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Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
4,2
10 titres de presse
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The Chicago Tribune
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The Guardian
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Entertainment weekly
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RogerEbert.com
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Decider
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Le Monde
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The Hollywood Reporter
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Télérama
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Washington Post
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The Telegraph
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
The Chicago Tribune
À un moment donné, un personnage dit, sans ambages, que "Tout art est propagande". Mais tout art n'est pas aussi rafraîchissant et excentriquement réalisé que cette série.
The Guardian
"I'm a Virgo" est aussi rafraîchissante et revigorante qu'une douche froide. Elle vous réveille, vous rend attentif, vous incite à vous engager comme peu de dramas savent le faire, en vous offrant quelque chose d'audacieusement, d'indéniablement différent. Elle est vigoureuse, intelligente, amusante et interprétée par une jeune équipe qui semble déjà au sommet de son art.
Entertainment weekly
Le scénariste-réalisateur Boots Riley mêle humour absurde, métaphores visuelles éblouissantes, animation et critique acerbe du capitalisme pour proposer une histoire de passage à l'âge adulte d'une originalité sans faille.
RogerEbert.com
Grâce à l'incroyable palette de talents qui animent ce monde, "I'm a Virgo" procure de véritables fous rires. C'est un document social vibrant avec un personnage empathique bien pensé. L'esprit vif de Boots Riley, sa créativité surréaliste et son analyse sociale nuancée amènent l'absurde à un niveau d'excellence.
Decider
"I'm A Virgo" est bien plus que le fait que Cootie mesure 4 mètres. C'est une histoire complexe sur l'isolement, le passage à l'âge adulte et le racisme institutionnel, le tout présenté avec un petit air de conte de fées.
Le Monde
Avec ses séquences animées grotesques, ses scènes d’amour burlesques et tendres et son portrait d’une nouvelle génération afro-américaine, "I’m a Virgo" se révèle d’une richesse inépuisable...
The Hollywood Reporter
Riley et "I'm a Virgo" troublent pas mal, mais si les téléspectateurs se laissent prendre à l'histoire - et je l'ai fait en grande partie - c'est parce que Jerome et Washington lui donnent une âme.
Télérama
La série "I’m a Virgo" déborde d’effets spéciaux artisanaux, de maquettes, de scènes en animation et de cascades bricolées. En seulement deux œuvres, Boots Riley s’est néanmoins trouvé un style à lui, ludique et engagé, patchwork (comme sa musique) de différents genres : le fantastique, la satire sociale, le récit initiatique, la comédie romantique… Ses héros, toujours noirs et issus de la classe populaire, sont des romantiques plus ou moins contrariés, des rêveurs qui finissent par comprendre qu’ils vont devoir se battre contre le système et se retrouvent immanquablement dans la rue, le poing levé face à des cordons de policiers.
Washington Post
La série de Boots Riley ne manque pas d'imagination, avec une bonne dose de fantastique, tout en étant bien ancrée dans la réalité de la vie d'un jeune homme noir. Si "I'm a Virgo" est une œuvre cinématographique saisissante, elle prend également des allures de théâtrale avec de longs discours.
The Telegraph
"I'm A Virgo" se perd dans les méandres. Riley s'intéresse plus à l'ambiance qu'à l'intrigue et, bien que la série semble d'abord présenter Cootie et The Hero comme des antagonistes, tout le monde passe le plus clair de son temps à traîner et à badiner plutôt qu'à faire avancer l'histoire.