Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
Grâce à la dualité du scénario qui se partage entre les événements à la base scientifique et ceux au long de la corde, cette série chorale est particulièrement riche. Le récit très rythmé prend tout de même le temps d’appuyer sur les émotions, les sensations de chacun face à ses doutes, ses questions existentielles. Originale et audacieuse, cette fable aux accents fantastiques mêle l’intime à l’universel.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 7 Jours
par AS
De la SF à l'état brut, sans effet ou fioriture, autour d'une corde sans fin et de sa symbolique métaphysique. Totalement envoutante notamment grâce à son casting européen, cette série est immanquable.
Télé Loisirs
par La rédaction
Après un premier long métrage remarqué («La Nuit a dévoré le monde»), Dominique Rocher s’essaie à la série, avec cette adaptation libre d’un roman allemand de Stefan aus dem Siepen. Pour cela, il s’est entouré d’une superbe distribution internationale et livre une histoire immédiatement alléchante et mystérieuse. Une quête métaphysique qui ne tient pas toujours ses promesses.
Télérama
par Emilie Gavoille
Avec la complicité d’un casting rutilant (Suzanne Clément, Jeanne Balibar, Christa Théret…), qu’il fait mijoter façon Dix Petits Nègres au fond des bois ou Lost du Grand Nord, sans toujours beaucoup d’égards quant à la psychologie de ses personnages, le réalisateur parvient néanmois à instaurer une atmosphère à la fois capiteuse et inquiétante. Et à imposer, sans esbrouffe ni artefacts, un suspense qui flirte avec le surnaturel, évoquant parfois le Dominik Moll d’Harry, un ami qui vous veut du bien.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
par Constance Jamet
Après des débuts où le suspense est tonitruant, la tension se délite hélas pour se métamorphoser en une quête plus abstraite, intérieure et existentielle. (...)Elliptique dans son dénouement, La Corde laissera peut-être à certains l’impression d’avoir été dupés, suspendus à des promesses de polar qui ne seront pas tenues.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
L'Obs
par C.S.
Critique de notre soi-disant quête de savoir jugée ici chimérique, « la Corde » ressemble à une version molle de « Koh-Lanta » plombée par une poésie de bazar et un esprit de sérieux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télé Z
par S.B.
Le déroulement de cette longue corde est, par moment, interminable. Avec une fin discutable. C’est d’autant plus regrettable que les acteurs sont tous très bons.
Le Parisien
Grâce à la dualité du scénario qui se partage entre les événements à la base scientifique et ceux au long de la corde, cette série chorale est particulièrement riche. Le récit très rythmé prend tout de même le temps d’appuyer sur les émotions, les sensations de chacun face à ses doutes, ses questions existentielles. Originale et audacieuse, cette fable aux accents fantastiques mêle l’intime à l’universel.
Télé 7 Jours
De la SF à l'état brut, sans effet ou fioriture, autour d'une corde sans fin et de sa symbolique métaphysique. Totalement envoutante notamment grâce à son casting européen, cette série est immanquable.
Télé Loisirs
Après un premier long métrage remarqué («La Nuit a dévoré le monde»), Dominique Rocher s’essaie à la série, avec cette adaptation libre d’un roman allemand de Stefan aus dem Siepen. Pour cela, il s’est entouré d’une superbe distribution internationale et livre une histoire immédiatement alléchante et mystérieuse. Une quête métaphysique qui ne tient pas toujours ses promesses.
Télérama
Avec la complicité d’un casting rutilant (Suzanne Clément, Jeanne Balibar, Christa Théret…), qu’il fait mijoter façon Dix Petits Nègres au fond des bois ou Lost du Grand Nord, sans toujours beaucoup d’égards quant à la psychologie de ses personnages, le réalisateur parvient néanmois à instaurer une atmosphère à la fois capiteuse et inquiétante. Et à imposer, sans esbrouffe ni artefacts, un suspense qui flirte avec le surnaturel, évoquant parfois le Dominik Moll d’Harry, un ami qui vous veut du bien.
Le Figaro
Après des débuts où le suspense est tonitruant, la tension se délite hélas pour se métamorphoser en une quête plus abstraite, intérieure et existentielle. (...)Elliptique dans son dénouement, La Corde laissera peut-être à certains l’impression d’avoir été dupés, suspendus à des promesses de polar qui ne seront pas tenues.
L'Obs
Critique de notre soi-disant quête de savoir jugée ici chimérique, « la Corde » ressemble à une version molle de « Koh-Lanta » plombée par une poésie de bazar et un esprit de sérieux.
Télé Z
Le déroulement de cette longue corde est, par moment, interminable. Avec une fin discutable. C’est d’autant plus regrettable que les acteurs sont tous très bons.