Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Télé 7 Jours
par Hacène Chouchaoui
Un thriller psychologique dont la mise enscène est parfaitement maîtrisée. Il s’en dégage une atmosphère oppressante et dérangeante qui va crescendo, le tout, servi par des acteurs au sommet de leur art !
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Le Figaro
par Julia Baudin
Six épisodes d’une qualité encore trop rare dans la fiction française, n’étaient quelques longueurs, l’ensemble est bien écrit et bien structuré. Un casting d’exception dont les deux protagonistes, mais aussi Constance Dollé, trop rare à l’écran depuis Un village français, Anne Loiret (Les Hommes de l’ombre) et Julien Crampon (Demain nous appartient).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télé Câble Sat
par Thomas Destouches
L'autre réussite de Manipulations est d'avoir adopté une dynamique de thriller, rendant son récit de plus en plus haletant jusqu'à un final très osé, flirtant avec le grand guignol sans y tomber. Aussi libératrice et jouissive que profondément immorale, cette conclusion est à l'image de la série : une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Télé Câble Sat
Télé Loisirs
par La rédaction
Cette série traite d'un sujet rarement abordé à la télévision. Elle montre de manière glaçante les mécanismes utilisés par le pervers narcissique pour resserrer son étau sur sa victime d'abord, puis son entourage. Les acteurs, Marine Delterme et Marc Ruchmann en tête, sont convaincants.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Télé Z
par E.P-S.
Long et improbable récit d’une emprise qui n’a de manipulations que le nom. L’interprétation est hésitante.
La critique complète est disponible sur le site Télé Z
Télérama
par La rédaction
Entre thriller amoureux post-hitchcockien et drame pédago post-#MeToo, la série ne tranche pas, et l’on s’ennuie devant un récit stéréotypé, couronné d’une morale explicative. Délayant en six épisodes une intrigue qui aurait pu tenir en 90 mn, le scénario multiplie les points de vue (...), les artifices superfétatoires (la structure en flash-back), et joue sur une ironie dramatique (...) qui tue le suspense.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
par Emeline Collet
Las, le portrait de la victime sous emprise est tellement caricatural qu’il en est pénible. Ce n’est pas un crime de prendre quelques libertés sur la réalité, c’est même le propre de la fiction. Pourtant, on en a marre de voir les femmes faire figure de cruches dès qu’un homme leur murmure des mots doux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 7 Jours
Un thriller psychologique dont la mise enscène est parfaitement maîtrisée. Il s’en dégage une atmosphère oppressante et dérangeante qui va crescendo, le tout, servi par des acteurs au sommet de leur art !
Le Figaro
Six épisodes d’une qualité encore trop rare dans la fiction française, n’étaient quelques longueurs, l’ensemble est bien écrit et bien structuré. Un casting d’exception dont les deux protagonistes, mais aussi Constance Dollé, trop rare à l’écran depuis Un village français, Anne Loiret (Les Hommes de l’ombre) et Julien Crampon (Demain nous appartient).
Télé Câble Sat
L'autre réussite de Manipulations est d'avoir adopté une dynamique de thriller, rendant son récit de plus en plus haletant jusqu'à un final très osé, flirtant avec le grand guignol sans y tomber. Aussi libératrice et jouissive que profondément immorale, cette conclusion est à l'image de la série : une réussite.
Télé Loisirs
Cette série traite d'un sujet rarement abordé à la télévision. Elle montre de manière glaçante les mécanismes utilisés par le pervers narcissique pour resserrer son étau sur sa victime d'abord, puis son entourage. Les acteurs, Marine Delterme et Marc Ruchmann en tête, sont convaincants.
Télé Z
Long et improbable récit d’une emprise qui n’a de manipulations que le nom. L’interprétation est hésitante.
Télérama
Entre thriller amoureux post-hitchcockien et drame pédago post-#MeToo, la série ne tranche pas, et l’on s’ennuie devant un récit stéréotypé, couronné d’une morale explicative. Délayant en six épisodes une intrigue qui aurait pu tenir en 90 mn, le scénario multiplie les points de vue (...), les artifices superfétatoires (la structure en flash-back), et joue sur une ironie dramatique (...) qui tue le suspense.
Le Parisien
Las, le portrait de la victime sous emprise est tellement caricatural qu’il en est pénible. Ce n’est pas un crime de prendre quelques libertés sur la réalité, c’est même le propre de la fiction. Pourtant, on en a marre de voir les femmes faire figure de cruches dès qu’un homme leur murmure des mots doux.