Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Collider
par Abby Cavenaugh
Même si elle n'est pas parfaite - certains flashbacks semblent un peu déplacés - le style et le ton, le suspense et les performances puissantes et émotionnelles d'Egerton, Hauser et Liotta, en particulier, se rejoignent pour faire de Black Bird quelque chose de vraiment spécial.
La critique complète est disponible sur le site Collider
IGN Movies
par Emma Fraser
La tension monte au fil des six épisodes et est soutenue par les brillantes performances de Taron Egerton, Paul Walter Hauser et Ray Liotta (dans l'une de ses dernières apparitions). La série offre un regard intriguant sur le système de justice pénale, même si elle aurait pu approfondir certains aspects. Certains flashbacks et voix off ne fonctionnent pas tout à fait, mais dans l'ensemble, il s'agit d'une autre offre impressionnante d'Apple TV+.
La critique complète est disponible sur le site IGN Movies
Le Monde
par Audrey Fournier
Black Bird ressuscite l’imaginaire poisseux des campagnes du Midwest et le mêle aux ingrédients d’un polar carcéral classique. Le tout sous la houlette de l’écrivain à succès Dennis Lehane (Mystic River, Shutter Island…), dont le savoir-faire n’est pas étranger au caractère hautement addictif de cette série inspirée de faits réels.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Charles Martin
Comme dans Mindhunter, les longues discussions sordides sont l'essence de la série Apple. Juste deux chaises, une grande table, et ce besoin de comprendre le mal absolu personnifié. Ces face-à-face aussi fascinants qu'exténuants rythment Black Bird et brillent d'abord grâce à l'écriture authentique de Dennis Lehane, qui n'hésite jamais à nous faire douter, à s'aventure dans une complexité morale perturbante. Ils brillent aussi parce que le duo Taron Egerton / Paul Walter Hauser fait des merveilles.
La critique complète est disponible sur le site Première
The Guardian
par Lucy Mangan
Il y a des merveilleux moments qui commencent avec Jimmy menant la conversation là où il veut qu'elle aille, pour ensuite se retrouver ballotté par les pensées apparemment libres de Larry et déposé devant un miroir sombre pour faire face à une vérité malvenue. Lehane est un auteur de thrillers renommé et a participé à la série The Wire, mais ce dialogue allusif et détourné est peut-être sa meilleure œuvre à ce jour.
La critique complète est disponible sur le site The Guardian
indieWIRE
par Ben Travers
Même avec une dynamique classique de partenaires policiers et le cœur tendre de Big Jim, Black Bird doit une grande partie de son succès à son duo central. Egerton façonne son personnage d'ancienne star de football du lycée de manière à ce qu'il soit vraisemblablement charismatique, sans pour autant dépasser le cadre du mec normal.
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
Ecran Large
par Clément Costa
Malgré des bases trop attendues, voire bancales, Black Bird parvient à captiver grâce à un Dennis Lehane toujours très inspiré. D'autant que la série est une très belle réussite technique, portée par des performances mémorables. Un pur plaisir en perspective pour tous les amateurs du genre.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Télérama
par Pierre Langlais
Mais la force de Black Bird, c’est surtout son concept classique, exploité avec brio par David Fincher dans Mindhunter : le face-à-face avec un être maléfique. Lehane joue habilement avec l’ambiguïté de l’amitié entre la taupe et le monstre, imaginant de vrais moments de complicité pour mieux faire surgir l’horreur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Variety
par Daniel D'Addario
En tant que cadre pour une jeune star douée, Black Bird fonctionne et est solidement construite ; son absence résolue de surprise, après quelques feux d'artifice au tout début, passe de la frustration à un confort serein au fil des heures.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Vanity Fair
par Richard Lawson
Black Bird est rempli des échos d'autres séries. Cela n'aurait pas dû être le cas. L'histoire de Keene est certainement intéressante, mais elle fonctionnerait peut-être mieux dans un film moins dépendant du remplissage narratif. Mais ce sont là de simples problèmes structurels, alors que le véritable problème de la série est sa moralité tordue.
