Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Télé 7 Jours
par Christophe Séfrin
Captivante pour les fans du chef-d’œuvre oscarisé en 1973, mais pas seulement, cette série nous entraîne au cœur de la Paramount et des mille et un obstacles rencontrés par ce studio à travers un récit épique, au-delà de toute espérance.
Première
par Charles Martin
The Offer se regarde comme une fascinante success story aux accents people. Ou comment le créateur de Papa Schultz a réussi à produire Le Parrain envers et contre tout. Le formidable Miles Teller, charismatique et insondable, est pour beaucoup dans le plaisir coupable qu'on prend à dévorer cette histoire de fou.
La critique complète est disponible sur le site Première
CNN
par Brian Lowry
La série aurait été beaucoup plus intéressante si elle n'avait duré que cinq ou six épisodes, et aurait passé moins de temps à évoquer la vie personnelle de ses personnages, ou en évitant de faire coexister son intrigue sur le crime organisé avec les efforts déployés par Al Ruddy et le réalisateur Francis Ford Coppola pour faire aboutir leur vision du projet.
La critique complète est disponible sur le site CNN
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
Les fans irréductibles du Parrain connaissent déjà sans doute l’histoire chahutée de la genèse du film. C’est davantage au grand public que s’adresse la série à la reconstitution flamboyante des années 1970. Il est vraiment dommage que The Offer étire son intrigue sur dix longs épisodes avec certaines facilités dans les rebondissements à la fin de chaque volet.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Les dix épisodes regardent ce moment-là de l’art et d’Hollywood sans essayer de le réécrire ou de l’imaginer autrement – ce que faisait, au contraire, Hollywood de Ryan Murphy, en 2021. Ils nous laissent profiter du spectacle d’un segment de l’histoire du cinéma qui parait aujourd’hui bien loin, comme une terra incognita.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Empire UK
par Ian Freer
Tandis que le film de Coppola trouvait de l’humanité chez ces gangsters, The Offer livre des portraits caricaturaux de ses mafieux, comme si Le Parrain n’avait jamais existé.
La critique complète est disponible sur le site Empire UK
Variety
par Daniel D’Addario
Cette production insiste sur le fait que les films sont importants, et le fait en utilisant le film le plus populaire de la seconde moitié du XXème siècle comme carburant pour cette série de streaming divertissante, mais en aucun cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Rolling Stone
par David Fear
Tout le monde se souvient du tournage du Parrain comme un point culminant dans l’Histoire du cinéma américain. Mais nous pouvons désormais ajouter que cela a également inspiré une série peu mémorable, et horriblement moche.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
The Hollywood Reporter
par Dan Fienberg
The Offer est une page de Wikipedia illustrée, illogiquement étendue sur dix heures pour gaver les cinéphiles de clins d’œil et de références, avec des performances d’acteurs allant de la caricature amusante à l’équivalent de statues de cire fondant dans un micro-onde. C’est mauvais, mais sans jamais être véritable ennuyeux.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Télé 7 Jours
Captivante pour les fans du chef-d’œuvre oscarisé en 1973, mais pas seulement, cette série nous entraîne au cœur de la Paramount et des mille et un obstacles rencontrés par ce studio à travers un récit épique, au-delà de toute espérance.
Première
The Offer se regarde comme une fascinante success story aux accents people. Ou comment le créateur de Papa Schultz a réussi à produire Le Parrain envers et contre tout. Le formidable Miles Teller, charismatique et insondable, est pour beaucoup dans le plaisir coupable qu'on prend à dévorer cette histoire de fou.
CNN
La série aurait été beaucoup plus intéressante si elle n'avait duré que cinq ou six épisodes, et aurait passé moins de temps à évoquer la vie personnelle de ses personnages, ou en évitant de faire coexister son intrigue sur le crime organisé avec les efforts déployés par Al Ruddy et le réalisateur Francis Ford Coppola pour faire aboutir leur vision du projet.
Le Parisien
Les fans irréductibles du Parrain connaissent déjà sans doute l’histoire chahutée de la genèse du film. C’est davantage au grand public que s’adresse la série à la reconstitution flamboyante des années 1970. Il est vraiment dommage que The Offer étire son intrigue sur dix longs épisodes avec certaines facilités dans les rebondissements à la fin de chaque volet.
Les Inrockuptibles
Les dix épisodes regardent ce moment-là de l’art et d’Hollywood sans essayer de le réécrire ou de l’imaginer autrement – ce que faisait, au contraire, Hollywood de Ryan Murphy, en 2021. Ils nous laissent profiter du spectacle d’un segment de l’histoire du cinéma qui parait aujourd’hui bien loin, comme une terra incognita.
Empire UK
Tandis que le film de Coppola trouvait de l’humanité chez ces gangsters, The Offer livre des portraits caricaturaux de ses mafieux, comme si Le Parrain n’avait jamais existé.
Variety
Cette production insiste sur le fait que les films sont importants, et le fait en utilisant le film le plus populaire de la seconde moitié du XXème siècle comme carburant pour cette série de streaming divertissante, mais en aucun cinématographique.
Rolling Stone
Tout le monde se souvient du tournage du Parrain comme un point culminant dans l’Histoire du cinéma américain. Mais nous pouvons désormais ajouter que cela a également inspiré une série peu mémorable, et horriblement moche.
The Hollywood Reporter
The Offer est une page de Wikipedia illustrée, illogiquement étendue sur dix heures pour gaver les cinéphiles de clins d’œil et de références, avec des performances d’acteurs allant de la caricature amusante à l’équivalent de statues de cire fondant dans un micro-onde. C’est mauvais, mais sans jamais être véritable ennuyeux.