Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Le Parisien
par Michel Valentin
Les clichés sont de la partie (les deux héros qui ont chacun des secrets enfouis dans leur passé, la mystérieuse organisation qui possède des moyens illimités, le copain geek et débrouillard), mais le scénario est suffisamment bien ficelé pour qu’on se laisse prendre par la main et qu’on ait envie de plonger dans les ténèbres avec les personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
The A.V. Club
par Saloni Gajjar
Comme la plupart des séries et des films d'horreur, Archive 81 nécessite de ne pas céder au septicisme, mais donnez-lui simplement du temps et la série attirera lentement les néophytes du genre avec sa spécificité poignante et son sens du drame.
La critique complète est disponible sur le site The A.V. Club
Wall Street Journal
par John Anderson
Archive 81, la série Netflix "vaguement inspirée" du podcast du même nom, est un digne ajout au catalogue. La showrunneuse, Rebecca Sonnenshine, fait de bons choix et le casting est de premier ordre. Y a-t-il beaucoup de récits à l'œuvre dans Archive 81 ? Oui, mais considérez-les comme des tentacules.
La critique complète est disponible sur le site Wall Street Journal
The Guardian
par Lucy Mangan
Comme pour la plupart des séries de cette nature, il est préférable de la regarder au fil du temps plutôt que de la binger d'un coup, lorsque les actes de foi nécessaires pour surmonter divers illogismes et incohérences peuvent devenir trop épuisants. C'est l'une de ces séries où il est préférable de s'asseoir, de se détendre et de profiter de la balade.
La critique complète est disponible sur le site The Guardian
Télérama
par Pierre Langlais
À moins d’être sensible aux atmosphères de sous-sols menaçants, il n’y a ici que très peu d’occasions d’être terrifié. La vraie raison du succès d’Archive 81 est plus à chercher du côté de ses deux acteurs principaux. Athie et Shihabi ont tous les deux quelque chose de triste et doux, qui permet à la série de s’extirper de son empilement de codes. C’est pour eux, pour savoir comment leur relation évoluera, que l’on va jusqu’au bout de ces huit premiers épisodes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Variety
par Daniel D’Addario
Archive 81 satisfera les fans du genre, mais il est difficile de ne pas avoir l'impression qu'une version plus resserrée, plus engagée dans une vision au-delà de la généralisation, pourrait éclater de manière plus importante.
La critique complète est disponible sur le site Variety
indieWIRE
par Steve Greene
Ce n'est pas que la série serait meilleure si elle en montrait moins, mais la plupart des étapes de construction du monde extérieur de "Archive 81" se font d'une manière qui semble plus imposée qu'efficace.
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Archive 81, comme nombre de ses congèneres, échoue à dépasser l'exercice narratif, alors qu'elle avait justement pour mission de se créer une identité visuelle.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Parisien
Les clichés sont de la partie (les deux héros qui ont chacun des secrets enfouis dans leur passé, la mystérieuse organisation qui possède des moyens illimités, le copain geek et débrouillard), mais le scénario est suffisamment bien ficelé pour qu’on se laisse prendre par la main et qu’on ait envie de plonger dans les ténèbres avec les personnages.
The A.V. Club
Comme la plupart des séries et des films d'horreur, Archive 81 nécessite de ne pas céder au septicisme, mais donnez-lui simplement du temps et la série attirera lentement les néophytes du genre avec sa spécificité poignante et son sens du drame.
Wall Street Journal
Archive 81, la série Netflix "vaguement inspirée" du podcast du même nom, est un digne ajout au catalogue. La showrunneuse, Rebecca Sonnenshine, fait de bons choix et le casting est de premier ordre. Y a-t-il beaucoup de récits à l'œuvre dans Archive 81 ? Oui, mais considérez-les comme des tentacules.
The Guardian
Comme pour la plupart des séries de cette nature, il est préférable de la regarder au fil du temps plutôt que de la binger d'un coup, lorsque les actes de foi nécessaires pour surmonter divers illogismes et incohérences peuvent devenir trop épuisants. C'est l'une de ces séries où il est préférable de s'asseoir, de se détendre et de profiter de la balade.
Télérama
À moins d’être sensible aux atmosphères de sous-sols menaçants, il n’y a ici que très peu d’occasions d’être terrifié. La vraie raison du succès d’Archive 81 est plus à chercher du côté de ses deux acteurs principaux. Athie et Shihabi ont tous les deux quelque chose de triste et doux, qui permet à la série de s’extirper de son empilement de codes. C’est pour eux, pour savoir comment leur relation évoluera, que l’on va jusqu’au bout de ces huit premiers épisodes.
Variety
Archive 81 satisfera les fans du genre, mais il est difficile de ne pas avoir l'impression qu'une version plus resserrée, plus engagée dans une vision au-delà de la généralisation, pourrait éclater de manière plus importante.
indieWIRE
Ce n'est pas que la série serait meilleure si elle en montrait moins, mais la plupart des étapes de construction du monde extérieur de "Archive 81" se font d'une manière qui semble plus imposée qu'efficace.
Ecran Large
Archive 81, comme nombre de ses congèneres, échoue à dépasser l'exercice narratif, alors qu'elle avait justement pour mission de se créer une identité visuelle.