Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
3 critiques presse
Le Parisien
par Valentine Rousseau
Les réalisateurs de "Caïd" ont voulu faire le "Gomorra" français, s'inspirant de cette série italienne sur la mafia. Si la caméra à l'épaule dérange au premier épisode, on s'en accommode dès le suivant. Elle permet l'immersion, le thriller en plans serrés. La série s'arrête d'ailleurs quand la caméra n'a plus de batterie. Le programme, proche du docu-fiction, montre la guerre dans la rue, le respect dans l'appartement.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Cécilia Delporte
Jouant de l'improvisation, la série s'appuie sur un casting séduisant, très similaire à celui de l'oeuvre originale. Abdraman Diakité incarne parfaitement le jeune Tony, le caïd qui rêve d'ailleurs, mais est piégé par sa posture. Quant à Sébastien Houbani, il se révèle très convaincant dans la peau du réalisateur Franck, journaliste las de son métier, désireux de nouvelles sensations. Facile à regarder, mais simpliste dans sa narration et son propos, "Caïd" mise sur la forme plutôt que sur le fond. Comme un joli clip de rap, qui pécherait par sa chanson.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ecran Large
par Simon Riaux
Pour sympathique que soit l'entreprise avec son goût de la débrouille, le manque de rigueur de l'ensemble et la pauvreté de sa mise en scène l'empêchent de divertir vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Parisien
Les réalisateurs de "Caïd" ont voulu faire le "Gomorra" français, s'inspirant de cette série italienne sur la mafia. Si la caméra à l'épaule dérange au premier épisode, on s'en accommode dès le suivant. Elle permet l'immersion, le thriller en plans serrés. La série s'arrête d'ailleurs quand la caméra n'a plus de batterie. Le programme, proche du docu-fiction, montre la guerre dans la rue, le respect dans l'appartement.
Les Echos
Jouant de l'improvisation, la série s'appuie sur un casting séduisant, très similaire à celui de l'oeuvre originale. Abdraman Diakité incarne parfaitement le jeune Tony, le caïd qui rêve d'ailleurs, mais est piégé par sa posture. Quant à Sébastien Houbani, il se révèle très convaincant dans la peau du réalisateur Franck, journaliste las de son métier, désireux de nouvelles sensations. Facile à regarder, mais simpliste dans sa narration et son propos, "Caïd" mise sur la forme plutôt que sur le fond. Comme un joli clip de rap, qui pécherait par sa chanson.
Ecran Large
Pour sympathique que soit l'entreprise avec son goût de la débrouille, le manque de rigueur de l'ensemble et la pauvreté de sa mise en scène l'empêchent de divertir vraiment.