Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Le Monde
par Thomas Sotinel
Autour de cette figure qui, après avoir inspiré la compassion, commence à susciter la crainte, le récit s’attarde sur des personnages mineurs – Edouard, le roi enfant, qui évoque à la fois le terrible Joffrey Baratheon de Game of Thrones et l’Aiglon, ou Catherine Parr, lettrée, fine politique. Arrivé au mitan de cette première saison, il reste encore une décennie avant le couronnement d’Elizabeth I, que l’on est prêt à passer en sa compagnie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
The Guardian
par Jack Seale
Cette adaptation des Tudor regorge d’intrigues empoisonnées à tous les étages. Succession s’est trouvée une héritière très prometteuse.
La critique complète est disponible sur le site The Guardian
The Hollywood Reporter
par Angie Han
Becoming Elizabeth accorde à la future monarque l’autorité qu’elle a réclamé mais qu’on lui a refusé, et explore l’aspect inévitable des figures historiques à qui l’on a volé ce qui leur revenait pourtant de droit. De fait, la série transforme cette histoire vieille de plusieurs siècles en quelque chose d’intemporel et de frais.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
indieWIRE
par Kristen Lopez
La série ne se contente pas de raconter les détails juteux de l’histoire des Tudor, mais cherche au contraire à dresser un portrait de l’échiquier politique de l’époque. Imaginez Succession, mais avec des arcelets.
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
Le Figaro
par Constance Jamet
Avec ce portrait d’une jeune fille acculée découvrant les jeux de pouvoir et sa distribution talentueuse, qui compte Romola Garai et Jessica Raines, Anya Reiss transforme l’exercice convenu du biopic en conte cruel, version de la série Succession au XVIe siècle! Et éclaire d’une dimension plus humaine et tragique le mythe de la "reine vierge".
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Variety
par Caroline Framke
Becoming Elizabeth est suffisamment bien écrite pour nous offrir l’espoir d’un final encore plus nuancé.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Le Monde
Autour de cette figure qui, après avoir inspiré la compassion, commence à susciter la crainte, le récit s’attarde sur des personnages mineurs – Edouard, le roi enfant, qui évoque à la fois le terrible Joffrey Baratheon de Game of Thrones et l’Aiglon, ou Catherine Parr, lettrée, fine politique. Arrivé au mitan de cette première saison, il reste encore une décennie avant le couronnement d’Elizabeth I, que l’on est prêt à passer en sa compagnie.
The Guardian
Cette adaptation des Tudor regorge d’intrigues empoisonnées à tous les étages. Succession s’est trouvée une héritière très prometteuse.
The Hollywood Reporter
Becoming Elizabeth accorde à la future monarque l’autorité qu’elle a réclamé mais qu’on lui a refusé, et explore l’aspect inévitable des figures historiques à qui l’on a volé ce qui leur revenait pourtant de droit. De fait, la série transforme cette histoire vieille de plusieurs siècles en quelque chose d’intemporel et de frais.
indieWIRE
La série ne se contente pas de raconter les détails juteux de l’histoire des Tudor, mais cherche au contraire à dresser un portrait de l’échiquier politique de l’époque. Imaginez Succession, mais avec des arcelets.
Le Figaro
Avec ce portrait d’une jeune fille acculée découvrant les jeux de pouvoir et sa distribution talentueuse, qui compte Romola Garai et Jessica Raines, Anya Reiss transforme l’exercice convenu du biopic en conte cruel, version de la série Succession au XVIe siècle! Et éclaire d’une dimension plus humaine et tragique le mythe de la "reine vierge".
Variety
Becoming Elizabeth est suffisamment bien écrite pour nous offrir l’espoir d’un final encore plus nuancé.