée, avec des plans trop serrés et une caméra qui ne sait pas où se placer. Une suite de scènes décousue, des personnages qui s'invectivent, des dialogues sans trop d'intérêt. Un traitement qui manque de soin, beaucoup de bruits et de gesticulations inutiles.
Passé un premier épisode pas forcément agréable car trop speed avec tout ce monde qui crie, on assiste, par la suite, à une très bonne série ! Celle-là même parle principalement d’un chef cuisinier de talent émigré à New York ayant repris le restaurant de son frère à Chicago après le décès de ce dernier. C’est exaltant, très bien construit et nanti d’acteurs formidables, chacun d’entre eux ayant leurs propres vices et démons, qu’ils arrivent plus ou moins à camoufler une fois leur tablier enfilé. J’ai hâte de voir ce que va donner la saison deux maintenant que tout est installé…
La série part sur les chapeaux de roue, dépeignant clairement les enjeux et personnalités des personnages en peu de temps puis la machine s'enraye! Hormis l'épisode en plan-séquence extrêmement bien rythmé et chorégraphié, les autres tournent en rond, étirant une intrigue que The Chef avait tenue en un seul film! Malgré un casting impeccable on peine à s'attacher à des personnages peu amènes ou intéressants. Et ce twist final peu compréhensible...Bref tout ça pour ça!
Très (voire trop?) intense dans un premier épisode épileptique, "The Bear" saura alterner l'effervescence totale d'un rush en cuisine avec des plages plus calmes permettant d'approfondir les personnages. L'action se déroulant dans un quartier populaire de Chicago, la série prend rapidement une tonalité underground grâce notamment à la faune locale, aux scènes dans l'arrière-cour du restaurant, entre deux conteneurs, les thèmes abordés (la drogue, les armes, les gangs, les trafics...), un réalisme cru revendiqué et un mitraillage de "fuck" assez impressionnant! L'ensemble n'échappera malheureusement pas à certaines facilités (notamment le final!) mais fait preuve d'une authenticité rare et impressionne par son intensité qui risque bien d'en épuiser certains! Une belle découverte!
Très agréable de suivre The Bear avec ses épisodes courts (25 min) mais souvent intenses. La caractérisation des différents personnages (jusqu'aux membres de la brigade) est selon moi le gros point fort. J'ai tout de même quelques réserves en finissant la saison car beaucoup de trames sont laissées en plan. J'attends beaucoup de la suite pour confirmer que The Bear est une vraie bonne série.
En manque de migraine ? Cette série est fait pour vous. Ca hurle, ça cour et gesticule dans tous les sens, un bruit de fond permanant. J'ai stoppé net à la moitié du deuxième épisode de la saison 1 à cause d'un put*** de mal de crane.
J'ai rarement été aussi déçu d'une série... De par l'attente que j'en avais suite aux critiques dithyrambiques lues et entendues partout autour de moi. Comme quoi, les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas ! Gros problème d'écriture des personnages à mon sens auxquels il a été impossible de m'attacher. Les relations entre les différents protagonistes sont totalement nébuleuses et leurs réactions et motivations souvent incompréhensibles, avec en tête de liste le rapport entre le personnage principal Carmy et son cousin/gérant. Ils passent leur temps à se hurler à la tronche et la minute d'après, ils se font des chatouilles. Même problème dans l'ensemble qui oscille entre une recherche de réalisme et d'autres situations totalement décalées et invraisemblables spoiler: (les calmants dans la limonade des enfants dont personne ne s'inquiète... N'importe quoi) . Je me suis véritablement forcé durant 4 épisodes, en me disant que j'allais finir par rentrer dedans, avant d'abandonner...
Lip fait des sandwichs, et j'adore. Je suis venue pour lui et je ne suis pas déçue, même si pour l'évolution personnelle professionnelle créative de Jeremy Allen White, j'aimerais un jour le retrouver en dehors du cadre d'un gamin prodige de Chicago. Cette série est magnifiquement bien construite, les personnages nuancés et l'atmosphère chaotique mais irresistible. Spéciale mention pour la justesse du jeu d'Ayo Edebiri.
Cette série est ce que j'ai vu de plus audacieux depuis longtemps. Le style quasi documentaire de la réalisation, les dialogues et la mise-en-scène sont d'une grande maîtrise. Tous les acteurs sont excellents. Et ça ne parle pas de cuisine. Je dis ça parce que j'ai cru au début que c'était un food porn façon Chef de Jon Favreau qui est un film que j'aime beaucoup aussi.
Non, c'est un film sur le deuil.
Bref, c'est très fort à tous les niveaux. L'épisode 7 est un plan séquence à l'ancienne sans trucage numérique, sans fondu au noir, de 20 minutes intense où tous les acteurs entrent et sortent du champ se renvoyant la balle des dialogues à 100 à l'heure avec une tension de ouf.
J'étais sur le cul.
Non vraiment, au début, les deux premiers épisodes, on ne sait pas où on est, on ne comprend pas grand chose, parce qu'on ne nous prend pas par la main. En tant que spectateur nous prenons un train en route. Dans la série, les personnages vivent déjà leur vie et on débarque au milieu. Mais ensuite tout prend progressivement forme, les nuances se font, les personnages deviennent plus complexes, exactement comme dans la vie quand on rencontre des gens et qu'on se fait une première idée en fonction de nos préjugés. Mais si on s'attarde un peu, on découvre que ces gens sont bien plus intéressant que de prime abord.
The Bear est une série qui ne prend pas du tout son temps. Chaque épisode est une pierre essentielle à l'édifice global. Il n'y a pas de gras, nulle part. C'est dense, tendu, rapide, au bord de la crise de nerf permanente et c'est éprouvant pour les personnages comme pour les spectateurs.
J'ai eu du mal a rentrer dedans (oui ça crie beaucoup au début) et puis au final j'y ai pris goût. Fan de Shameless, j'ai eu l'impression de retrouver Lip à la suite de la série. Je m'attendais à mieux au vu des éloges mais ça se regarde facilement.
Une série dans une cuisine, c’est innovant et ce n’est pas ennuyant. Au contraire, c’est dynamique intense et intéressant à suivre. La force de la série, ses personnages. J’ai un peu l’impression de revoir Lip de Shameless.