Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Numerama
par Salammbô Marie
Menés par une voix-off féminine cynique et géniale, les 8 épisodes nous font ainsi passer du rire aux larmes en un instant. La chronologie du récit est pourtant totalement désarticulée, nous donnant l’impression familière qu’une amie nous raconte l’histoire, au détour d’un café.
La critique complète est disponible sur le site Numerama
Télé Loisirs
par Elodie Poinsot
"Anatomie d'un divorce" fait l'autopsie d'une quarantaine en pleine recherche de soi et d'amour de l'autre en dépit d'une jeunesse à jamais perdue. Mais la série passe également le mariage au peigne fin ; de l'amour plein de rêves à la rancune qui nous sépare, chaque histoire est toujours faite de deux versions. Une mini-série quelque peu dépressive mais jamais déprimante, qui chamboule aussi les téléspectateurs d'un autre âge par sa justesse et sa profondeur.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Franceinfo Culture
par Laurent Valière
C’est du Woody Allen, très introspectif, avec des acteurs de choix qu’on a justement vu grandir à l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
La série s’impose comme un récit sans concession sur les relations humaines à travers le prisme du temps qui passe. Car derrière l’expression galvaudée "crise de la quarantaine" se cache une réalité multidimensionnelle qui s’exprime différemment chez chacune des figures à l’écran et qui résonnera avec autant de diversité chez les spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Charles Martin
La série prend tout son sens en injectant une dose de sensibilité féminine, prenant les tropes du genre à contre-pied. Comme une manière de dépoussiérer Woody Allen et de confronter sa vision du monde à notre époque, la série bascule dans un prisme féminin désarmant, qui offre une approche totalement nouvelle à cette fameuse crise existentielle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ecran Large
par Mathis Bailleul
Dans son souci de donner constamment des réponses, le récit va alors répondre à la question qui brûle sur toutes les lèvres. Un pari risqué tant retarder cette explication était le moteur de la série. La contrepartie, c'est qu'on est forcé d'embrasser un nouveau point de vue, puis un troisième, qui viennent chacun livrer une tout autre vérité dans des épisodes dédiés. Fatalement, l'homogénéité de la structure et les temps de présences à l'écran s'en retrouvent bouleversés.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le titre original du livre, "Fleishman Is in Trouble" met mieux en valeur les sautes d’humeur du sinueux retour à la vie d’un protagoniste désarçonné par son divorce que le très clinique "Anatomie d’un divorce" que propose Disney+ au public français. La réussite de la série tient à cette vitalité, aux vibrations de relations (amoureuses, amicales, érotiques, familiales) rendues soudain imprévisibles par un acte juridique, comme il s’en prononce des milliers chaque jour.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé 7 Jours
par Christophe Séfrin
Une série qui déconstruit avec tact et humour la vie de couple.
Télérama
par Émilie Gavoille
Malgré quelques longueurs dans sa première moitié, Anatomie d’un divorce séduit assurément par son habileté à ménager ses effets, et à nous cueillir, à la fin, là où on l’attendait le moins.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Théo Ribeton
Le coup de Brodesser-Akner consistant à passer graduellement (et de manière attendue) à un point de vue féminin à l’approche de la fin a pour effet de densifier le récit mais s’accompagne d’une tendance regrettable à lâcher la satire, et rationaliser le chaos émotionnel dans des termes à la sonorité évoquant plus le manuel de développement personnel.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Numerama
Menés par une voix-off féminine cynique et géniale, les 8 épisodes nous font ainsi passer du rire aux larmes en un instant. La chronologie du récit est pourtant totalement désarticulée, nous donnant l’impression familière qu’une amie nous raconte l’histoire, au détour d’un café.
Télé Loisirs
"Anatomie d'un divorce" fait l'autopsie d'une quarantaine en pleine recherche de soi et d'amour de l'autre en dépit d'une jeunesse à jamais perdue. Mais la série passe également le mariage au peigne fin ; de l'amour plein de rêves à la rancune qui nous sépare, chaque histoire est toujours faite de deux versions. Une mini-série quelque peu dépressive mais jamais déprimante, qui chamboule aussi les téléspectateurs d'un autre âge par sa justesse et sa profondeur.
Franceinfo Culture
C’est du Woody Allen, très introspectif, avec des acteurs de choix qu’on a justement vu grandir à l’écran.
Le Parisien
La série s’impose comme un récit sans concession sur les relations humaines à travers le prisme du temps qui passe. Car derrière l’expression galvaudée "crise de la quarantaine" se cache une réalité multidimensionnelle qui s’exprime différemment chez chacune des figures à l’écran et qui résonnera avec autant de diversité chez les spectateurs.
Première
La série prend tout son sens en injectant une dose de sensibilité féminine, prenant les tropes du genre à contre-pied. Comme une manière de dépoussiérer Woody Allen et de confronter sa vision du monde à notre époque, la série bascule dans un prisme féminin désarmant, qui offre une approche totalement nouvelle à cette fameuse crise existentielle.
Ecran Large
Dans son souci de donner constamment des réponses, le récit va alors répondre à la question qui brûle sur toutes les lèvres. Un pari risqué tant retarder cette explication était le moteur de la série. La contrepartie, c'est qu'on est forcé d'embrasser un nouveau point de vue, puis un troisième, qui viennent chacun livrer une tout autre vérité dans des épisodes dédiés. Fatalement, l'homogénéité de la structure et les temps de présences à l'écran s'en retrouvent bouleversés.
Le Monde
Le titre original du livre, "Fleishman Is in Trouble" met mieux en valeur les sautes d’humeur du sinueux retour à la vie d’un protagoniste désarçonné par son divorce que le très clinique "Anatomie d’un divorce" que propose Disney+ au public français. La réussite de la série tient à cette vitalité, aux vibrations de relations (amoureuses, amicales, érotiques, familiales) rendues soudain imprévisibles par un acte juridique, comme il s’en prononce des milliers chaque jour.
Télé 7 Jours
Une série qui déconstruit avec tact et humour la vie de couple.
Télérama
Malgré quelques longueurs dans sa première moitié, Anatomie d’un divorce séduit assurément par son habileté à ménager ses effets, et à nous cueillir, à la fin, là où on l’attendait le moins.
Libération
Le coup de Brodesser-Akner consistant à passer graduellement (et de manière attendue) à un point de vue féminin à l’approche de la fin a pour effet de densifier le récit mais s’accompagne d’une tendance regrettable à lâcher la satire, et rationaliser le chaos émotionnel dans des termes à la sonorité évoquant plus le manuel de développement personnel.