La guerre de 14 vue depuis le regard de 4 femmes, de tout horizon et vie différentes, 1 none voyant son couvant transformer en hôpital militaire, la femme d'un chef d'entreprise prenant la suite des évènements au départ de son mari pour le front, une "espionne" devenant infirmière dans le même couvant et une prostituée voyant son destin changer d'un seul coup. 8 épisodes pour une mini-série évènement de plus de 20 millions d'€, ça me fais mal de le dire mais pourquoi faut-il attendre un programme "aussi cher" de la part des studios ou chaînes françaises pour profiter d'un "Made In France" enfin qualitatif ? Sûrement parce qu'il y à justement un énorme chèque derrière tous ça ? Un cinéaste une nouvelle fois inconnue pour moi mais qui aura su donner du concrets, du sincère et un visuel à tous cela. Si rarement j'aurais vu une mini-série avec des actrices aussi puissante de sincérité dans certaines scènes, du Drama au "banal" jusqu'au joyeux (même s'il n'y en à pas eu en perfusion), chaque émotion fut donner pour enfin donner de la percussion à un programme qui en valait la peine. Retrouvant évidement des "sociétaires" des fictions TF1 : Audrey Fleurot ("Le Bazar de la charité", "H.P.I."), Camille Lou (le musical "1789, les amants de la Bastille", "Le Bazar de la Charité", "Je te promets"), Julie De Bona (" Le Tueur du lac", "Coup de foudre à Noël", "Le Bazar de la Charité", "Plan B", "Peur sur le lac") ainsi que Sofia Essaidi (le musical "Cléopâtre"), toutes livrent une performance inouï ou leur rivaux masculins sont réduis à néant et dont le machisme parfaitement montrer ne laisse qu'un dégoût pour ces hommes ne considérant les femmes, quel quel soient, tel des morceaux de chair fraîche à balancer du haut d'un toit. Les séquences du "bordel" étant particulièrement les plus révélatrices. Sur le visuel, tout y est, des décors quelque peu modifier aux costumes jusqu'aux scènes d'action tambour battant, rien n'est laisser au hasard pour nous faire vivre, surtout revivre, ce conflit armer depuis les petites bourgades tricolore. Laurent Gerra, hum quel personnage compliquer il aura hériter celui-là, un pervers assoiffer de jeunes femme ayant fait veux de chasteté mais dont l'égaux surdimensionner n'aura eu de cesse que ces répliques religieuses à 3 franc pour couvrir son véritable crime, celui de violeur. Il en faut peut pour avoir un tout nouvel aperçut d'un humoriste. Le bordel donne réellement une leçon de moral sur cette activité légendaire dont il fait clairement prendre conscience quel n'est en rien, une profession de Foix, mais bien d'inceste dont les gérant sont des ordures bien ménagères. Un final grandiose, une sincérité à toute épreuve, et une bande-son principale sublime comme trop rarement dans un programme français. Dommage qu'il faille tant de temp entre chaque évènement télé car cela est véridique, il faut mettre les moyens pour percuter les gens, mais cela dépendra toujours du registre aborder.