This England : les années Boris Johnson : Critiques de la presse
This England : les années Boris Johnson
Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
3,9
7 titres de presse
La Croix
Le Figaro Magazine
Le Journal du Dimanche
Le Parisien
Les Echos
Paris Match
Le Monde
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
La Croix
par Cécile Jaurès
La chronique, d’un réalisme quasi documentaire, dévoile sans détour le désarroi du personnel soignant comme des familles, souvent livrées à elles-mêmes, face à la souffrance et au deuil de leurs proches. Hélas, la multiplication des points de vue et des personnages tend à diluer la tension narrative, et l’émotion se trouve parfois étouffée par le rythme trépidant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
Michael Winterbottom offre ce curieux portrait de l'ex-premier ministre anglais et d'une nation submergée par le covid. une chronique d'un héroïsme ordinaire avec un Kenneth Branagh théâtral et impérial.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Journal du Dimanche
par Romain Nigita
Pour incarner cet homme politique cabotin et amateur éclairé de Shakespeare, qui de mieux placé que Kenneth Branagh (…) ? En équilibre sur la mince frontière entre caricature et performance habitée, le comédien est méconnaissable sous le maquillage et la coupe de cheveux en bataille : il livre une prestation étonnante en trublion insaisissable qui s’exprime souvent par citations littéraires.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Yves Jaeglé
La ruche de Downing Street est très bien racontée, avec ces ridicules du pouvoir : il faut toujours trouver quelqu’un dont ce n’est pas la mission pour aller promener le chien de Boris, et lui tendre le petit sachet en plastique, "au cas où". "This England" : il y a dans ce titre une méchanceté, une ironie, et une grandeur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Laura Berny
Dans ce rôle d'homme certes charismatique, hypercultivé et assez attachant mais complètement hors sol, Kenneth Branagh s'en donne à coeur joie. Autour de lui, le casting est impeccable.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Paris Match
par Clémence Duranton
Méconnaissable, Kenneth Branagh campe un BoJo plus vrai que nature, bouffon d’une satire qui prêterait à rire si elle ne retraçait pas la brutalité de la crise sanitaire avec une précision implacable. Car «This England» appuie là où ça fait mal en confrontant aberrations administratives, obscénité des équipes de com et calvaire des victimes. Personnel soignant et troisième âge sacrifié sont ici filmés dans leur dénuement le plus total. L’ensemble suinte la rage.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le spectacle de la désinvolture de la coterie qui l’entoure (et encore, la série n’a pu prendre en compte les révélations du "partygate") apparaît bientôt dérisoire face aux ravages de la pandémie et aux efforts de celles et ceux qui luttent contre elle. Un peu comme si l’on avait voulu compresser en une seule histoire Contagion de Steven Soderbergh et Veep.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
La Croix
La chronique, d’un réalisme quasi documentaire, dévoile sans détour le désarroi du personnel soignant comme des familles, souvent livrées à elles-mêmes, face à la souffrance et au deuil de leurs proches. Hélas, la multiplication des points de vue et des personnages tend à diluer la tension narrative, et l’émotion se trouve parfois étouffée par le rythme trépidant.
Le Figaro Magazine
Michael Winterbottom offre ce curieux portrait de l'ex-premier ministre anglais et d'une nation submergée par le covid. une chronique d'un héroïsme ordinaire avec un Kenneth Branagh théâtral et impérial.
Le Journal du Dimanche
Pour incarner cet homme politique cabotin et amateur éclairé de Shakespeare, qui de mieux placé que Kenneth Branagh (…) ? En équilibre sur la mince frontière entre caricature et performance habitée, le comédien est méconnaissable sous le maquillage et la coupe de cheveux en bataille : il livre une prestation étonnante en trublion insaisissable qui s’exprime souvent par citations littéraires.
Le Parisien
La ruche de Downing Street est très bien racontée, avec ces ridicules du pouvoir : il faut toujours trouver quelqu’un dont ce n’est pas la mission pour aller promener le chien de Boris, et lui tendre le petit sachet en plastique, "au cas où". "This England" : il y a dans ce titre une méchanceté, une ironie, et une grandeur.
Les Echos
Dans ce rôle d'homme certes charismatique, hypercultivé et assez attachant mais complètement hors sol, Kenneth Branagh s'en donne à coeur joie. Autour de lui, le casting est impeccable.
Paris Match
Méconnaissable, Kenneth Branagh campe un BoJo plus vrai que nature, bouffon d’une satire qui prêterait à rire si elle ne retraçait pas la brutalité de la crise sanitaire avec une précision implacable. Car «This England» appuie là où ça fait mal en confrontant aberrations administratives, obscénité des équipes de com et calvaire des victimes. Personnel soignant et troisième âge sacrifié sont ici filmés dans leur dénuement le plus total. L’ensemble suinte la rage.
Le Monde
Le spectacle de la désinvolture de la coterie qui l’entoure (et encore, la série n’a pu prendre en compte les révélations du "partygate") apparaît bientôt dérisoire face aux ravages de la pandémie et aux efforts de celles et ceux qui luttent contre elle. Un peu comme si l’on avait voulu compresser en une seule histoire Contagion de Steven Soderbergh et Veep.