Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
20 Minutes
par Xavier Héraud et Anne Demoulin
On rit beaucoup devant Miskina, la pauvre, mais la série fait aussi la part belle à l’émotion, grâce notamment à des séquences oniriques très réussies.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Obs
par A.S.
Enfin, on retient également que jamais une série n’avait plongé si profond dans la psyché maghrébine, prouvant au passage que les familles, arabe, gauloise ou extraterrestre, sont toutes les mêmes : psychotiques et en quête d’amour.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Grégory Plouviez
Tendre fresque intergénérationnelle, comédie romantique décalée, fine réflexion sur l’identité, la religion ou l’héritage familial, « Miskina » est tout ça à la fois, portée par un casting aux petits oignons.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par Katia DE LA BALLINA
On s’attendait à une sitcom potache, pimentée de punchlines au kilomètre. Et en effet, rares sont les répliques qui ne font pas mouche. Mais on a aussi été surpris par l’émotion qui se dégage du parcours de cette trentenaire célibataire un brin désespérée.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Dans ses moments les plus fins, la série assume son équilibre précaire entre comédie et drame et se permet d’approfondir un peu – mais jamais assez – les gouffres apparemment béants qui habitent cette fille attachante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Pierre Langlais
Elle s’amuse du regard de la société sur l’Islam, dépeint avec tendresse les relations intergénérationnelles et finit même par opérer un retour aux racines mi-émouvant, mi-foireux. Un voyage à l’image de la série, un peu bordélique, pas toujours hilarant mais indéniablement original et attachant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Audrey Fournier
Ça fait beaucoup de clichés, surtout pour huit épisodes de trente minutes tout juste. D’ailleurs, tout a l’air d’avoir été calé au chausse-pied pour arriver à la séquence finale. Celle-ci est d’une facilité déconcertante, mais elle a le mérite d’entretenir un vague suspense sur la saison 2. Dommage, quand on voit autant de joli monde au scénario.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ecran Large
par Simon Riaux
Derrière la fadeur de sa mise en scène et les approximations, tant de son écriture que de la direction de ses interprètes, Miskina cache des ambitions étonnantes, qui ne sont pas sans évoquer le ton d'un certain Woody Allen.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
20 Minutes
On rit beaucoup devant Miskina, la pauvre, mais la série fait aussi la part belle à l’émotion, grâce notamment à des séquences oniriques très réussies.
L'Obs
Enfin, on retient également que jamais une série n’avait plongé si profond dans la psyché maghrébine, prouvant au passage que les familles, arabe, gauloise ou extraterrestre, sont toutes les mêmes : psychotiques et en quête d’amour.
Le Parisien
Tendre fresque intergénérationnelle, comédie romantique décalée, fine réflexion sur l’identité, la religion ou l’héritage familial, « Miskina » est tout ça à la fois, portée par un casting aux petits oignons.
Télé Loisirs
On s’attendait à une sitcom potache, pimentée de punchlines au kilomètre. Et en effet, rares sont les répliques qui ne font pas mouche. Mais on a aussi été surpris par l’émotion qui se dégage du parcours de cette trentenaire célibataire un brin désespérée.
Les Inrockuptibles
Dans ses moments les plus fins, la série assume son équilibre précaire entre comédie et drame et se permet d’approfondir un peu – mais jamais assez – les gouffres apparemment béants qui habitent cette fille attachante.
Télérama
Elle s’amuse du regard de la société sur l’Islam, dépeint avec tendresse les relations intergénérationnelles et finit même par opérer un retour aux racines mi-émouvant, mi-foireux. Un voyage à l’image de la série, un peu bordélique, pas toujours hilarant mais indéniablement original et attachant.
Le Monde
Ça fait beaucoup de clichés, surtout pour huit épisodes de trente minutes tout juste. D’ailleurs, tout a l’air d’avoir été calé au chausse-pied pour arriver à la séquence finale. Celle-ci est d’une facilité déconcertante, mais elle a le mérite d’entretenir un vague suspense sur la saison 2. Dommage, quand on voit autant de joli monde au scénario.
Ecran Large
Derrière la fadeur de sa mise en scène et les approximations, tant de son écriture que de la direction de ses interprètes, Miskina cache des ambitions étonnantes, qui ne sont pas sans évoquer le ton d'un certain Woody Allen.