La critique complète est disponible sur le site Vanity Fair
Collider
Même si elle n'est pas parfaite - certains flashbacks semblent un peu déplacés - le style et le ton, le suspense et les performances puissantes et émotionnelles d'Egerton, Hauser et Liotta, en particulier, se rejoignent pour faire de Black Bird quelque chose de vraiment spécial.
IGN Movies
La tension monte au fil des six épisodes et est soutenue par les brillantes performances de Taron Egerton, Paul Walter Hauser et Ray Liotta (dans l'une de ses dernières apparitions). La série offre un regard intriguant sur le système de justice pénale, même si elle aurait pu approfondir certains aspects. Certains flashbacks et voix off ne fonctionnent pas tout à fait, mais dans l'ensemble, il s'agit d'une autre offre impressionnante d'Apple TV+.
Le Monde
Black Bird ressuscite l’imaginaire poisseux des campagnes du Midwest et le mêle aux ingrédients d’un polar carcéral classique. Le tout sous la houlette de l’écrivain à succès Dennis Lehane (Mystic River, Shutter Island…), dont le savoir-faire n’est pas étranger au caractère hautement addictif de cette série inspirée de faits réels.
Première
Comme dans Mindhunter, les longues discussions sordides sont l'essence de la série Apple. Juste deux chaises, une grande table, et ce besoin de comprendre le mal absolu personnifié. Ces face-à-face aussi fascinants qu'exténuants rythment Black Bird et brillent d'abord grâce à l'écriture authentique de Dennis Lehane, qui n'hésite jamais à nous faire douter, à s'aventure dans une complexité morale perturbante. Ils brillent aussi parce que le duo Taron Egerton / Paul Walter Hauser fait des merveilles.
The Guardian
Il y a des merveilleux moments qui commencent avec Jimmy menant la conversation là où il veut qu'elle aille, pour ensuite se retrouver ballotté par les pensées apparemment libres de Larry et déposé devant un miroir sombre pour faire face à une vérité malvenue. Lehane est un auteur de thrillers renommé et a participé à la série The Wire, mais ce dialogue allusif et détourné est peut-être sa meilleure œuvre à ce jour.
indieWIRE
Même avec une dynamique classique de partenaires policiers et le cœur tendre de Big Jim, Black Bird doit une grande partie de son succès à son duo central. Egerton façonne son personnage d'ancienne star de football du lycée de manière à ce qu'il soit vraisemblablement charismatique, sans pour autant dépasser le cadre du mec normal.
Ecran Large
Malgré des bases trop attendues, voire bancales, Black Bird parvient à captiver grâce à un Dennis Lehane toujours très inspiré. D'autant que la série est une très belle réussite technique, portée par des performances mémorables. Un pur plaisir en perspective pour tous les amateurs du genre.
Télérama
Mais la force de Black Bird, c’est surtout son concept classique, exploité avec brio par David Fincher dans Mindhunter : le face-à-face avec un être maléfique. Lehane joue habilement avec l’ambiguïté de l’amitié entre la taupe et le monstre, imaginant de vrais moments de complicité pour mieux faire surgir l’horreur.
Variety
En tant que cadre pour une jeune star douée, Black Bird fonctionne et est solidement construite ; son absence résolue de surprise, après quelques feux d'artifice au tout début, passe de la frustration à un confort serein au fil des heures.
Vanity Fair
Black Bird est rempli des échos d'autres séries. Cela n'aurait pas dû être le cas. L'histoire de Keene est certainement intéressante, mais elle fonctionnerait peut-être mieux dans un film moins dépendant du remplissage narratif. Mais ce sont là de simples problèmes structurels, alors que le véritable problème de la série est sa moralité tordue.