Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
Ces six épisodes, au-delà de la femme et de ses pantins, se veulent une plongée dans la France bourgeoise et puritaine des années 1950, qui n'est pas prête pour la tornade B.B. et la soif de liberté de sa jeunesse. Les Thompson offrent ainsi un "The Crown" tricolore. Sans diadème ni château. Le destin de Bardot permet l'évocation de la guerre d'Algérie, de l'émancipation des femmes et des mœurs. Cette reconstitution soigneuse, tournée notamment sur la Côte d'Azur, prend vie grâce à Julia de Nunez.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Télérama
par Guillemette Odicino
Bien sûr, Julia de Nunez ressemble un peu à Bardot, mais c’est plus que cela : elle en a les particules élémentaires, cette lascivité inédite pour l’époque, ce je-m’en-foutisme érotique, et ce voile de tristesse d’ancienne gosse complexée. Avec elle, Danièle et Christopher Thompson ont trouvé le Graal.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
par Anaïs Berno
Si le choix de mettre en lumière uniquement dix ans de la vie de l’artiste peut surprendre au départ, c’est finalement ce qui fait la force de la série. On se concentre sur le bouleversement de la vie d’une jeune fille de 15 ans qui apprend à devenir une femme. Des amours, des divorces, l’adoration de certains, la haine des autres…
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Télé Loisirs
par Isabelle Dhombres
Révélation au cœur d’une distribution pléthorique, Julia de Nunez porte son personnage de bout en bout, proposant une composition qui privilégie l’incarnation au-delà de l’imitation stricto sensu.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Franceinfo Culture
par Laurent Valière
La série, traditionnelle dans sa narration, ressemble à une revue sur papier glacé, mais bénéficie d’excellents acteurs, à commencer par Victor Belmondo, dans le rôle de Roger Vadim. On découvre des lieux mythiques reconstitués, comme la Madrague. Une série riche d’anecdotes.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Monde
par Thomas Sotinel
"Bardot" sacrifie parfois aux rituels de la reconstitution historique, mais l’essentiel est ailleurs, dans l’évaluation minutieuse du prix de la gloire. De la traque des paparazzis, commandités par un ami de la star, Pierre Lazareff au poids de la décolonisation, de la sujétion juridique des femmes à la condamnation par les "braves gens" de la chanson de Brassens, la série embrasse à la fois l’ivresse de la libération et l’inertie de la répression.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
"Bardot" respecte les conventions du biopic télé, sans jamais chercher l’invention formelle. Tout cela se regarde sans déplaisir. Celle qui invente vraiment s’appelle Julia de Nunez, la comédienne de 22 ans chargée d’incarner Bardot.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Figaro Magazine
Ces six épisodes, au-delà de la femme et de ses pantins, se veulent une plongée dans la France bourgeoise et puritaine des années 1950, qui n'est pas prête pour la tornade B.B. et la soif de liberté de sa jeunesse. Les Thompson offrent ainsi un "The Crown" tricolore. Sans diadème ni château. Le destin de Bardot permet l'évocation de la guerre d'Algérie, de l'émancipation des femmes et des mœurs. Cette reconstitution soigneuse, tournée notamment sur la Côte d'Azur, prend vie grâce à Julia de Nunez.
Télérama
Bien sûr, Julia de Nunez ressemble un peu à Bardot, mais c’est plus que cela : elle en a les particules élémentaires, cette lascivité inédite pour l’époque, ce je-m’en-foutisme érotique, et ce voile de tristesse d’ancienne gosse complexée. Avec elle, Danièle et Christopher Thompson ont trouvé le Graal.
Ouest France
Si le choix de mettre en lumière uniquement dix ans de la vie de l’artiste peut surprendre au départ, c’est finalement ce qui fait la force de la série. On se concentre sur le bouleversement de la vie d’une jeune fille de 15 ans qui apprend à devenir une femme. Des amours, des divorces, l’adoration de certains, la haine des autres…
Télé Loisirs
Révélation au cœur d’une distribution pléthorique, Julia de Nunez porte son personnage de bout en bout, proposant une composition qui privilégie l’incarnation au-delà de l’imitation stricto sensu.
Franceinfo Culture
La série, traditionnelle dans sa narration, ressemble à une revue sur papier glacé, mais bénéficie d’excellents acteurs, à commencer par Victor Belmondo, dans le rôle de Roger Vadim. On découvre des lieux mythiques reconstitués, comme la Madrague. Une série riche d’anecdotes.
Le Monde
"Bardot" sacrifie parfois aux rituels de la reconstitution historique, mais l’essentiel est ailleurs, dans l’évaluation minutieuse du prix de la gloire. De la traque des paparazzis, commandités par un ami de la star, Pierre Lazareff au poids de la décolonisation, de la sujétion juridique des femmes à la condamnation par les "braves gens" de la chanson de Brassens, la série embrasse à la fois l’ivresse de la libération et l’inertie de la répression.
Les Inrockuptibles
"Bardot" respecte les conventions du biopic télé, sans jamais chercher l’invention formelle. Tout cela se regarde sans déplaisir. Celle qui invente vraiment s’appelle Julia de Nunez, la comédienne de 22 ans chargée d’incarner Bardot.