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Loïc Schellekens
1 critique
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Critique de la série
1,0
Publiée le 26 septembre 2022
Série vue et revue , comme les acteurs qui sont de partout autant que les émissions que film comme série . On as l'impression de regarder demain nous appartient version historique . Série a la française comme d'habitude trop de chuchotements, les moment d'émotion surjouer, des gros plan inutile... Dommage nous avons énormément de potentiel en France mais nous sommes brider par le CSA . La possibilité de faire de vrai projet cinématographique . .
C'est du grand n'importe quoi. Chirac dirait abracadabrantesque. C'est bruyant, sanglant, improbable. Mais bon, si je n'aime pas ça je ne vais pas dégoûter les autres.
Très belle série, prenante, émouvante, riche en complots et rebondissements, elle vous tient en haleine du début à la fin, sans temps morts, les actrices sont au top, justes, crédibles et attachantes, une mention spéciale à Sofia qui est ma préférée encore que .... Regardez, savourez, n'en perdez pas une miette vous ne le regretterez pas
Je ne regarderai pas plus d'un épisode. Pourtant j'adore ce contexte historique, et je raffole de toutes les productions sur le sujet. mais après avoir vu la production allemande , rien de nouveau à l'ouest, je ne peux que trouver celle ci insipide. c'est mal joué, les actrices manques de charisme et de naturel, le scénario ne m'a pas donné envie de continuer. Pour les points positifs, la réalisation est pas mal, les costumes, les decors et la photographie sont très bonne. Dommage car il y avait un gros potentiel
Une série en 8 épisodes que je trouve, dans l’ensemble, plutôt bien réussie. Elle fait penser (inévitablement) au « Bazar de la charité » d’autant qu’elle réunit les mêmes actrices principales, notamment Audrey Fleurot, Julie de Bona et Camille Lou, rejointes cette fois-ci par Sofia Essaïdi. On retrouve aussi le comédien Noam Morgensztern (de la Comédie Française) qui avait interprété avec brio le glaçant et abject Tony Meilhon dans la série « Laetitia » On suit le destin de 4 femmes : une religieuse, une infirmière féministe, une prostituée et une veuve devenue patronne d'usine. Ce n’est pas le chef d’oeuvre du siècle en matière de série mais elle offre un travail très soigné (décors, costumes, photographie, interprétation). Elle est dédiée aux femmes, les oubliées de la Grande Guerre et ce n’était pas du luxe que de les honorer. Bref, j’ai passé un agréable moment.
Cette série relate avec brio le rôle des femmes lors de la première guerre quand beaucoup d'hommes étaient enrôlés et tués. Les acteurs sont formidables. Parfois un peu mélo ( dernière scène avec Audrey Fleurot).
j’ai regardé, j’ai pas accroché si ce n’est en dehors des scènes mélo, et encore l’histoire pouvait être bien, mais tant de scènes invraisemblables en temps de guerre , les scènes de combats avec des blessés un peu trop propre, un hôpital propre et une fin qui coupe la série, rien de plaisant
Une série incroyable qui nous en met plein la vue. Les acteurs/actrices sont tous incroyable dedans et a su faire passer toutes les émotions comme il le fallait. Bravo au quatuor féminin Camille Lou, Audrey Fleurot, Sofia Essaidi et Julie De Bona juste incroyable.
