Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Il y a quelque chose d’ample et de joueur dans Irma Vep, au sens romanesque du terme. Et aussi une propension à l’autobiographie plus frontale que d’ordinaire chez Assayas. C’est la dernière couche, la plus paradoxale car proche de l’impudeur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
San Francisco Chronicle
par Bob Strauss
"Irma Vep" se présente comme un "Dix Pour Cent" plus cinématographique et plus sérieux – ce qui ne fait peut-être pas de la série un gagnant de l'algorithme, mais ce n'en est pas moins brillant.
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
The A.V. Club
par David Cote
Remplie de personnages hauts en couleurs parlant une langue mélancolique mais crédible, des lieux attrayants et un travail de caméra gracieux, Irma Vep est une comédie légère sur les coulisses du cinéma avec suffisamment de chagrin et d'humour pour la garder réaliste. La série est aussi facilement bingeable et addictive. Après quatre épisodes, on en voulait plus.
La critique complète est disponible sur le site The A.V. Club
RogerEbert.com
par Brian Tallerico
Olivier Assayas a déjà abordé l'art contre le commerce, mais jamais avec autant de charme et d'éclat désinvolte. Au lieu de se moquer de l'industrie qu'il aime, il a fait une série qui met en évidence la difficulté d'un projet comme "Irma Vep" qui célèbre presque sa propre existence. Oui, faire une série télévisée est difficile, mais "Irma Vep" est la preuve que cela en vaut la peine.
La critique complète est disponible sur le site RogerEbert.com
Collider
par Ross Bonaime
Irma Vep met un peu trop de temps à poser les bases avant d'entrer dans le vif du sujet de cette adaptation, mais une fois que cela démarre dans le troisième épisode, Olivier Assayas élabore un regard remarquablement personnel et étonnamment honnête sur l'art et lui-même qui se développe sur l'un de ses chefs-d'œuvre, et ce de manière captivante.
La critique complète est disponible sur le site Collider
Entertainment weekly
par Darren Franich
Le réalisateur ne capture pas totalement l'ère des médias sociaux comme Irma des années 90 a pleinement été témoin de son propre paysage de pop culture. Mais après les trois premiers épisodes, on craque pour cette crème française.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
Variety
par Daniel D'Addario
C'est devenu un cliché, le genre qu'Olivier Assayas choisirait dans l'un de ses films, de dire qu'une bonne série récompense la patience, mais Irma Vep est vraiment de celles-là. Parmi les réjouissances, figure le travail d'Alicia Vikander.
La critique complète est disponible sur le site Variety
The Hollywood Reporter
par Dan Fienberg
Cette série peut être intellectuellement folle, grande et plaisante un moment et se vautrer dans une triste auto-absorption le lendemain. [...] Après trois épisodes, on ne sait pas si Olivier Assayas a vraiment une conclusion claire à son projet ou s'il est juste en train de renouer avec une forme d'art en perpétuelle transition.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Les Inrockuptibles
Il y a quelque chose d’ample et de joueur dans Irma Vep, au sens romanesque du terme. Et aussi une propension à l’autobiographie plus frontale que d’ordinaire chez Assayas. C’est la dernière couche, la plus paradoxale car proche de l’impudeur.
San Francisco Chronicle
"Irma Vep" se présente comme un "Dix Pour Cent" plus cinématographique et plus sérieux – ce qui ne fait peut-être pas de la série un gagnant de l'algorithme, mais ce n'en est pas moins brillant.
The A.V. Club
Remplie de personnages hauts en couleurs parlant une langue mélancolique mais crédible, des lieux attrayants et un travail de caméra gracieux, Irma Vep est une comédie légère sur les coulisses du cinéma avec suffisamment de chagrin et d'humour pour la garder réaliste. La série est aussi facilement bingeable et addictive. Après quatre épisodes, on en voulait plus.
RogerEbert.com
Olivier Assayas a déjà abordé l'art contre le commerce, mais jamais avec autant de charme et d'éclat désinvolte. Au lieu de se moquer de l'industrie qu'il aime, il a fait une série qui met en évidence la difficulté d'un projet comme "Irma Vep" qui célèbre presque sa propre existence. Oui, faire une série télévisée est difficile, mais "Irma Vep" est la preuve que cela en vaut la peine.
Collider
Irma Vep met un peu trop de temps à poser les bases avant d'entrer dans le vif du sujet de cette adaptation, mais une fois que cela démarre dans le troisième épisode, Olivier Assayas élabore un regard remarquablement personnel et étonnamment honnête sur l'art et lui-même qui se développe sur l'un de ses chefs-d'œuvre, et ce de manière captivante.
Entertainment weekly
Le réalisateur ne capture pas totalement l'ère des médias sociaux comme Irma des années 90 a pleinement été témoin de son propre paysage de pop culture. Mais après les trois premiers épisodes, on craque pour cette crème française.
Variety
C'est devenu un cliché, le genre qu'Olivier Assayas choisirait dans l'un de ses films, de dire qu'une bonne série récompense la patience, mais Irma Vep est vraiment de celles-là. Parmi les réjouissances, figure le travail d'Alicia Vikander.
The Hollywood Reporter
Cette série peut être intellectuellement folle, grande et plaisante un moment et se vautrer dans une triste auto-absorption le lendemain. [...] Après trois épisodes, on ne sait pas si Olivier Assayas a vraiment une conclusion claire à son projet ou s'il est juste en train de renouer avec une forme d'art en perpétuelle transition.