Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
20 Minutes
par Anne Demoulin
Dans ce thriller psychologique glaçant, l’héroïne de HPI est épatante. (...) Une minisérie profonde et sombre que l’on peut revoir et réinterpréter complètement à la lumière de son twist final.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Figaro
par Constance Jamet
L’intensité de la performance d'Audrey Fleurot trouve son égal dans le jeu de sa partenaire Lily Taïeb (The French Dispatch). Elles cristallisent au corps défendant de la caméra des regards divergents sur la féminité. Ce trouble, ce jeu d’ombre est le nœud gordien qui tient l’austère Esprit d’hiver, conte cruel et spartiate.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par La rédaction
On glisse peu à peu dans l'incompréhensible puis l'insoutenable dans une gradation dramatique particulièrement bien mise en scène par Cyril Mennegun.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Télé 7 Jours
par Camille Sanson
Malgré une adaptation libre, l'esprit du roman original transperce l'écran. Dans ce huis clos qui oscille entre lenteur et folie, Audrey Fleurot est hypnotisante.
Télé Câble Sat
par La rédaction
Audrey Fleurot étonne par la palette d'émotions qu'elle exprime dans ce huis clos glaçant, habilement mis en scène par Cyril Mennegun ("Louise Wimmer").
Télé Loisirs
par La rédaction
Adaptée d’un roman de l’écrivaine et poétesse américaine Laura Kasischke, cette série bénéficie d’une distribution de haute volée : méconnaissable en blonde platine, Audrey Fleurot est épaulée par le charismatique Cédric Kahn. Réalisation efficace, qualité d’images léchée et suspense savamment distillé servent ce premier épisode troublant et mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Téléstar
par La rédaction
Un thriller audacieux en huis clos.
Télérama
par Caroline Veunac
La mise en scène manque de rythme et de vision, et le résultat, plus redondant que vertigineux, consiste surtout à voir deux actrices déambuler dans un intérieur chic en s’interpellant d’une pièce à l’autre. Il y avait pourtant matière à de beaux cauchemars gothiques dans cette histoire de maternité impossible.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Dans ce thriller psychologique glaçant, l’héroïne de HPI est épatante. (...) Une minisérie profonde et sombre que l’on peut revoir et réinterpréter complètement à la lumière de son twist final.
Le Figaro
L’intensité de la performance d'Audrey Fleurot trouve son égal dans le jeu de sa partenaire Lily Taïeb (The French Dispatch). Elles cristallisent au corps défendant de la caméra des regards divergents sur la féminité. Ce trouble, ce jeu d’ombre est le nœud gordien qui tient l’austère Esprit d’hiver, conte cruel et spartiate.
Les Echos
On glisse peu à peu dans l'incompréhensible puis l'insoutenable dans une gradation dramatique particulièrement bien mise en scène par Cyril Mennegun.
Télé 7 Jours
Malgré une adaptation libre, l'esprit du roman original transperce l'écran. Dans ce huis clos qui oscille entre lenteur et folie, Audrey Fleurot est hypnotisante.
Télé Câble Sat
Audrey Fleurot étonne par la palette d'émotions qu'elle exprime dans ce huis clos glaçant, habilement mis en scène par Cyril Mennegun ("Louise Wimmer").
Télé Loisirs
Adaptée d’un roman de l’écrivaine et poétesse américaine Laura Kasischke, cette série bénéficie d’une distribution de haute volée : méconnaissable en blonde platine, Audrey Fleurot est épaulée par le charismatique Cédric Kahn. Réalisation efficace, qualité d’images léchée et suspense savamment distillé servent ce premier épisode troublant et mélancolique.
Téléstar
Un thriller audacieux en huis clos.
Télérama
La mise en scène manque de rythme et de vision, et le résultat, plus redondant que vertigineux, consiste surtout à voir deux actrices déambuler dans un intérieur chic en s’interpellant d’une pièce à l’autre. Il y avait pourtant matière à de beaux cauchemars gothiques dans cette histoire de maternité impossible.