J'ai loupé la diffusion sur TF1 à mon grand regret, je viens de la commencer sur NetFlix. Quelle déception !! Grotesque, c'est mal joué ou plutôt surjoué (à l'exception d'Audrey Fleurot et Camille Lou). Le scenario est bourré d'invraisemblances, une guerre propre avec un peu de sang mais des sœurs qui restent en tenue immaculées. Des soldats tranquille, on suppose qu'il sont loin du front puis quelques tirs allemands qui arrive on ne sait d'où. Tout est convenu. Je me suis forcé à regarder le 3ème épisode au cas où la série évoluerait mais non, je m'ennuie, rien ne se passe. Je m'arrête là. L'auteur a du louper quelques cours d'histoire ou documentaires sur le sujet pour écrire un scenario aussi peu réaliste. C'est vraiment dommage quant on sait quel a été le rôle des femmes pendant cette période notamment pour faire tourner l'économie, on aurait pu leur rendre un bel hommage, mais là le résultat est à l'inverse (une prostituée, une bonne sœur et une pseudo industrielle) Je vous déconseille fortement cette série si vous ne voulez pas perdre votre temps
Cette série souffre d'un problème de taille : elle s'engouffre et se noie dans la noirceur, la violence. Je n'ai rien contre les films noir, et le thème ici s'y prête. Seulement, il ne faut pas oublier que pour apprécier la dureté, il faut des moments de calme, de douceur : sans lumière il n'y a pas d'obscurité, et vice versa. Or, ici, le plus difficile à été de comprendre qu'il y aurait très peu -voir pas du tout, en fait - d'espoir. Pour avoir envie de voir chaque nouvel épisode, il faut qu'on ait le sentiment que "tout puisse aller mieux". Alors certes, c'est la 1e GM et ce n'est pas le but, mais tout de même, il y a des situations qui auraient pu être allégées... Pour autant, j'ai tout aimé : le jeu des acteurs, les costumes, l'action, les scénarios qui tiennent en haleine... jai juste eu du mal à finir la saison, et ma mamie par exemple n'a jamais pu finir car c'était trop violent. Or, elle a regarde Game of Throne... La série aurait donc pu obtenir une note d'excellence ou de chef d'oeuvre si les scénaristes ne s'étaient pas tant acharnées à nous rendre malheureux en la visionnant, à nous tordre les boyaux jusqu'à la fin. Bref, une série incroyable qui mérite son audience, et qui saura, je pense, remettre le cinéma français en série sur le devant de la scène. Je recommande !
Grotesque ! Cousu de fil blanc! Quand aux acteurs ce serait bien qu ils apprennent à jouer! Quand on voit les séries anglaise ou Us avec des vrais acteurs on se demande pourquoi nous n avons pas les mêmes ! Même karité est mauvais.
Après la série Le Bazar de la Charité que j’avais beaucoup aimée, Alexandre Laurent nous propose une série fondée sur le même principe toujours aussi excitant de suivi de plusieurs personnages principaux fictifs liés par un même événement historique. L’ajout d’un quatrième personnage principal - comparé au Bazar de la Charité - n’est que plaisir. L’intrigue s’en trouve enrichie d’un point de vue supplémentaire.
Les plus : les décors, les costumes, l’intrigue multiple et à rebondissements, la distribution et les jeux d’acteurs.
Les moins : le point négatif majeur concerne le langage des personnages. En effet, l’histoire se déroulant en 1914, on s’attend à voir des personnages s’exprimant dans un Français de l’époque. Or, le langage utilisé est malheureusement celui actuel et n’est même pas soutenu par moment. Cela dénote vraiment à mon goût et ternie de manière dommageable le réalisme. Un autre anachronisme, plus spécifique cette-fois, peut être retrouvé lors de l’une des scènes de combat du dernier épisode : un soldat chante La Strasbourgeoise avec l’air contemporain qu’on lui connaît, mais qui n’existait alors point en 1914.
Un autre point négatif, à mon avis, est celui de l’attitude le soeur Agnès vis-à-vis du soldat allemand. Cette dernière est peu réaliste, voire « gnangnan » par moments. spoiler: En effet, il est très difficile de croire qu’une religieuse, qui a déjà prononcé ses vœux depuis longtemps, remette en question ces derniers aussi subitement, avec les actes posés qui s’ensuivent.
Un autre manque de réalisme touche une des dernières scènes :spoiler: lorsque Marguerite s’en va rejoindre son fils blessé, et qu’elle se fait elle-même toucher, les Allemands n’arrivent ensuite pas vers eux. De plus, alors que, quelques secondes auparavant, tous les soldats français se repliaient, plus de la moitié blessés, un bon nombre arrive à leur rescousse « comme par hasard » pile pour au bon moment pour protéger la mère et son fils. Qui plus est, les autres ambulancières qui ne comptaient pas du tout aller sur le front quelques minutes plus tôt et qui se trouvaient donc à plusieurs centaines de mètres de la scène, accourent aussi.
De manière, générale, cette série est à voir bien qu’elle aurait pu être perfectionnée.
Magnifique transcription des héroïnes oubliées de la Grande guerre. 4 femmes, toutes différentes, devant se battre contre le patriarcat pour s'imposer. Cette guerre est et restera les prémices de l'émancipation féminine.